«Penser au-delà de la rencontre initiale» assentir à son débord quand l’insidieuse stillation de l’illusion aux «siens», ce moisi du même fait quitter le bercail au tintement d’Utopia jusqu’aux Galápagos à quoi l’âme aura galopé, peu à peu, pétrel se dépêtrant à repêcher l’être laiton de sa casanière misère; une histoire l’im-migration humaine via Hacienda Paradis de Fredrik Raddum. E’M.C.
Autre présentation de la sculpture de Fredrik Raddum
Le sculpteur suédois raconte, à travers ses pièces de bronze, l’histoire d’Européens qui ont quitté leurs maisons pour fuir vers les îles Galápagos dans les années 1930.
Parmi ces gens lit-on dans (www.cyclope.ovh),
«Le premier des expatriés était Friedrich Ritter, un médecin allemand et son jeune amant,
Dore Strauch, qui s’installe sur l’une des îles les plus reculées, Floreana.
Viennent ensuite la famille Wittmer d’Allemagne,
et, peu de temps après, la baronne Éloïse von Wagner, arrive de Paris avec ses deux compagnons.
Peu de temps après leur arrivée, la baronne et l’un de ses amants disparaissent.