Agrandissement : Illustration 1
Pour rouler au hasard, il faut être seul. Dès qu’on est deux, on va quelque part. Alfred Hitchcock.
... pour sabrer au hasard, au cimeterre du Maure, Othello de halos pour n’aller vau-l’eau à son lot de trop...
surtout si...
on serpente aux Cévennes ainsi que Lewis-Louis, en 1878, Stevenson no-vice automnant avec Modestine léguant un itinéraire de cette Ânée-la, au légato des parcours...
jusqu’à L’île au trésor, à la varappe vaincue de soi, au legato de rencontre-s...
d’.... «heureuse mésaventure-s, étant son propre sujet, cœur renâclant, cœur grimpant, cœur d’accord, à chaque chiquenaude de grâce, au palet du pas (se) coûtant quelque triquée trinquant d’air pur à son crêt..
surtout que...
autre aléatoire du poumon, édimbourgeois cloué au pieu, malade de tout, se heurtant à ça...
surtout quand...
&
comme ça... «prenant sac»
&
voilà au barda de Dieu...
Vaïe! Vaïe! Vaïe! Vaie!
Tellement Être de riens...
Tout Modestiné[E], laissant randonnée de roi-s-
E’M.C.
Portfolio 22 août 2018
VAÏE! VAÏE! VAÏE! DE TOI-MÊME SENTIER
Pour rouler au hasard, il faut être seul. Dès qu’on est deux, on va quelque part, Alfred Hitchcock. Surtout si d’... «heureuse mésaventures», cœur renâclant et grimpant...On serpente aux Cévennes tel Stevenson avec Modestine jusqu’à L’île au trésor, au légato des parcours léguant un itinéraire, Vaïe! Vaïe! Vaïe! Vaïe! à l’escarpement vaincu de soi, au legato des rencontres - E’M.C.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.