Chaque jour, un scandale chasse l'autre, donnant la mesure de l'état d'avilissement de la France d'aujourd'hui, qui frémit sous les coups répétés des spéculateurs de toutes sortes. Des parlementaires qui n'ont d'autre souci que d'arrondir leur déjà confortable compte en banque, en cumulant sans vergogne, de mèche avec le pouvoir financier. Peu leur importe le sort des citoyens qui les ont portés au pouvoir, sur la foi de leurs promesses mirobolantes. Un gouvernement qui n'est pas en reste, enrichissant les riches, multipliant les décisions anti-constitutionnelles, avec à sa tête Naboléon, l'ami fidèle des milliardaires, pour la plupart issus comme lui du Peuple du Livre. Certes, il ne faut pas compter sur lui pour défendre la veuve, l'orphelin et le smicard. Mais qu'il ose se référer au gaullisme, comme certains de ses potes UMP, il y a de quoi hurler!. Aucune de ces nullités n'est digne de cirer les chaussures du grand homme, qui pourtant avait tracé pour la France la voie de l'avenir, avec un courage, une abnégation, une clairvoyance aussi admirables que son intransigeante honnêteté. Dans l'inextricable situation où se trouve le pays aujourd'hui, seul un homme de son envergure et de sa volonté aurait une chance de relever la France, en l'arrachant aux griffes des 21 partis qui se disputent les privilèges du pouvoir. Il y a tant à dire, à écrire et à échanger sur la vie et l'œuvre de celui qui a tiré notre pays de l'abîme, que j'en resterai là pour aujourd'hui, en espérant pouvoir bientôt communiquer - et je suis sûr qu'ils sont légion - avec ceux qui ne l'ont pas oublié.
Billet de blog 12 octobre 2011
Le général nous manque
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