Vous voulez tutoyer les anges pour pas qu'les demons vous voient,
Y'a qu'plaider qu'est en mon pouvoir,le fou va soudoyer l'étrange,
Bon qu'à te fourvoyer, à brailler des avis, dans un monde en folie broyée,
Faut le foutre à l'eau,
En attendant mon flow l'est ravi d'vous noyer,
ça y est, Chaque seconde compte, le con compte se tailler,
Loin d'ce monde, loin d'ceux qu'on d'la maille et,
Mon âme me plombe et m'étripe, j'tombe dans l'cahier, j'tombe de la falaise,
L'cas est sombre j'gronde, tant qu'j'caresse l'idée d'vider mes tripes sur des ondes,
Et de guider mes ombres vers la clarté,
En apparté, à l'aise que dans l'son, du malaise dans l'sang, j'me sens à part t'sais,
Un gars stressé qui sur le papelard cède de l'attention,
La tension est palpable, n'essaie pas d'me dresser,
Je ne sais pas m'redresser, blessé par l'ascension alléchante, la sensation d’être chassé par les gens,
J'ai ressassé la chanson, alors j'chante sans cesse et sans jamais m'lasser,
La bête n'est pas méchante, l'allégeance l'emmerde,
J'rêvais déja d'me casser avant d'casser le rêve,
Embrasser la légende, allez j'rentre en elle,
J'm'abrevais déja du passé avant d'passer l'brevet,
Tends l'oreille car j'en lâche des phases abruptes,
Dans la brume puis dans l'orage je suis en marge et je m'écarte du sommeil,
Donc j'me fâche contre la plume,
Quand le sage montre la lune, l'enragé regarde le soleil.
Wolf