QUAND LE TRIBUNAL DE L'AFRIQUE JUGE LA BANQUE MONDIALE ÇA DONNE ÇA !
https://www.youtube.com/watch?v=xIb8lbrdDu4
Un procès d'une actualité cruelle et bouleversante dans lequel chaque africain ne peut que se reconnaître en tant que victime et partie civile.
Bien que débuté en 2006 (date de sortie du film Bamako), ce procès qui se veut celui de l'Occident et de son arme de destruction massive, la Banque Mondiale, ainsi que celui de ses relais locaux, ces marionnettes de dirigeants africains, télécommandés à distance par leurs maîtres (Etats-Unis, France, Grande Bretagne), est loin d'être achevé, car son actualité pèse toujours tragiquement sur le quotidien des africains (corruption, misère, pauvreté, services sociaux délabrés ou inexistants, systèmes de santé et d'éducation en ruines, terrorisme, drames de l'immigration et horizons bouchés).
Il appartient à chaque africain, à partir de la réalité de son pays, qui découvre ce extrait du film Bamako, autoportrait du drame et de la tragédie de notre cher continent, de le partager et de s'engager avec âme, corps, cœur et raison pour mettre fin à l'oppression, à la corruption, aux injustices, au pillage de nos richesses, au bradage de notre souveraineté violée par la présence des troupes étrangères dans nos pays et au sacrifice de notre jeunesse condamnée à l'exil ou l'embrigadement des groupes terroristes.
Cet engagement auquel j'appelle ardemment est un acte de résistance et un devoir envers notre continent, pour offrir un meilleur avenir à nos frères et sœurs d'Afrique et préparer le terrain pour les générations futures.
Avec affection, espoir et détermination
AbdouRahmane