Ceux qui ne sont pas capables de s'émanciper de la servitude de la dictature, ceux qui sont dépourvu de dignité et du besoin de liberté, ne peuvent croire en la Révolution. Pour ces gens là, comme pour le Docteur en sciences politiques, Naouefel Brahimi El-Mili, "la Révolution que mène le Hirak est surréaliste !" *
* "Je dis toujours qu’il y a eu deux Hirak. Le premier avait un but précis : pas de cinquième mandat. Alors que le second s’est laissé enfermer dans un dégagisme surréaliste. L’essentiel est d’avoir des objectifs réalisables pour l’intérêt du pays, que ce mouvement s’appelle Hirak ou parti politique, la question n’est pas là. Il faudrait esquisser un projet de société. On verra avec la nouvelle donne qu’incarne le président Tebboune. Je réitère mon optimisme."
Il préfère la protection de ses maîtres dans la soumission à leur feuille de route, celle de l'Etat-Major, qu'exécute sa façade civile organisée autour de Abdelmadjid Tebboune, que le sacrifice de l'engagement dans la Révolution auprès du peuple.
Gloire aux combattants de la liberté, emprisonnés, exilés et ceux qui continuent à militer pour l'idéal de liberté et de dignité dans les rangs du Hirak, pour une Algérie nouvelle, libre et démocratique.
Y.B.