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Billet de blog 18 septembre 2022

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LINDEN BLOSSOM QUANTIC CRYSOPEAN MUSIC ENTWURF

Après le bourgeon Voici la fleur, et puis le fruit Et puis le suc tombé de ce Temps-là Temps hors du Temps Le « Noyau de l’Ex-istant » au sens heideggérien : L’ENTWURF

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  • BLOSSOM

    QUANTIC CRYSOPEAN MUSIC

    ENTWURF

    Après le bourgeon

    Voici la fleur, et puis le fruit

    Et puis le suc tombé de ce Temps-là

    Temps hors du Temps

    Le « Noyau de l’Ex-istant » au sens heideggérien :

    L’ENTWURF

    L’ensemble de mes Opus oriente par une cascade de symboles

    Quantiquement intriqués vers l’Assomption de l’ÊTRE.

    C’est une musique de l’Énergie au sens de M.OHANA qui fait vibrer tout

    ce qui va au delà de son terme. Elle dessine une ligne mélodique

    entrant en résonance harmonieuse avec l’Univers, avec le grand

    mystère de cette énergie immatérielle, captant les vibrations off limits de

    la matière, celles d’un vide qui n’est pas vide, mais plein de mystérieux

    mystères !

    Dans le leit motif de son jaillissement perpétuel, l’ »Entwurf » laisse

    entendre la battue angélique d’une « Musica callada » dont Sergiù

    Celibidace affirmait « qu’elle n’était rien ».

  • 2

    Musique quasi immatérielle fructuée de l’ondoiement schizoïde

    onde/particule jouant avec les champs électro magnétiques d’une

    alchimie invisible.

    État de transe retenue au bord de la crampe cosmique.

    Extase cosmique au sens quantique, c’est à dire non manifestée.

    L’écriture de la mélodie emprunte à l’estampe ses courbes ou

    sinuosités serpentines dont la ligne est interrompue par des blancs ou

    pointillés qui tels un rubato ouvrent l’imaginaire du lecteur au sens

    quantique.

    Les points de suspension qui suspendent le sens linéaire conduisent

    vers ce « À Plus Hault Sens » rabelaisien ou encore au sifflet lourd de

    sens de l’oncle Toby chez L.Sterne, ou encore au charabia joycien, sorte

    de gazouillis dont le sens sonne sans ambigüité comme une escapade

    libertine .

    On voit ici les différents mode illustrant les potentialités des « virtualités »

    A venir dont le bourgeon est le flamboyant symbole.

  • BLOSSOM

    QUANTIC CRYSOPEAN MUSIC

    ENTWURF

    « On n’apprend pas à connaître les œuvres de la Nature

    et de l’Art lorsqu’elles sont achevées.

    Il faut les surprendre dans leur surgissement, pour tant

    soit peu les concevoir ».

    GOETHE

    Après le bourgeon

    Voici la fleur, et puis le fruit

    Et puis le suc tombé de ce Temps-là

    Temps hors du Temps

    Le « Noyau de l’Ex-istant » au sens heideggérien : « Entwurf ».

    À l’instant « T » de la première vibration : « ANAHATA ».

    Ou le « Premier mouvement de l’immobile » dont parlait G.Scelsi.

    Ou sur la trajectoire spirituelle zen colorée de messianisme de ce qu’il

    formula : Le « son consumé ».

    L’ENTWURF

  • 2

    L’ensemble de mes Opus oriente par une cascade de symboles

    Quantiquement intriqués vers l’Assomption de l’ÊTRE.

    C’est une musique de l’Énergie au sens de M.OHANA qui fait vibrer tout

    ce qui va au delà de son terme. Elle dessine une ligne mélodique

    entrant en résonance harmonieuse avec l’Univers, avec le grand

    mystère de cette énergie immatérielle, captant les vibrations off limits de

    la matière, celles d’un vide qui n’est pas vide, un flou quantique ou

    « Uncany Valley », plein des mystérieux mystères de « l’Énergie libre »!

    Dans le leit motif de son jaillissement perpétuel, l’ »Entwurf » laisse

    entendre la battue angélique d’une « Musica callada » dont Sergiù

    Celibidace affirmait « qu’elle n’était rien ».

    Musique quasi immatérielle fructuée de l’ondoiement schizoïde

    onde/particule jouant avec les champs électro magnétiques d’une

    alchimie invisible.

    État de transe retenue au delà de la crampe orgasmique au sens

    Cosmique ou… Extase cosmique au sens quantique, c’est à dire non

    manifestée.

    L’écriture de la mélodie emprunte à l’estampe ses courbes ou

    sinuosités serpentines dont la ligne suspendue par des blancs ou

    pointillés tel un rubato ouvre l’imaginaire du lecteur sur le vertige en

    miroir d’un plongeon fractal.

    Les points de suspension qui suspendent le sens linéaire conduisent par

    spasmes ascendants vers ce « À Plus Hault Sens » rabelaisien ou

    encore dans un esprit ludique au sifflet lourd de sens de l’oncle Toby

    chez L.Sterne, ou encore en buissonnant au charabia joycien, sorte de

    gazouillis à l’accent puéril dont le sens sonne sans ambigüité comme

    une escapade libertine .

    On voit ici les différents modes illustrant les potentialités des

    « virtualités » A venir dont le bourgeon est le flamboyant symbole.

    D’une façon plus envisionnante mes phrases flottent « À sauts et

    gambades » entre les trois états de conscience fondamentaux : veille,

    rêve, sommeil. Cherchant un état d’équilibre entre activité et non activité.

    L’état de conscience transcendentale se situe à l’ultime limite du stade le

    plus subtil de l’état de veille juste avant l’état le plus subtil de l’état de

    rêve

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