A l'Assemblée Générale de l'UPG (un et indivisible) le 22 juin 2014
Le code génétique du Système Bongo c'est : un parti unique, une pensée unique, une candidature unique ... etc. Vous ferez votre candidature unique entre gens du microcosme ou alors le "Peuple" comme certains le disent se présentera à l'élection présidentielle comme un seul homme mais personne ne va nous imposer quoi que ce soit à présent qu'ils affûtent leurs couteaux contre le changement véritable. De quel "Peuple" parle t-on ? Des peuples grégaires ou du Peuple qui court après des billets sans valeur pour soutenir des criminels en oubliant qui ils sont ? La politique est une vision avant d''être une addition. Personnellement, je n'ai plus l'intention de m'asseoir aux côtés de certaines personnes car je ne suis pas un politicien mais un acteur politique libre, n'en déplaise.
Il est clair qu'ALI BONGO doit partir parce qu'il a échoué et le plus vite sera le mieux. Mais, il est hors de question que ses parents (tapis au coeur de l'Armée Gabonaise prêts à nous voler notre victoire), ses sœurs ou ses frères qui contrôlent l'argent du Peuple Gabonais, ses beaux-frères et ses complices tapis dans l'opposition profitent de la colère à venir des Gabonais. Nous connaissons vos plans machiavéliques : le Système ne va pas créer un nouveau clone pour nous abuser car nous ne l'accepterons plus quelqu'en soit le prix. Faites autre chose mais cessez de bloquer l'avenir de toutes les générations de notre pays.
L'esprit grégaire et la mauvaise foi sont aussi le propre de ceux qui pensent qu'on doit leur être redevable en raison d'on ne sait quoi ! Ils ont pourtant échoué dans leur vaine tentative d'atomiser l'œuvre politique de celui qui les a toujours complexés : Pierre MAMBOUNDOU. Et voilà qu'ils enragent de colère parce que ses idées vivront malgré sa mort non élucidée à ce jour mais qui a valu à certains des carrières politiques, administratives et militaires impressionnantes. Et nous les connaissons tous.
Vous n'aurez notre soutien que lorsque vous serez revenus à la raison. Pour le moment nous ne nous occuperons plus de vous.