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Billet de blog 15 novembre 2021

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Linden Blossom : DE LA VIBRATION A LA RÉSONANCE

« L’air tisse l’Univers Le souffle tisse l’homme » ( Upanishad_Atharva_Véda)

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    DE LA VIBRATION

    A

    LA RÉSONANCE

  • « L’air tisse l’Univers

    Le souffle tisse l’homme »

    ( Upanishad_Atharva_Véda)

    Mon œuvre est un essai composé d’opus aussi variés qu’un

    pot-pourri d’où émerge tel le Tao de la physique ou le yoga de la

    Kundalini la présence d’une conscience quantique.

    On y trouvera la plupart des théories du « Grand virage de l’humanité »

    drapées sous le « Voile d’Isis » en une sorte de point d’orgue cosmique

    aussi vibrant que la flexibilité de l’espace temps retenant entre les

    mailles d’or de la Chrysopéa l’équation flamboyante autant que

    sulfureuse de Boltzmann.

    « Tes points sont trop serrés ! Laisse du jeu entre les mailles » !

    Ainsi ma mère ressentait le « Tao de la physique » qu’à sa façon plus

    diabolique « Zorba le Grec » illustra dans la dernière scène du film :

    « Tu sais ce qui te manque, toi ?

    Un p’tit grain de folie ! »

    Qui opposerait que ce petit grain de folie n’est point la clé de la partition

    de la condition humaine ?

    Du troisième genre de connaissance de Spinoza aux sagesses

    Tibétaines c’est lui qui relie TOUT. C’est lui qui harmonise TOUT.

    C’est lui qui referme la boucle d’Ouroboros et l’oriente vers le point

    d’origine. C’est lui le chatoiement des perles du collier d’Indra, la

    scintillance de la « Catena Aurea » occidentale, c’est lui qui relie Jung à

    travers les productions de ses patients névrosés au grand Rabelais, dont

    la pensée enjouée lui fit écho à quelque empan d’espace temps !

  • C’est Hermès Trismégiste tenant la main d’Eurydice qui tient la main

    d’Orphée.

    C’est lui qui se cache derrière les syllabes invisibles de la langue

    grecque, nous laissant seulement deviner l’accent muet de ce qui fut.

    C’est lui qui inscrit à travers les rituels des Sénoufos du Mali l’archétype

    calqué chez Bachelard.

    Ma composition actualise une forme de hâta-yoga traversée par des

    éclairs de conscience intuitive extraneuronale.

    La technique vocale du « Bel Canto » telle qu’elle me fut enseignée

    c’est-à dire dans un accompagnement amical avec Rudolf Steiner,

    s’harmonisa par sa pratique de respiration avec la méditation

    transcendantale.

    Le chant lyrique par le contrôle du souffle est une forme de méditation

    transcendantale. Il permet de rejoindre notre essence première, de

    fondre notre intellect particulier dans l’Esprit universel, bref, de

    communier avec l’âme du TOUT.

    Maharishi est plus que la chair holographique, portée sur laquelle

    dansent les notes cosmiques musicales. Son univers c’est mon ADN.

    D’un autre angle de vue ma composition est proche d’une « Asana » au

    sens de posture stable et agréable. Cette virtuosité immobile de l’aigle

    des Andes ou « Stabile-mobile de Calder » à l’acmé de laquelle on

    oublie son corps, cet état de conscience a quelque chose à voir avec le

    « Mooning Away » saxon ou avec la métaphore éclairante :

    « Être dans la Lune »…

    Cette posture mentale orientale est scientifiquement et

    spirituellement analysée dans « Le Tao de la physique de Fritjof Capra.

    Bref, célébrer par envisionnement cosmico-quantique les épousailles

    heureuses de Rabelais avec l’anthroposophie de Rudolf Steiner et en

    mode philophonique selon Erik Satie donne à entendre au delà de cette

    musique de chambre à « Prendre par dessus la jambe » un véritable

    exercice initiatique à la méditation transcendantale.

    Au delà de cette mousse électronique semblable à une cacophonie

    micellaire dans l’esprit d’Elliott Carter ou Strawinski, émerge l’énergie

    cyclique holographique d’une autre musique, émerveillante autant que

    sauvage qui « Scorrevole Spianato » ou « Squerzando Cantabile » va

    actualiser un « Rubato » très « Mine de rien » façon endiablée de

    Jankélévitch, dont l’haleine véhémente surfe dans tous les sens de

  • l’absurde surréaliste propre à l’esprit de Satie ou encore

    infinitésimalement beckettienne, une « Mistura Difficile », mistura

    océaniquement baroque dont les chatoyantes transmodulations se

    mêlent à celles de G.Scelsi dans la symbolique spirituelle d’une

    Eucharistie quantique exotiquement mystique et astralement ancrée.

    Mais comme la rose d’Angélus Silésius : elle est sans pourquoi.

    Alors cessons de l’effeuiller ! Laissons-la, telle mon œuvre

    célébrer le sixième jour de la genèse !

    Une œuvre traversée du souffle qui fait vibrer la huitième corde de la

    Lyre d’Orphée et enchante la matière !

    Ses harmoniques dansent et font la ronde autour des sept corps

    d’énergies de l’Être nimbant le corps physique telle la danse de Salomé

    dont les sept voiles battent des ailes selon les anges messagers que

    sont les neutrinos faisant vibrer l’invisible !

    C’est aussi un chant : celui du joyeux bavardage moléculaire du corps

    astral, voile d’Isis où s’amusent toutes les mémoires qui dessinent

    holographiquement « The Man Of Over-morning » reconnu par

    H.D.Thoreau et cher à Nietzsche, « Squerzando scorrevole » au bord de

    certains soirs, de certains « Blues » de l’âme, une étincelle chargée du

    poids d’un mystère qui la dépasse, celui de la conscience Intuitive

    extraneuronale surfant « Allegro Vivace » sur les ondes gravitationnelles,

    slalomant entre les espace temps, va propulser par abduction de

    conscience vers ces royaumes extra galaxiques de l’ »Uncany valley »…

    Au coin de la rue Tesla fait un pied de nez…

    « Des pas résonnent en écho dans la mémoire

    Le long du corridor que nous n’avons pas pris

    Vers la porte que nous n’avons jamais ouverte

    Sur le jardin de roses ».

    Thomas S.Eliot

    Enlightened Child,

    Linden Blossom.

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