OUROBOROS
QUANTIC HEAVEN’S FIZZ
MANIFESTO
DE CATENA AUREA AB INDRA COLLARE
Mon Opus est la cristallisation d’une histoire que « les syllabes
cachées de ce qui arriva si longtemps auparavant » conduisirent à la
stellification :
« De Catena Aurea ou Indra Collare » est le chant de cet
arrière-plan subliminal accompagnant le premier chant à l’instar du
process dont Elliott Carter accompagna « Syringa » ( poème de
J.Ashbery) , chant actualisant la Stellification d’une histoire qui arriva si
longtemps auparavant comme le mythe d’Orphée.
La Stellification est le Process du channelling vers l’AORA,
Rituel de « Mise en Lumière » en hébreu.
À son tour, la mise en abime selon la loi cyclique holographique de cette
« Mise en Lumière » sera actualisée par l’équation de Boltzmann :
_ S= k log W
C’est l’abstraction devenue réalité !
Ou, dans la symbolique d’Ouroboros, la queue du serpent s’abouchant
avec la tête, qui est la réalité devenant abstraction illustre bien ce
caractère cyclique que l’on retrouve partout de puis la biologie jusqu’à la
Musique !
Ainsi chez Schubert l’écart entre deux notes n’est pas deux notes !
Ailleurs chez Stanley Cavell :
« Who can begin an essay with Nietzsche’s « Birth and tragedy » and
end it with an analysis of Fred Astair ? »
Ainsi de mon processus pulsant « on streaming » la gaucherie
charmante de mes humeurs capricantes qui n’est autre qu’un jeu de
vagues où le sensible et l’intelligible jouent à vibrer l’un dans l’autre (
processus illustré en architecture par l’escalier à double révolution de L.
De Vinci à Chambord) célébrant une exaltation tourbillonnante de tous
les sens dans la magie des « atomes qui s’aiment » selon le
néoplatonisme de Marsile Ficin, en faisant scintiller la matière.
C’est l’enchantement de la matière grâce à l’Énergie cosmique !
Si j’en crois cette réflexion de Marc Aurèle :
« Va toujours par le chemin le plus court, et le chemin qui va le plus
court est celui qui va selon la Nature. Voilà pourquoi il faut agir et parler
en tout de la façon la plus naturelle.
Les biens propres de l’âme raisonnable:
Elle se voit elle-même, s’analyse elle-même, se façonne elle-même à sa
volonté. Le fruit qu’elle produit, elle-même le récolte :
c’est l’auto-procréation ».
En nous éclairant par sa théorie de l’univers cyclique holographique qui
passe par le schème de l’archétype junghien de « l’Éternel retour », la
proposition de P.Guillemant referme la boucle d’Ouroboros qui avait
dans les temps de la Grèce ancienne sublimement exposé le trio
Anaximandre, Parménide et Héraclite :
« Le Feu crée le monde et toutes choses. Il fait son Ordre. »
Le Feu au sens de Numen ! C’est-à-dire : Énergie.
Du murmure des infravies ou fredon perspiré du
« Palais des Recordations » à la « Voix de l’Oracle » Transverbérée de
« Rouge-Méthylène » en passant par les vapeurs méphitiques de la
Pythie de « À Souffle Mêlé » métaphore du « Son consumé » cher à
Scelsi, la complicité ontologique chère à Bourdieu traverse la trilogie de
cette « Beauty Of Intricacy » à l’arôme consumé goethéen réveillé
cosmiquement par les neutrinos immatériels.
Du channeling aux abductions de conscience, l’Oiseau-
Lyre du poète sent ses ailes battre du frisson sacré !
Oui, un autre monde est en marche ! Et nos enfants sont bien là pour
nous le signifier !
Billet de blog 20 octobre 2021
Linden Blossom : OUROBOROS QUANTIC HEAVEN’S FIZZ MANIFESTO DE CATENA AUREA AB INDRA
Mon Opus est la cristallisation d’une histoire que « les syllabes cachées de ce qui arriva si longtemps auparavant » conduisirent à la stellification : « De Catena Aurea ou Indra Collare » est le chant de cet arrière-plan subliminal accompagnant le premier chant à l’instar du process dont Elliott Carter accompagna « Syringa » ( poème de J.Ashbery)
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