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Billet de blog 14 août 2024

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H comme Histoire de la ville de Vichy !!! (1/5)

PROPOSITION DE LOI visant à défendre l'appellation « dictature de Pétain ». PRÉSENTÉE par Gérard CHARASSE, alors député de l'actuelle 3ème Circonscription de l'Allier, Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 26 mars 2003.

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N° 1794
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
ONZIÈME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 8 septembre 1999.

N° 277

ASSEMBLÉE NATIONALE

CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958

QUATORZIÈME LÉGISLATURE

Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 10 octobre 2012.

https://www.assemblee-nationale.fr/12/pdf/propositions/pion0729.pdf

Additions de signatures des députés : 
MM. Gérard Bapt, Georges Colombier, Jean-Jacques Descamps, Albert Facon, Daniel Fidelin, Mme Arlette Franco, MM. Jean- Marie Geveaux, Paul Giacobbi, Joël Giraud, Pierre Goldberg, Mme Maryse Joissains-Masini, MM. Armand Jung, Noël Mamère, Mme Henriette Martinez, MM. Jean Michel, Christian Philipp, Éric Raoult, Jacques Remiller, Mme Chantal Robin- Rodrigo, MM. Guy Teissier, Michel Voisin et Émile Zuccarelli

Gérard Bapt, né le 4 février 1946 à Saint-Étienne, est un homme politique français membre du Parti socialiste et médecin-cardiologue. Il a été élu député de la Haute-Garonne aux législatives de mars 1978 et réélu jusqu'aux législatives de mars 1993, à l'occasion desquelles il est battu par Robert Huguenard. Il se représente et retrouve son mandat de député en juin 1997 puis est réélu en juin 2002juin 2007 et juin 2012. Il est battu en 2017. Il est le président fondateur du club Hippocrate, un cercle de réflexion parlementaire sur les questions de santé soutenu par les sociétés Générale de santéMalakoff Médéric et GSK2,3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gérard_Bapt

Georges Colombier, homme politique français, né le 8 mars 1940 à Jallieu (Isère). 

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Il est réélu député au premier tour le 10 juin 2007, pour la XIIIe législature (2007-2012), dans la circonscription de l'Isère (7e). Il fait partie du groupe UMP

Mandats

Mandats au 18/06/2007 :

Il est membre du groupe d'études sur le problème du Tibet de Assemblée nationale1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Colombier

