Manque décidément pas d'air, Naboléon 000 !! Avec toutes les casseroles qu'il traîne, il a de quoi ré équiper à neuf Bocuse, Troisgros, la Tour d'Argent, j'en passe et des meilleurs.
Il enrage visiblement de ne plus avoir la justice à sa botte, mais continue à rouler les mécaniques entre ses deux gorilles, à l'arrière de sa superbe berline, le tout payé par le contribuable. Quand je pense qu'il osait se réclamer du gaullisme ! Si le général ressuscitait un jour, ils seraient toute une cohorte à ne plus pouvoir pose leur séant, là où siège leur intelligence et leur vertu républicaine, même dans un fauteuil Louis XVI. Dans la bande, il y aurait Pompidou, l'homme qui a vendu la Banque de France à Rothschild, peut-être Giscard, sûrement Chirac, le roi fainéant, et bien sûr Hollande.
Tiens, ça pourrait être marrant, mais dans cette équipe-là, y en a 3 qui se sont roulés dans les bruyères corréziennes. Dommage, j'aimais bien les Auvergnats, pourtant.
Et pas un pour racheter l'autre (ils sont près de leurs sous, quand il ne s'agit pas de ceux du contribuable). Copé la fille de joie, qui ponctionne l'UMP au profit de son mouvement (Au fait, vous savez peut-être qu'il existe en notre doulce France pas moins de 36 partis, ou mouvements, qui se réclament du gaullisme ?). Quant à François Fillon, qui se réclame lui aussi du général, il ne sait même plus quel département il habite. Mais tout ça n'arrange hélas pas nos affaires...
En tout cas, j'ai pris le parti (si j'ose dire), de ne plus jamais aller aux urnes, à part celle qui m'est destinée. Et mon petit doigt me dit que je ne dois pas être le seul. En effet, pourquoi se lever tôt le dimanche matin, pour élire un pignouf qui va te promettre la vie de château après la révolution, pour finalement te ponctionner un max pour arrondir son train de vie déjà très confortable.
Je ne résiste pas à l'envie de vous bonnir quelques phrases bien senties de Charles de Gaulle, à propos des Français en général, et des politiciens en particulier (Et il connaissait bien son sujet !):
"La France, c'est tout à la fois, c'est tout les Français. C'est pas la gauche, la France! C'est pas la droite, la France ! Naturellement, les Français comme de tout temps, ressentent en eux des courants. Il y a l'éternel courant du mouvement qui va aux réformes, qui va aux changements, qui est naturellement nécessaire, et puis il y a aussi un courant de l'ordre, de la règle, de la tradition, qui lui aussi est nécessaire. C'est avec tout cela qu'on fait la France"
Entre 1946 et 1958 « le régime des partis » donne toute la mesure de son inaptitude à gérer les affaires de la France, le Général ne décolère pas.
« Ces tristes joueurs d'une sombre comédie, ces danseurs d'un ballet d'ombres chinoises, ces neurasthéniques à vie, ces trotte-menu de la décadence, ces chevrotants de l'abandon, ces fuyards professionnels, ces aigrefins, ces débrouillards de la déchéance, ce chloroforme de l'euthanasie nationale, ces cloportes de marécages, ces coureurs de maroquins, ces voraces qui se mangent la laine sur le dos les uns des autres... »
« En France, la gauche trahit l'État et la droite trahit la Nation. »
« Tout Français désire bénéficier d'un ou de plusieurs privilèges. C'est sa façon d'affirmer sa passion pour l'égalité. »