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Portfolio 9 octobre 2022

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Les salarié·es de Camaïeu veulent limiter la casse de leur entreprise

Camaïeu, entreprise de grande distribution textile, a été placée en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Lille le 27 septembre dernier. Conséquence principale : le licenciement brutal de 2600 employé·es dans toute la France. Depuis, les négociations syndicales s'enchaînent. Ici, le 7 octobre, avait lieu la 3e réunion de négociation avec la direction.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

  1. Illustration 1
    © Louise Bihan

    Un piquet de "grêve" installé devant le siège de Camaïeu, à Roubaix.

  2. Illustration 2
    © Louise Bihan

    "Klaxon = Soutien". Quelques militant-es de la CGT se sont installés devant le siège de Camaïeu, en face du rond-point, avenue Jules Brame.

  3. Illustration 3
    © Louise Bihan

    Ex-salarié-es et soutiens réuni-es devant le siège de Camaïeu pour écouter le délégué syndical CGT leur faire un résumé de la réunion en cours.

  4. Illustration 4
    © Louise Bihan

    L'entreprise, créée à Lens, dans le Pas-de-Calais, en 1984 employait près de 2600 personnes sur toute la France.

  5. Illustration 5
    © Louise Bihan

    Des membres de la direction de Camaïeu quittent le siège.

  6. Illustration 6
    © Louise Bihan

    Après la réunion de négociation, une petite assemblée générale se tient au niveau du piquet CGT.

  7. Illustration 7
    © Louise Bihan

    La CGT, syndicat minoritaire au sein de l'entreprise, dénonce une "faillite organisée" des actionnaires.

  8. Illustration 8
    © Louise Bihan

    Des ex-salarié-es de Camaïeu échangent sur la suite des actions à entreprendre.

  9. Illustration 9
    © Louise Bihan

    Alors que leurs 3 derniers jours de travail ont rapportés 25 millions d'euros à l'entreprise, la direction ne leur propose que 12 millions sous forme de prime (environ 5000 personnes). Pourtant, la décision du tribunal de commerce de Lille exigeait à ce que l'intégralité de ce chiffre d'affaires soit reversé aux salarié-es. Une situation dénoncée par la CGT. Les négociations reprennent le 10 octobre.

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