L'auteur de cet article aurait pu commencer par un autre thème...
Comme celui qui initia le blog Monsyte : Nous attendons l'insurrection des travailleurs chinois et africains
C'est dans le sens de cet éditorial qu'en janvier 2011, j'écrivais l'article
dimanche 2 janvier 2011 Jean-Marie Bourry : criminel fasciste ONUCI en Côte d'Ivoire. Protège des harki-putschistes, défend le fasciste FMI Ouattara. Coupable du génocide sanitaire contre l'Afrique. Il sera jugé avec Chirac, Sarkozy, Bouygues, Bolloré dans le Nuremberg de l'Afrique !!!
Mais il se trouve que depuis hier, une somme de 200 euros par jour est la contrainte qui lui a été assénée par un président de tribunal de province : le juge Michaël Janas.
Le plaignant, chef de la police de l'ONUCI a d'excellents amis, un avocat efficace, un OPJ qui menace tout en refusant le statut témoin assisté, un procureur qui ne daigne pas porter à la connaissance des mis en cause le contenu des plaintes..... et - après avoir transformé sa plainte en "diffamation" en plainte pour "atteinte à la vie privée", il obtient d'un juge de province qu'il instrumentalise l'article 9-2 du code civil pour faire condamner un délit de presse près de deux ans après les faits !!!
C'est précisément cet article du 2 janvier 2011 qui est incriminé !!!
Quatre articles viennent d'être publiés sur RevActu concernant l'affaire.
jeudi 22 novembre 2012 En juillet, Jean-Marie Bourry (Côte d'Ivoire ONUCI) menaçait de réclamer 500 euros par jour à Julie Amadis et Yanick Toutain
LE JUGEMENT
jeudi 22 novembre 2012 En septembre, le président du tribunal d'Angoulème Michaël Janas condamnait Julie Amadis et Yanick Toutain à payer 200 euros par jour à Jean-Marie Bourry plus 7000 euros immédiatement
UNE PREMIERE ANALYSE des TRUCAGES du juge Janas (phrase tronquée pour lui faire dire le contraire en effaçant les noms de Chirac, Sarkozy, Bolloré et Bouygues)
UNE ANALYSE DETAILLEE DES POINTS LES PLUS VISIBLEMENT SCANDALEUX DE LA DECISION DE "JUSTICE"
vendredi 23 novembre 2012 Deux blogueurs condamnés en référé en septembre 2012 pour un article anti-Franceàfric de janvier 2011. Une première liste des absurdités du jugement du président TGI Angoulême M. Janas