Une tache de sang. Un bain de sang. Joyeusement orchestré par la Brigade spéciale n° 2 des Renseignements généraux... devenus en 2015 Renseignements territoriaux. Les renseignement "Salauds" de Sartre. On apprend rien de l'histoire?
Des résistants. Des gilets jaunes, des Soulèvements de la Terre, des black blocs, des éco terroristes, des syndicalistes espionnés, piégés sans aucune chance de salut par des... putains de français. Pendant l'occupation nazie. "Les français nuisent aux français..." Une lâcheté à vomir. Pauvres Salauds de fonctionnaires.
On nous parle de république!
"Bonheur à tous, bonheur à ceux qui vont survivre"
"Je meure sans haine en moi pour le peuple Allemand."
Il faut une sacrée dose d'humanité pour assumer cette phrase.
"Adieu la peine adieu le plaisir adieu les roses"!
Ils ont payé de leur vie.
Nos chers fusillés.
Ca veut simplement dire que l'ignorance crasse dans laquelle nous nous vautrons, la bêtise, la haine et la peur nous œuvrons pour nous en libérer.
Quel amour pour l'humanité.
Comment est ce possible de voir aujourd'hui des zombies nazis défiler dans les rues de Paris et d'ailleurs ?
Un quarteron de généraux en retraite, à l'agonie, s'épanche dans la presse, des frères, des soeurs, complètement inconscients transits de peur et d'ignorance refusent d'évoluer. Des manifs pour tous, des inactions françaises et tout un tas de vieux machins dérisoires guidés par un pantin Zemmour affreux et décharné.
Il y a ce mot terrible d'un putain de procureur français des tribunaux spéciaux qui a dit à l'audience : vous êtes communiste, étranger et juif, trois raisons pour que je demande la peine de mort contre vous. Il n'a pas survécu, il a été abattu par la Résistance*.
Robert Badinter , " Les héros ont des noms"
Comment accepter de laisser nos destins entre les mains de fous furieux ? Comment ne pas vouloir chasser du pouvoir ces pauvres gens qui ne sont rien.
L'humanité est elle condamnée à vivre les mêmes tragédies encore et encore?
"Oh mon amour, ma Mélinée, mon orpheline"
"20 et 3 amoureux de vivre à en mourir, 23 qui criaient la France en s'abattant!"