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Un migrant, est un être humain, qui n'a plus rien ! Un sans-abris, est un être humain, qui ne possède plus rien ! Les deux étant d'une même situation de précarité extrême, les opposés en dualité, c'est être dénué de moralité.
Dire "certains sont aidés, d'autre mis de cotés" c'est prétexter un favoritisme, pour se donner une excuse, de plonger dans le racisme ! Voir un humanisme sélectif ! Ce n'est pas mieux.
Si une personne, quelque soit son ethnicité, sort de la vie des trottoirs, alors je m'en réjouis, je dis : "Magnifique, un de moins dans ce congélateur au bitume glacé". Et j'en ai rien à foutre qu'il s'agisse d'un migrant ou d'un Français né sur les terres !
Débiter que c'est injuste pour les autres, c'est pointer du doigt d'une crétinerie certaine, ceux qui sont portaient en secours, préférant peut-être, qu'on les laisse crever, donnant comme argument profond : "Ils y en a d'autres comme lui, et comme lui, et comme lui, et comme lui, qui sont nationalisés, donc les réfugiés, tu les oublies, ce sont des sans-abris qui ne sont pas de chez nous, ils n'ont pas la carte Française, tant pis pour eux, focalises toi uniquement sur les SDF [Sans Domicile Fixe] qui ont la bonne couleur du pays, et le carton en poche [Je ne suis pas un étranger]. Si tu refuses de faire un tri sélectif entre-eux, nous demanderons à quelqu'un, maître des préjugés et con du citronné, de s'en occuper".
Portfolio 25 janvier 2017
L'ignominie des racistes à l'égard des sans-abris
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