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Billet de blog 20 décembre 2010

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« L’Islande vient de se doter d’une loi sur la liberté de l’information. Pourquoi pas nous ? », interroge le patron de Mediapart

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Je vous suis Monsieur Plenel.

I

Partant du lien de Samines

http://www.journaliste-entrepreneur.com/2010/11/mediapart-le-pari-de-l%e2%80%99enquete-et-de-l%e2%80%99abonnement/

Médiapart : le pari de l'enquête et de l'abonnement

interview du 12/11/2010 du fondateur de Médiapart (extraits) :

L’idée centrale défendue par le fondateur de Mediapart est « la légitimité démocratique du journalisme » ....« Il vaut mieux créer un terreau fertile que de remettre sans cesse de l’engrais », explique Edwy Plenel qui devient intarissable sur le sujet.

« L’Islande vient de se doter d’une loi sur la liberté de l’information. Pourquoi pas nous ? », interroge le patron de Mediapart avant d’énumérer les composantes de cette loi qu’il appelle de ses voeux : etc...

II

http://www.lepoint.fr/actualites-technologie-internet/2010-02-16/l-islande-pourrait-devenir-un-paradis-pour-la-liberte-d/1387/0/424726

Publié le 18 juin 2010

Le 15 juin 2010, le Parlement islandais, Alpinghi, a voté à l’unanimité la résolution baptisée « Initiative islandaise pour les médias modernes » (IMMI, Icelandic Modern Media Initiative). En vertu de ce texte, le gouvernement est désormais chargé d’élaborer un projet de loi basé sur ces recommandations visant à protéger les médias, les journalistes et les blogueurs dans leur mission d’information.

…..

Cette initiative du Parlement islandais intervient à la suite d’une affaire de presse qui a fait beaucoup de bruit dans le pays. En août 2009, la chaîne de télévision RUV a dû renoncer au dernier moment à diffuser un sujet dénonçant les pratiques de la Kaupthing Bank, en pleine crise financière. Les informations provenaient du site Wikileaks, qui avait publié des extraits des livres de comptes de la banque. Wikileaks s’est fait une spécialité de dévoiler des documents et des affaires sensibles en assurant la protection de ses sources d’information. L’institution financière concernée a saisi la justice, qui a transmis une injonction à RUV TV. Cette dernière a alors été contrainte à ne pas diffuser le sujet, tout en en informant ses téléspectateurs.

III

de Reporters sans Frontières RSF le 18 juin

http://fr.rsf.org/islande-projet-de-loi-exemplaire-en-18-06-2010,37770.html

La proposition de résolution parlementaire , nommée '"Icelandic Modern Media Initiative" (IMMI, du nom de l'association qui la promeut), vise à protéger les communications et les sources, ainsi qu'à interdire le filtrage d'Internet. Elle est soutenue par WikiLeaks , un site méconnu en France, mais célèbre pour avoir révélé de grandes affaires, aux États-Unis et en Grande-Bretagne notamment.

IV

http://owni.fr/2010/06/24/islande-nouveau-paradis-pour-la-liberte-dexpression/

Dans la nuit du 15 juin dernier, le Parlement islandais, l’Alþingi, a voté à l’unanimité la résolution «Icelandic Modern Media Initiative» (IMMI) (littéralement «Initiative Islandaise rela­tive aux médias modernes»). Ce texte vise à faire du pays un «refuge» ou«paradis» pour le journalisme d’investigation, et plus généralement à renforcer «la protection des libertés d’expression et d’information» en Islande, et dans le monde.

L’origine de l’IMMI

L’origine de l’initiative remonte à l’été 2009. Le 30 juillet, WikiLeaks fait fuiter un document interne de la banque islandaise Kaupthing Bank, dévoilant les pratiques financières douteuses de cette dernière. Les faits datent de septembre 2008, alors que le pays est en pleine crise financière, et que deux semaines avant la mise sous tutelle de la banque. Dès le lendemain, le site reçoit une mise en demeure lui demandant de “retirer immédiatement” le document.
De son côté, le 1er août, la RUV,
la chaîne nationale de télévision islandaise, décide de couvrir le sujet dans son édition du soir. A son tour, elle reçoit une mise en demeure pour déprogrammer le sujet. La chaîne s’exécute, mais diffuse tout de même un lien vers la page WikiLeaks. Cela fait grand bruit en Islande. D’autant que l’ordre a été donné par le commissaire de Reykjavik, Rúnar Guðjónsson, dont le fils, dirigeant de l’Association islandaise des services financier, est le porte-parole des banques en faillite du pays.

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