Jean-Jacques Descamps, né le 20 mars 1935 à Lille, est un homme politique français. Issu d’une famille industrielle lilloise, élevé chez les Jésuites, il est ingénieur civil des Ponts et Chaussées, a fait son service militaire comme officier S.A.S. en Algérie. Il est député du Nord de 1986 à 1988, puis d'Indre et Loire de 1993 à 1997, de 2002 à 2007, conseiller régional du Centre de 1998 à 2002 et maire de Loches de 1995 à 2014. Après un stage long sur un barrage en construction en Irak, il a fait une carrière professionnelle dans l’industrie automobile, au service Organisation du Groupe Ferodo devenu Valeo, puis textile au sein du groupe DMC (Dollfus-Mieg et Compagnie). Il y exerce successivement les fonctions de contrôleur de gestion puis de directeur du développement et enfin directeur de la Division Tissages. En 1975, il reprend la présidence-direction générale de l'ex-société familiale Descamps, où il développe la chaîne de boutiques de linge de maison qui porte son nom. À la suite de divergences stratégiques avec le nouveau président du Groupe DMC, il quitte ce dernier fin 1985 avant de profiter des élections législatives de 1986 pour s’engager dans la vie politique active. Président de commission à la chambre de commerce de Lille-Roubaix-Tourcoing, puis conseiller municipal de Lille de 1983 à 1989, il est élu député du Nord en 1986 puis nommé secrétaire d’État chargé du Tourisme dans le gouvernement de Jacques Chirac (1986-1988) ; il y créé en 1987 la Maison de la France, afin de promouvoir le tourisme français à l’étranger. Non réélu en 1988, il reprend alors à Paris une activité de consultant dans la recherche de cadres dirigeants (cabinet Beigbeider, Caude et Partners) puis dans la cession-acquisition de salons professionnels (groupe Blenheim). Il est réélu député de la 3e circonscription d'Indre-et-Loire en 1993 et siège à l’Assemblée nationale jusqu’en 1997. Il y est membre de la commission des Finances et en particulier membre de la commission d’enquête sur le Crédit Lyonnais. Élu maire de Loches en 1995 et réélu en 2001 avec 66,7 % des suffrages puis en 2008 avec 58,15 %, il est 1er vice-président de la communauté de Communes Loches-Développement, chargé des finances depuis 1996, et président du Pays « Touraine Côté Sud » de 2001 à 2008. Il a été conseiller régional du Centre de 1998 à 2002. Il ne se représente pas à l'élection municipale de 2014, et quitte définitivement la vie politique après avoir publié un livre, Mémoires d'un Maire, Loches passionnément, aux éditions Hugues de Chivré, dans lequel il retrace son parcours politique et professionnel. Il publie à nouveau en 2016, chez le même éditeur un essai de prospective territoriale, Le grand Loches en 2040. Entre 1997 et 2002, après avoir été battu par Marisol Touraine, il reprend sa carrière professionnelle. Il est parallèlement directeur associé puis directeur général unique du Collège des ingénieurs, société de conseil et de formation de jeunes ingénieurs de haut niveau français et étrangers dont il reste administrateur. En 2002, il prend sa revanche sur Marisol Touraine et est réélu, avec 51,7 % des voix, député de la 3e circonscription d’Indre et Loire à l’Assemblée nationale, où il siège comme vice-président à la commission des Finances depuis le 5 octobre 2004. Il perd à nouveau et de justesse la circonscription en 2007 au profit de sa concurrente avec un score de 49,78 %. Il a fondé en 1999 et présidé jusqu'en 2013 l’Association des Plus Beaux Détours de France qui regroupe 100 des plus belles petites villes de France, situées à l’écart des grands axes touristiques. De même, il a fondé et co-présidé avec Paul Dubrule jusqu'en 2013 l'Institut français du tourisme, dont l'objectif majeur est d'améliorer la qualité professionnelle dans les métiers du tourisme. Il est officier dans l’ordre national du Mérite et officier de la Légion d'honneur. Il a également présidé, de 2009 à 2011, le conseil d'administration de l'ANCV (Agence nationale du chèque-vacances).Il est l'époux de la femme politique Marie-Hélène Descamps1

  • 25 mars 1986 - 10 mai 1988 : Secrétaire d'État chargé au Tourisme
  • 1986 : député du Nord (UDF)
  • 2 avril 1993 - 21 avril 1997 : député d'Indre-et-Loire (UDF)
  • 16 juin 2002 - 17 juin 2007 : député d'Indre-et-Loire (UMP)
  • 14 mars 1983 - 19 mars 1989 : membre du conseil municipal de Lille (UDF) (Nord)
  • 19 juin 1995 - 28 avril 2014 : maire de Loches (UDF) puis UMP
  • juin 1998 - juillet 2002 : conseiller régional du Centre (DL)
  • a publié en 1998 à la demande de Bernard Bosson, ministre chargé du Tourisme, un rapport sur le Tourisme de Pays
  • a publié en 2008 à la demande de Luc Chatel, ministre du Tourisme, un rapport sur la formation aux métiers du Tourisme
  • a publié en décembre 2013 un livre intitulé Mémoires d'un Maire..... Loches passionnément, aux éditions Hugues de Chivré
  • a publié en décembre 2016 un essai intitulé Le grand Loches en 2040, aux éditions Hugues de Chivré

Albert Facon, homme politique français, né le 11 novembre 1943 à Vichy (Allier). Il commence sa carrière politique en entrant au conseil municipal de Courrières en 1971. Il en est le maire de 1981 à 2003. Il est également élu sur le canton de Courrières de 1981 à 2001, date à laquelle Jean-Pierre Corbisez lui succède. Il est également élu conseiller régional sur la liste de Noël Josèphe de 1986 à 1988, date à laquelle il est élu député sur la 14e circonscription du Pas-de-Calais. Il se représente aux élections législatives de 1993, mais est battu par Jean Urbaniak. Il reprend la circonscription en 1997. Il est réélu député le 17 juin 2007, après avoir été opposé, au second tour, à Marine Le Pen, pour la XIIIe législature (2007-2012), dans la circonscription du Pas-de-Calais (14e). Il fait partie du groupe socialiste. Il est également président de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin de 2001 à 2008, date à laquelle Jean-Pierre Corbisez lui succède. En décembre 2011, le choix du candidat socialiste pour la circonscription est décidé par un vote interne aux militants du PS. Non choisi initialement, Albert Facon dépose un recours contre cette élection. La circonscription est ensuite gelée par la convention d'investiture nationale du PS1,2.

