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Sur l'Avenida de Mayo, des femmes de secteurs, âges et milieux les plus divers ont montré massivement ce qu'elles ont en commun: la revendication pour l'égalité des genres, la fin du féminicide et la lutte contre l’austérité qui les frappe particulièrement.
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"Une belle femme est celle qui lutte", "J'existe parce que je résiste".
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"Ni soumise ni obéissante, femme forte et révoltée"
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"Libre et folle"
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"Sur mon corps c'est moi qui décide"
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"Seul le sang menstruel devrait couler"
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"Nous nous voulons vivantes, libres et sans peur"
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Les partis de gauche étaient présents avec leurs fanfares joyeuses à tambour battant...
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Sur cette photo des salariées licenciées de l'Hôpital Posadas et de l'INTI (Institut National de Technologie Industrielle).
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"Nous les hommes anti-patriarcaux nous disons aussi pas une de plus!"
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"Ni pute parce que je baise ni mère par devoir, ni emprisonnée parce que j'avorte ni morte pour avoir essayé". "Le mot femme n'est pas synonyme de mère. Je porte une minijupe parce que j'ai chaud".
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"Prison perpétuelle pour les agresseurs sexuels!"
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Le prix Nobel de la paix (1980), Adolfo Pérez Esquivel entouré de manifestantes parmi lesquelles des Mères de la Place de Mai.
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Une foule immense devant le Congreso de la Nación (Parlement). Le cortège de la « Campagne nationale pour un avortement légal, sûr et gratuit » fut l'âme de la marche, avec ses chansons pour l'avortement et contre le président Mauricio Macri.
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Une pancarte significative accrochée aux grilles du parlement: "Tu ne tueras pas!"
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Le 8M ne fut pas seulement un message des femmes au gouvernement mais un acte jubilatoire, où en montrant leurs corps et en scandant leurs revendications, elles ouvraient ainsi la voie au vote de la loi pour un avortement légal, sûr et gratuit.
Voir l'article de Marion Gonidec
Portfolio 23 mars 2018
Le 8 mars à Buenos Aires : une marche puissante et jubilatoire
Contre la violence machiste et pour l'avortement légal, sûr et gratuit. Lors de mon séjour en Argentine j’ai participé à la mobilisation du 8 mars organisée principalement par le collectif « Ni una menos » (pas une de plus) et d'autres organisations syndicales. Par centaines de milliers, des femmes de tous âges ont défilé dans les rues de Buenos Aires et dans tout le pays.
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