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Billet de blog 22 août 2013

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                                                    "Autant d'énergie dépensée et de sang coulé pour un pouvoir sans honneur"

Les élections de novembre 2010 en cote d'ivoire ont vu la victoire du candidat socialiste et président sortant, Gbagbo Laurent. Proclamation de victoire faite par le conseil constitutionnel donnant 51% des voix au candidat Gbagbo. Cette décision du conseil constitutionnel fut contestée par le candidat de la rébellion nommé Dramane Ouattara. Il annonça a travers des canaux franco-africains qu'il avait été proclamé vainqueur de cette élection par la commission électorale a son siège de campagne. Fausse annonce de victoire qui fut relayée par les parrains occidentaux. le score attribuée par les parrains au candidat de la rébellion était de 54%.un score qui témoigne d'une certaine légitimité si et seulement si cela est vrai. Mais hélas!!!
Ce score n'est rien d'autre qu'une escroquerie électorale et intellectuelle. D’une fausse annonce, le pays basculera dans un cycle de violence orchestré de toute pièce par le camp rebelle et leurs parrains franco-onusiens. Afin d’éviter a la cote d'ivoire une crise supplémentaire, le président élu démocratiquement Gbagbo Laurent appela a des négociations. Pendant que le chef de l'état appelait au calme et a l'esprit de responsabilité, le candidat malheureux Dramane Ouattara appelait plutôt a la guerre. et nous voici parti dans un cycle de violence en tous genres qui prendra fin officiellement le 11avril 2011. Les violences ont commencé avec l'apparition d'un commando invisible dans la commune d'Abobo juste après la proclamation de victoire du président Gbagbo en décembre 2010. Ils furent hébergés dans cette commune par monsieur Tounkara Adama, membre influent du Rdr-rébellion et actuel ministre des mines du gouvernement de la rébellion. Toutes les personnes ne correspondant pas a un certain type furent tuées pour certaines, torturées pour d'autres et déplacées dans les autres communes pour les plus chanceux. C’était le début d'une psychose en plein Abidjan. ensuite la violence prendra un autre visage avec l'annonce de l'embargo sur els produits pharmaceutiques a destination d'Abidjan par la commission européenne. Désastreuse fut cette décision de manuel Baroso, actuel président de la commission européenne pour le peuple de cote d'ivoire. Plusieurs centaines d'ivoiriens, électeurs et non électeurs ont trouvé la mort dans des conditions désastreuses pour manque de médicament. Tous les malades sous dialyse ont du mal à résister. la violence ne faisait que monter d'un cran. pendant que le président Gbagbo appelait toujours a un dialogue tout en cherchant a juguler les problèmes qui s'imposaient au gouvernement, la violence s'accentua. Les mêmes parrains de la rébellion décidèrent d'un embargo économique sur la cote d'ivoire. Tous les produits d'exportation étaient bloqués dans les entrepôts en pleine période de traite du café-cacao. La situation devenait encore plus difficile pour les populations.il était devenu impossible de recevoir de l'argent de l’extérieur .plus aucune société de transfert d'argent ne fonctionnait. L’état responsable que représentait le gouvernement Aké N'gbo n’hésita pas a prendre les mesures adaptées pour faire face aux différents problèmes. C’est ainsi qu'une nationalisation de la filière café-cacao fut décidée pour permettre aux paysans d'évacuer leurs produits. L’état devenait ainsi "acheteur exclusif et exportateur exclusif". Cette décision a permis a la cote d'ivoire de ne pas s'effondrer. Toutes les dispositions furent prises par le gouvernement du premier ministre Aké N'gbo pour éviter a la cote d'ivoire un naufrage a tous les niveaux. que de violences en tous genres pour soi disant installer ou faire respecter le soi disant verdict des urnes. C’est dans cette ambiance qu'intervient l'assaut final des forces rebelles de Dramane Ouattara pour restaurer l'ordre institutionnel soi disant. que de violence en violence sur les populations. malgré les assauts rebelles, le président Gbagbo continuait a tendre la main du dialogue au candidat malheureux Dramane Ouattara. que de peine perdue.la volonté farouche des parrains de la rébellion d'imposer a tous les coups leur homme a la tête de l’état a eu raison du dialogue prôné par le président élu Gbagbo Laurent. La mafia franco-onusienne finira par installer son homme sur les corps de plusieurs milliers d'ivoiriens victimes de violence en tous genres. Chers(e) camarades, le régime actuel est un régime avec un "POUVOIR SANS HONNEUR". Maintenons la pression!!

Hlc!!

On est ensemble.

De Joel Curtis de Deboutciv.com

@yvannmurphy de Deboutciv.com

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