L’heure de la retraite ayant sonné, c’est le bilan positif de 40 000 spectateurs que transmet Diane Polya-Zeitline à Martin Kubich, 34 ans et à nous tous qui avons, parfois, 77 ans (c'est mon cas), Emmanuel Krivine (3 mois de plus) et de nombreux spectateurs, parfois plus âgés et venant parfois des 4 coins des départements de l'Allier, du Puy-de-Dômes, de la Loire, du Rhône et parfois de beaucoup plus loin, râlant, parfois, que liaison ferroviaire Vichy-Thiers-Saint-Etienne soit en jachère et celle avec Paris privé des rames nommées oxygène, jusqu'en 2027...
Même à la retraite, Vichy n’oublie pas Diane Polya-Zeitline, directeur de l’opéra de Vichy pendant 28 ans et nous ne l'oublions pas, que nous soyons coiffeurs ou député Nicolas Ray !!!
“Diane a rendu grand public un établissement souvent réservé aux curistes. Elle a su rendre l’opéra à la fois chic et populaire, dans le bon sens du terme. Elle y a fait mettre le chauffage pour la saison d’hiver. Avec elle, on a toujours eu droit à une programmation de qualité. On lui doit aussi les déjeuners-concerts du dimanche matin. Elle a permis à l’orchestre national d’Auvergne d’enregistrer leur concert. Bref, elle s’est vraiment mise à la hauteur d’une des plus belles salles du monde“. (Jean-François Vinciguerra, artiste lyrique et metteur en scène)
Un public debout comme un seul homme. Des artistes rayonnants ayant du mal à lâcher la scène. La version de Tosca venue tout droit de Limoges a semblé ravir des deux côtés de la fosse. Grandiose ! Un décor épuré qui fait froid d’emblée dans le dos. Pas de cadre historique marqué non plus. De grandes robes pour La Tosca, un look belle époque pour Mario, un trois-pièces pour Scarpia, des uniformes nazis pour les gardes… seule la référence à Napoléon dans le texte permet de situer l’histoire dans le temps. Le thème, lui est universel. Un homme de pouvoir sadique et cruel désire la mort d’un opposant et le corps de sa femme dans le même temps. Le personnage, Scarpia, voulu par le metteur en scène est vraiment central. Difficile de faire aussi ignoble et détestable que Tommi Hakala dans le rôle. Fascisme, violences faîtes aux femmes, les messages sont clairs et résonnent dans notre actualité. La tentative de viol arrêtée par un coup de poignard salvateur s’avère d’une âpreté difficilement soutenable. Hrachuhi Bassens joue et interprète merveilleusement Floria Tosca. Quelle présence scénique ! José Simerrilla Roméro nous fait aimer ce bel amoureux qu’est Mario Cavaradossi. Tous les seconds couteaux trouvent une place juste. Les gardes-danseurs évoluant telles des hyènes guettent leur proie. Les danseuses sont tour à tour servantes, nonnes se déplaçant sur la pointe des pieds pour ne pas de faire remarquer du cruel maître des lieux. L’ambiance est lourde et même les envolées amoureuses de Floria et de Mario sont vite étouffées par l’ombre du mal qui pèse en permanence. Seule la présence juvénile de l’Opérakids amène un brin de légèreté. Sombre jusqu’au final ! De la fosse, comme sorties de l’enfer, l’orchestre de l’Opéra de Limoges fait résonner les notes de Pucini, traversées parfois de pure poésie. Et dans cet océan de noir et de blanc en toute fin des deux parties, deux tableaux magnifiques et lumineux de couleurs comme sortis des pinceaux de Raphaël. Ce pilier du répertoire lyrique a été magnifiquement servi, ce week-end, à Vichy, et unanimement apprécié lors des deux représentations nécessaires pour satisfaire le très nombreux public.
https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/actualites/un-drame-passionnel-divinement-interprete_14664089/
TINA, il n'y a pas d'autre alternative que de continuer à faire vivre l'Opéra de Vichy des grands Opéras du 19ème siècle...
TINA, il n'y a pas d'autre alternative pour honorer notre engagement UNESCO :
Le 24 juillet 2021, le 44e Comité du patrimoine mondial réuni à Fuzhou (Chine), a inscrit les 11 Grandes Villes d’Eaux d’Europe dont Vichy sur la Liste du patrimoine mondial, reconnaissant leur valeur universelle exceptionnelle.
