Le gouvernement a définitivement perdu la bataille de l'opinion publique. Les méthodes staliniennes employées pour forcer le plus grand nombre à se faire injecter le "sérum magique" ont fini de convaincre les plus récalcitrants de ne pas se faire vacciner.
On voudrait éloigner la population de la vaccination qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Invectives, dédain, lois restreignant l'accès à la culture, aux soins, à l'administration, à l'emploi pour les non-vaccinés. Voilà la pédagogie que le gouvernement a décidé de promouvoir pour faciliter l'adhésion de la population, croit-il, au bien-fondé de la vaccination. "La pédagogie pour les nuls", voilà le manuel qu'on pourrait recommander au gouvernement, du président au premier ministre en passant par le ministre de la Santé. Personne ne sait vraiment si les vaccins sont efficaces. Les spécialistes se succèdent et se contredisent les uns les autres. Tous les scientifiques qui osent dire le début du commencement d'une simple critique à la vaccination sont ostracisés et ne sont plus conviés sur les plateaux de télévision.
Et la population dans tout ça? Qui doit-elle croire? Difficile en tout cas d'accorder du crédit à un gouvernement qui a menti sans discontinuer de façon éhontée ces cinq dernières années.
Les laboratoires? Pas évident là non plus de croire Pfizer par exemple qui a été condamné pour corruption impliquant des médecins chargés de faire la promotion abusive de médicaments dont un était interdit (Bextra).
La réalité, c'est qu'il y a près de six millions de non-vaccinés aujourd'hui que le gouvernement a juré de faire plier coûte que coûte. Mais ce que le gouvernement ne voit pas, aveuglé dans son dogme vaccinal, c'est que le doute gagne de plus en plus de vaccinés également face à la politique du rapport de force qu'il a choisie. "Une fois la population majoritairement vaccinée, l'épidémie sera terminée". C'est bien ce que les principaux laboratoires par la voie du président de la République ont promis. Résultat : une cinquième vague encore plus puissante que toutes les autres avec des répercussions gigantesques sur l'économie, le travail, les familles etc.
Les citoyens ont beau ne pas connaître grand chose à la biologie, la biochimie, la médecine, l'épidémiologie, la vaccinologie, l'immunologie et toutes ces sciences d'une immense complexité mais ils ont suffisamment de mémoire pour se souvenir des promesses qui partent en vrille, des mensonges assénés face aux caméras avec un aplomb déroutant notamment ceux afférents aux masques mais pas seulement. Donc sans être des sachants, le commun des mortels car face au virus, c'est bien ce que nous sommes aujourd'hui, a le droit de douter, de ne pas croire en la science, en la religion, en la politique et dans toute idée contraire à ses convictions. Les lecteurs de presse qui cherchent désespérément la vérité scientifique au milieu de ce magma d'informations doivent pouvoir s'exprimer plutôt que d'être traités avec mépris et désinvolture car même s'ils n'ont pas passé de longues années à retenir des formules chimiques et à apprendre et comprendre le fonctionnement du corps humain, ils ont toutes les bonnes raisons de montrer une telle défiance face au politique et désormais face à la science.
Le pass vaccinal est une aberration qui va emmener toute une civilisation dans l'arbitraire avec tout ce qu'il comporte d'injuste et de révoltant.
Est-ce la société que nous voulons laisser à nos enfants? C'est pourtant bien ce vers quoi nous allons bon gré mal gré...