Les barbelés de la honte

Le Grand soir

Pour faire face à l’afflux de réfugiés, les Hongrois ont dressé 175 kilomètres de clôture de barbelés à la frontière serbo-hongroise.

Avant, on avait eu le mur de 700 km entre la Palestine et Israël.

Plus tôt encore, un mur coupait en deux la ville Berlin. Mais celui-là était nommé par l’ensemble des médias dominants : « Le mur de la honte ».

« Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts » disait Isaac Newton qui ne savait pas que l’Europe deviendrait une puissance douce aux Grecs et accueillante pour les damnés de la terre.

Théophraste R.

Vu sur Tweetter : « On ne peut pas accueillir toute la misère du monde, déjà qu’on accueille toute la richesse ».