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Billet de blog 11 avril 2016

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Chômeuse de 55 ans, elle raconte les humiliations des recruteurs

En France, les femmes de plus de 50 ans subissent de plein fouet la crise de l'emploi. sans travail, sans reconnaissance, avec moins de 500 euros par mois, elles vivent avec la peur permanente de terminer leur existence dans la rue.

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le-dernier-salaire

Margaux a 48 ans lorsqu'elle perd son emploi. Elle a pourtant tout fait, dans sa vie, pour obtenir une belle situation, passant son bac à plus de trente ans. Tout le monde lui dit qu'elle n'aura aucun mal à retrouver un contrat à durée indéterminée. Mais c'est un voyage  éprouvant qui commence…   Elle affronte l'arrogance de jeunes DRH, se perd dans les rendez-vous de Pôle emploi, accepte tout ce qui se présente, tracte son CV dans les aéroports, joue les  démonstratrices dans des supermarchés, se démenant pour garder la tête haute et l'estime d'elle-même.
  Alternant humour corrosif, tristesse et colère, Margaux se bat pour ne pas recevoir un jour son « dernier salaire »,  terme élégant par lequel elle désigne ses dernières allocations chômage.   Et puis, un matin…   En France, les femmes de plus de 50 ans subissent de plein fouet la crise de l'emploi. sans travail, sans reconnaissance, avec moins de 500 euros par mois, elles vivent avec la peur permanente de terminer leur existence dans la rue.

Livre de  Margaux Gilquin  "Le dernier salaire"
Prix 16€90.

Sur RMC: Chômeuse de 55 ans, Margaux Gilquin raconte sa vie avec 16 euros par jour et les humiliations des recruteurs.

Chômeuse de 55 ans, elle raconte les humiliations © jack Brte

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