Obiang 310 veut accueillir façon Black beach les expulsés américain s
La Guinée équatoriale a confirmé être en discussions avec les États-Unis pour accueillir des migrants expulsés du territoire américain. Ce pays d'Afrique centrale, dirigé depuis plus de 40 ans par le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, a indiqué être ouvert à cette possibilité, bien que les détails de l'accord n'aient pas encore été finalisés.
Cette annonce intervient alors que l'administration Trump fait face à une crise migratoire importante à la frontière sud des États-Unis, avec un afflux record de demandeurs d'asile en provenance d'Amérique centrale et d'autres régions du monde. La Maison Blanche cherche des solutions pour gérer cette situation, y compris en envisageant des accords avec des pays tiers pour y relocaliser certains migrants.
La Guinée équatoriale, considérée comme l'un des régimes les plus autoritaires d'Afrique, soulève des inquiétudes quant au traitement qui serait réservé à ces migrants en cas d'accord avec Washington. Les organisations de défense des droits humains dénoncent régulièrement les violations commises par le gouvernement d'Obiang, notamment envers les opposants politiques et les minorités ethniques.
Cet éventuel accord avec les États-Unis pourrait également avoir des répercussions sur les relations diplomatiques de la Guinée équatoriale, notamment avec l'Union européenne qui conditionne son soutien à des progrès en matière de démocratie et de respect des libertés fondamentales.
La Coalition CORED, qui représente plus de 20 partis politiques et associations, exige des réformes depuis l'arrivée au pouvoir de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, qui a pris le pouvoir par un coup d'État il y a près d'un demi-siècle en faisant exécuter son oncle. Sous son régime, il est accusé d'avoir assassiné 310 opposants, parmi lesquels deux Français et deux prêtres. Ces allégations ont été recensées et documentées dans une liste publiée à l'époque. La situation politique en Guinée équatoriale est marquée par un manque de liberté d'expression et des violations des droits humains, ce qui suscite des inquiétudes tant au niveau national qu'international.
La prison militaire de Black Beach en Guinée équatoriale est souvent décrite comme un lieu de détention particulièrement brutal, où la torture est pratiquée de manière systématique, entraînant des conséquences mortelles pour certains prisonniers. Les conditions de détention y sont considérées comme pires que celles de Guantanamo, en raison des abus et des violations des droits humains qui y sont rapportés. Les témoignages d'anciens détenus évoquent des actes de violence extrême, de mauvais traitements et une impunité totale pour les responsables de ces abus. Cette situation soulève de vives préoccupations au niveau international concernant le respect des droits humains et la nécessité de réformes dans le système pénal du pays.
On voit que le président Obiang. Nguema Mbasogo qui est en perte totale de souveraineté financière pour avoir hypothéqué et pré vendu les richesses pétrolières du pays est obligé aujourd’hui pour arrondir les fins de mois du régime en perdition de faire du troc avec le président Poutine, en envoyant des Équato-guinnéens sur le front ukrainien en échange de miliciens russes pour le protéger.
Obiang est obligé comme un chien de guerre de manger à tous les râteliers, voici maintenant que le président de la Guinée-équatoriale fait allégeance au président Trump en lui proposant contre des dollars dont il s’est privé en ruinant son pays, d’accueillir les migrants en situation irrégulière pour s’en occuper……
On connaît la manière et l’accueil qui réserve le Président non seulement à son peuple donc il a fait fuir 250 000 opposants depuis son arrivée au pouvoir, le voici maintenant prêt à accueillir des réfugiés alors qu’il n’est pas capable d’organiser des élections libres et démocratique pour permettre à tous les opposants en exil de revenir vivre dignement au pays.
Une des premières mesures du nouveau Pape serait d’excommunier ce président qui a fait assassiner deux prêtres et une partie de la population pour se maintenir au pouvoir, et qui a organisé avec la corruption une pauvreté endémique dont souffre 80 % de la population qui vit en dessous du seuil de pauvreté
Le Pape LEON XIV qui a l’intention de lutter contre la pauvreté doit mettre fin à la mascarade qui existe en Guinee-équatoriale dans la corruption a permis au pouvoir de se maintenir illégalement pendant un demi siècle en faisant assassiner les opposants et en organisant la triche électoral au plus haut niveau de l’État. Le pape a devant lui un vaste chantier avec la République de Guinée Équatoriale, en attente d’élections libres et démocratique pour organiser un véritable changement, afin de réduire la pauvreté par une meilleure distribution des richesses confisqués depuis son arrivée au pouvoir par le dictateur, sa famille et son clan .