"Quand je parle, ma bouche a l'éclat des Gémeaux." Al-Mutanabbi (915-965)

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Comme telle en travail

Âme mandée d'aiguail

 

Flashée d'années-lumière

M'abecquant à l'aiguière

 

Du Maître des deux mondes

Aigue d'anges à (la) ronde

 

Le cœur cueilli à la cuiller

Imanant poème-prière 

 

Lyon, mercredi 6 juillet 2016.

E'M.C. 

Je me suis fait à tous les départs; et ma terre,    

Je l'ai rivée au bois de ma selle; à Ghurayr* (...)       (...) je semblais orienter  

Vers le sud, vers le nord, un vent qui me portait. (...)

pour toi, avons pourfendu, de part en part, l'espace,    

Et nos montures égorgé l'air qui leur faisait face

Abû-Tayyib Ahmed Al-Mutanabbi 

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Turquoise accourcie d'œil, de l'oryx au bercueil, au pastel des passages matachiés de ramages, ciel cerise, à grand mise, braise prise à l'eau sise, quelle assise ! Ramadhan, ramas d'âme, rien de cagneux n'ombre l'arcade, ni les vals;

plus de raffut, au superflu, la cruche a crû à l'appendu, du rebattu; qui l'aurait cru, tenu au dû, de son vécu, fol de vertu, inattendu au dévolu, trotte-menu, circonvenu, à tel touffu;

pas d'algarade, un souris sanguinole à la barque qui dole au propos qui console, le cœur qu'on se cadole, au fond du corail, l'âme amoitie maille, ta fortune bâille, on enchérit l'ail.

grand œuvre de sylve fatale, forme uvaire d'aire natale, gourmande géographie, espace mangé d'enchérie où le temps est en quitterie, à ceste beste qui vicie, l'affolant vignoble des veines, où malacie joue à déveine, s'il ne fallait se dardarer, immédiat à sa destinée; 

à tel point d'aigue au clair de l'âme.

E'M.C.