Jean-Marie Geveaux est un homme politique français, né le 8 mai 1947 à Vion (Sarthe). Membre de l'UMP, il est député de la deuxième circonscription de la Sarthe au cours de la Xe législature (1993-1997) et de la XIIe législature (2002-2007). Il est président du conseil général de la Sarthe du 31 mars 2011 au 2 avril 2015. En janvier 2015, il annonce ne pas briguer de nouveau mandat de conseiller départemental lors des élections départementales de 20151

Paul Giacobbi, né le 4 juin 1957 à Courbevoie, est un homme politique françaisdivers gauche. Il est député français pour la 2e circonscription de la Haute-Corse de 2002 à 2017 et président du conseil exécutif de Corse de 2010 à 2015. Il est condamné en 2018 pour détournement de fonds publics dans le cadre de l'affaire des gîtes ruraux de Haute-Corse. Issu d'une famille radicale-socialiste (la famille Giacobbi), il est le fils de l'ancien député et sous-secrétaire d'État François Giacobbi2, et le petit-fils de Paul Joseph Marie Giacobbi3 qui fut ministre après-guerre et sous la IVe République, lui-même fils de Marius Giacobbi, qui fut également député et sénateur pour la Corse, et petit-fils de l'avocat et écrivain Joseph Marie Giaccobi. Sa femme est d'origine indienne4, née à Calcutta5. Élève aux lycées Louis-le-Grand et Henri-IV, il obtient son baccalauréat et intègre l'Institut d'études politiques de Paris. Diplômé (promotion 1979, section Service Public)6, il y prépare le concours de l'École nationale d'administration, où il est admis en 1980 dans la promotion Henri-François d'Aguesseau7. En 1982, Paul Giacobbi sort de l'ENA dans le corps des administrateurs civils. Il entre au ministère de l'Urbanisme et du Logement comme chef du bureau des sites à la direction de l'urbanisme et des paysages7. Un an plus tard, membre du Parti radical de gauche (PRG), il est élu maire de Venaco. Il quitte le ministère de l'Urbanisme en 1986, année à partir de laquelle il siège à l'Assemblée de Corse. En 1988, le nouveau ministre du Commerce et de l'Artisanat, le radical François Doubin, l'appelle à ses côtés comme conseiller technique jusqu'en 1990, puis il devient de 1991 à 1996, secrétaire général de l'Entreprise industrielle. En parallèle, de 1992 à 1998, il est conseiller exécutif et président de l'Office de l'environnement de la Corse7. Il quitte la présidence du conseil général le 14 octobre 2010. Émile Zuccarelli, nommé en 1997 ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l'État et de la Décentralisation, l'appelle dans son cabinet comme conseiller. Le canton de Venaco l'envoie siéger la même année au conseil général de Haute-Corse dont il prend la présidence le 22 mars 1998. Il devient alors président de la commission urbanisme à l'Assemblée des départements de France (ADF)7. Quand Émile Zuccarelli quitte son ministère en 2000, Paul Giacobbi est chargé de mission au Conseil général des ponts et chaussées7. Il quitte ces fonctions quand il est élu député dans la 2e circonscription de la Haute-Corse lors des élections législatives de 2002. Il est réélu en 2007. Apparenté au groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, il devient secrétaire de l'Assemblée nationale. Il se présente aux élections territoriales de 2010 de Corse. Au second tour, il réussit l'union de la gauche sur l'île de Beauté. Sa liste arrive en tête avec 36,62 % (52 661 votes). Il réalise son plus haut score en Haute-Corse avec près de 40 % contre 30 % en Corse-du-Sud. C'est aussi la première fois, depuis sa création, que l'Assemblée de Corse passe à gauche. Il est réélu en 2012 député dans la 2e circonscription de la Haute-Corse avec 64,34 % des voix exprimées8. À la suite de mésententes avec Jean-Michel Baylet, président du PRG, il quitte ce parti à la fin de l'été 2014. Il soutient Emmanuel Macron dès le premier tour de l'élection présidentielle de 2017 et assiste à son investiture au palais de l'Élysée9,10. Franc-maçon, il est membre de la Grande Loge de France (GLDF)11,12.

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