Baden bei Wien (Autriche), Spa (Belgique), Vichy (France), Baden-Baden, Bad Ems et Bad Kissingen (Allemagne), Montecatini Terme (Italie), Bath (Royaume-Uni), et Karlovy Vary, Mariánské Lázně et Františkovy Lázně (République tchèque) forment une série soigneusement sélectionnée parmi les centaines de villes thermales d’Europe. Ce bien transnational -réunissant sept pays différents- est reconnu comme apportant un témoignage exceptionnel sur le phénomène du thermalisme européen qui a atteint son apogée entre le XVIIIè siècle et les premières décennies du XXè siècle. Les sources, les établissements thermaux, les lieux de promenades, opéras, théâtres, pavillons de musique, gares, parcs, cafés, golfs ou hippodrome… tout ce que l’on conserve aujourd’hui de cette période faste, témoigne de cette valeur immatérielle exceptionnelle.
Rendez-vous sur le site www.vichy-patrimoine-mondial.compour vous faire découvrir les multiples facettes de cette inscription.
TINA, il n'y a pas d'autre alternative pour les européens soient attirés par Millésime 1853
Une adresse de référence au cœur de Vichy
Inscrite au Patrimoine mondial par l’UNESCO depuis 2021, Vichy abrite 2000 ans d’histoire du thermalisme européen, depuis les vestiges romains jusqu’aux grandes heures des années folles, en passant par les Lumières, le Second Empire et la Belle époque. La « Reine des villes d’eaux » subjugue par le raffinement de son architecture, la grandeur de ses parcs et la qualité de ses infrastructures.
Empreinte d’une rare élégance, votre résidence naît sur l’ancien site de la banque de France et profite de son emplacement exceptionnel dans la prestigieuse rue de Paris, référence pour tous les Vichyssois. Les thermes, l’opéra, le casino, le parc des sources et le parc Napoléon III se situent à moins de 10 min** à pied.
Voisine du centre commercial Les Quatre Chemins, la résidence bénéficie d’un immense choix de boutiques et de commerces à proximité immédiate, dont les marchés trois fois par semaine. Bus en pied d’immeuble et gare SNCF à 7 min** à pied complètent ce cadre de vie exemplaire.
Caractère authentique et élégance intemporelle
Alliance d’histoire et de modernité, cette résidence exclusive de 25 appartements seulement s’inscrit avec panache dans l’esthétique vichyssoise et arbore fièrement la façade emblématique de l’ancienne banque de France. Restaurée dans toute sa superbe, elle en magnifie le soubassement, les enduits, le couronnement, les corniches, les garde-corps et les ferronneries par une rénovation délicate respectant son caractère originel.
Ancrée dans son temps, elle intègre des matériaux nobles, dont des menuiseries bois naturellement durable, et pour certains appartements des innovations contemporaines comme les brise-soleil orientables assurant une occultation performante et une ventilation optimale des logements. Pour une parfaite sérénité, la résidence prévoit des accès sécurisés, des parkings en sous-sol et un local à vélos.
Du studio au 4 pièces, un standing et un confort exemplaires
La résidence propose 25 appartements de standing, déclinés du studio au 4 pièces avec vaste séjour et bureau. D’une habitabilité parfaite, les intérieurs bénéficient d’agencements soignés qui optimisent chaque mètre carré dans une belle harmonie des volumes. Baignés de lumière naturelle, ils sont sublimés par une grande hauteur sous plafond allant jusqu’à 3,25 m. La majorité se prolonge par des espaces extérieurs privatifs, petits balcons, loggias intimes ou belles terrasses plein ciel. Certifiés RE 2020 et NF Habitat, les appartements traduisent une conception exigeante qui s’accompagne de belles prestations, carrelage grand format dans le séjour et sol stratifié dans les chambres. Ils garantissent un confort durable et économe en énergie.
Services à la carte
Pour plus de tranquillité et moins de contraintes quotidiennes, un abonnement* réservé aux propriétaires de Millésime 1853 permet d’accéder aux services à la carte de la résidence voisine Cogedim Club Vichy.
A bientôt.
Amitié.