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 Le Magnificat, une prière pour ces temps bouleversés

13 août 2015 |  Par Bernard Devert

Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.

 Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).

Le devoir d’assistance à personne en danger est oublié. Les organismes caritatifs en rappellent l’urgence et les institutions internationales, telle l’ONU, soulignent la nécessité de quotas. Si notre humanité est blessée, elle est aussi gravement blessante. L’évêque anglican de Douvres écrivant fort justement « les migrants ne sont pas d’abord un problème mais des êtres humains ».

Des frères sont délogés de leur monde, souvent brutalement, sans parvenir à trouver une nouvelle place. Je pense à ce jeune-homme, Bakari,  qui dut quitter seul, il y a trois ans, le Mali ; il avait 15 ans. Sa mère l’a confié à un passeur pour lui donner une chance de rester en vie, son père ayant été sauvagement assassiné.

En France après trois années de galère, un accompagnement lui est réservé, mais son avenir reste encore insécurisé.

La tentation est d’ériger des frontières, autant de lignes imaginaires. Qui peut penser qu’elles ne céderont pas devant l’immense misère, aggravée par une brutalité destructrice et une économie irrespectueuse de la planète, cause d’un dérèglement climatique touchant les populations les plus pauvres ; elles n’ont bénéficié d’aucun avantage de cette course à la puissance, mais elles en subissent, les premières, les conséquences jusqu’à devoir s’exiler.

En cette fête de l’Assomption, comment ne pas nous souvenir de la parole de l’ange à Marie : sois sans crainte ; elle nous est adressée.

La crainte n’est pas appelée à être occultée ou niée, mais traversée par un oui plénier à l’existence, refusant ces désordres établis pour susciter un nouvel ordonnancement des richesses, accompagné de sécurités hiérarchisées à l’attention de ceux qui ont tout perdu pour avoir dû s’enfuir de leurs enfers.

« Il renverse les puissants », observant queles idées de puissance progressivement apparaissent décalées, telle la croissance comme finalité.

Cette prise de conscience ne participe-t-elle pas à la prière du Magnificat, sois sans crainte, un autrement se dessine.

« Il renvoie les riches les mains vides », non point rejetés mais pour leur permettre d’expérimenter que quand rien ne manque, tout manque. Vivre c’est vibrer non dans la recherche d’addictions à  l’argent, au plaisir ou au pouvoir mais à partir de ces rencontres qui souvent nous changent jusqu’à nous faire exister autrement. Magnificat, alors !

Souvenons-nous de Dante dans le Paradis : ô Toi qui ennoblis la vie de telle manière que Celui qui était son créateur a voulu se faire sa créature. Tout est bouleversé, renversé ; alors s’ouvre un autre chemin nous éloignant des inessentiels pour devenir plus humains.

Magnificat, pour l’acuité et actualité de cette prière.

Texte français (traduction officielle)

Mon âme exalte le Seigneur,
exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !

Il s'est penché sur son humble servante ;
désormais, tous les âges me diront bienheureuse.

Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
Saint est son nom !

Sa miséricorde s'étend d'âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,

il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.

Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël, son serviteur,
il se souvient de son amour,

de la promesse faite à nos pères,
en faveur d'Abraham et de sa descendance, à jamais.

Texte grec : 46 Μεγαλύνει ἡ ψυχή µου τὸν Κύριον 47 καὶ ἠγαλλίασε τὸ πνεῦµά µου ἐπὶ τῷ Θεῷ τῷ σωτῆρί µου, 48 ὅτι ἐπέβλεψεν ἐπὶ τὴν ταπείνωσιν τῆς δούλης αὐτοῦ. ἰδοὺ γὰρ ἀπὸ τοῦ νῦν µακαριοῦσί µε πᾶσαι αἱ γενεαί. 49 ὅτι ἐποίησέ µοι µεγάλα ὁ δυνατός καὶ ἅγιον τὸ ὄνοµα αὐτοῦ, 50 καὶ τὸ ἔλεος αὐτοῦ εἰς γενεὰς γενεῶν τοῖς φοβουµένοις αὐτόν. 51 Ἐποίησε κράτος ἐν βραχίονι αὐτοῦ, διεσκόρπισεν ὑπερηφάνους διανοίᾳ καρδίας αὐτῶν· 52 καθεῖλε δυνάστας ἀπὸ θρόνων καὶ ὕψωσε ταπεινούς, 53 πεινῶντας ἐνέπλησεν ἀγαθῶν καὶ πλουτοῦντας ἐξαπέστειλε κενούς. 54 ἀντελάβετο Ἰσραὴλ παιδὸς αὐτοῦ, µνησθῆναι ἐλέους, 55 καθὼς ἐλάλησε πρὸς τοὺς πατέρας ἡµῶν, τῷ Ἀβραὰµ καὶ τῷ σπέρµατι αὐτοῦ εἰς τὸν αἰῶνα. (St Luc 1 http://www.myriobiblos.gr/bible/nt2/luke/1.asp [archive])

https://www.youtube.com/watch?v=kswldKbFKE0

« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, à propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.

« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/13/mediapart-plenel-prepare-l-apres-plenel_4593035_3236.html#4QbGXz4SxOWiHQWO.99

« L’histoire de Mediapart est très exigeante »

Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapart, explique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.

L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/13/mediapart-plenel-prepare-l-apres-plenel_4593035_3236.html#4QbGXz4SxOWiHQWO.99

« Edwy » restera dans les parages

Restera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Net, en décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).

Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapart, sauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » – peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/13/mediapart-plenel-prepare-l-apres-plenel_4593035_3236.html#4QbGXz4SxOWiHQWO.99

26/08/2015, 11:04 | PAR VIVRE EST UN VILLAGE

Parole de qui ? Du malade ou du psychanalyste.

En psychanalyse les termes «malade», «médecin», «remède» ne sont pas plus justes que les formules au passif qu'on adopte communément. On dit : «se faire psychanalyser». C'est un tort. Celui qui fait le vrai travail en analyse, c'est celui qui parle, le sujet analysant. Même s'il le fait de la manière suggérée par l'analyste qui lui indique comment procéder, et l'aide par ses interventions. Lui est aussi fournie une interprétation.

A première vue, elle semble donner un sens à ce que dit l'analysant. En réalité, l'interprétation est plus subtile, tendant à effacer le sens des choses dont souffre le sujet. Le but est de lui montrer à travers son propre récit que le symptôme, la maladie disons-le, n'a aucun rapport avec rien, qu'elle est privée de quelque sens que ce soit. Même si en apparence elle est réelle, elle n'existe pas.

Les voies par lesquelles procède cet acte de la parole réclament beaucoup de pratique et une infinie patience. La patience et la mesure sont les instruments de la psychanalyse. La technique consiste à savoir mesurer l'aide qu'on donne au sujet analysant. Par conséquent, la psychanalyse est difficile.

Ce chapitre me semble être particulièrement important

J'essaie de concilier ce texte avec ce texte pour enrichir notre partcipatif : 

http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/170815/et-exsultavit-spiritus-meus-plenel-salvatore-meo

 Le Magnificat, une prière pour ces temps bouleversés

13 août 2015 |  Par Bernard Devert

Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.

 Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).

L'ambition me semble être très ambicieuse mais il me semble que le jeu en vaut la chandelle

😎😎😎

A bientôt.

Amitié.

26/08/2015, 12:08 | PAR JOELLE LOCATELLI EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE VIVRE EST UN VILLAGE LE 26/08/2015 À 11:04

l'ambition de qui ou de quoi ? Tu peux préciser ?

26/08/2015, 15:26 | PAR VIVRE EST UN VILLAGE EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE JOELLE LOCATELLI LE 26/08/2015 À 12:08

l'ambition de qui ou de quoi ? Tu peux préciser ?

Pour faire très simple, l'ambition de comprendre cet article

Mediapart : Plenel prépare l’après-Plenel

LE MONDE ECONOMIE | 13.03.2015 à 11h25• Mis à jour le 16.03.2015 à 14h58| Par Alexandre Piquard

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Edwy Plenel, dans les locaux de Mediapart, en avril 2012. Son retrait annoncé n'est pas sans poser des question dans la rédaction MARTIN BUREAU / AFP

« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapartà propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.

« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %).

Cet homme s’était pourtant bien équipé … 

Cliquez ici pour connaître la suite 

26/08/2015, 15:27 | PAR VIVRE EST UN VILLAGE EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE VIVRE EST UN VILLAGE LE 26/08/2015 À 15:26

Redressement fiscalLa quasi-totalité des revenus de Mediapartprovient des abonnements (9 euros par mois). Le site en revendique aujourd’hui 112 000, contre 107 000 fin 2014, année au cours de laquelle il a recruté 23 000 nouveaux lecteurs payants. « C’est d’autant plus satisfaisant queMediapart n’a pas eu en 2014 de très gros scoop, comme en 2013 avec l’affaire Cahuzac », note Marie-Hélène Smiejan, la directrice générale. Aquilino Morelle, le conseiller de François Hollande contraint à la démission par un article, un an après le ministre du budget, serait peut-être d’un autre avis, mais qu’importe, Mediapartest désormais installé dans le paysage.

Seule ombre au tableau : l’entreprise se voit toujours réclamer 4,7 millions d’euros par le fisc pour avoir appliqué, de 2008 à 2014, le taux de TVA de 2,1 % accordé aux médias imprimés. Cette somme couvre 3 millions d’euros de TVA, 1,2 million de pénalités et 500 000 euros qui viennent d’être exigés par l’administration pour 2013-2014.

Pourquoi Mediapart fait l’objet d’une redressement fiscal... et le conteste

Un redressement que Mediapart conteste fermement au nom de la« neutralité des supports », également défendue par la profession et le gouvernement. Le site espère ne pas avoir à piocher dans sa trésorerie de 3 millions d’euros.

« L’histoire de Mediapart est très exigeante »Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapartexplique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.

L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.

26/08/2015, 15:27 | PAR VIVRE EST UN VILLAGE EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE VIVRE EST UN VILLAGE LE 26/08/2015 À 15:27

« Edwy » restera dans les paragesRestera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Neten décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).

Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapartsauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » –peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.

Un « pure-player » d’anciens de « Libé »Un site d’information payant, Lesjours.fr, va être lancé dans les prochains mois par d’anciens journalistes de Libération qui ont quitté le quotidienà la faveur du rachat du journal par de nouveaux actionnaires dont le magnat des télécommunications, Patrick Drahi. Parmi eux, on trouve les « Garriberts » (Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts), couple qui couvrait le secteur des médias, mais aussi les rédacteurs Olivier Bertrand, Nicolas Cori, Sophian Fanen, Antoine Guiral et Charlotte Rotman.

🤐🤐🤐

A bientôt.

Amitié.

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