Nous avons le souci de vous aider. Aussi,quelques indications.
Le poids, la force de cette secte dépassent de loin l'espace institutionnel et territorial qu'elle s'est approprié. Les soutiens internationaux, de coeur, de complicités mémorielles, de dons divers et variés ne se comptent plus.. Elle possède de surcroît de nombreux « amis » et missionnaires entièrement voués à sa cause. Mais elle a, il faut le dire, de nombreux opposants qui crient "Pas en notre nom" depuis plus de 20 ans. Ces derniers sont des faux frères et sœurs, des impies, que les membres éprouvés de la secte ont à cœur de dénoncer sans relâche. Vous trouvez ?
Indiquons aussi qu'en dépit de sa vaste audience, cette secte connaît environ 2 millions de membres recrutables qui s’en désolidarisent. Certains s’y opposent de manière radicale, refusent d'être associés à ses pratiques, d’autres n’en ont cure, mais veulent dormir sur leurs deux oreilles . Des « malgré nous » qui n’existent pas dans les sectes classiques- ils sont rapidement expulsés-, mais là, ils existent. Vous y êtes ?
En vous projetant à l’est de la Méditerranée, en arpentant des terres entre mer et fleuve, vous commenceriez à chauffer et même à brûler si vous n’oubliez pas l’ambition « Riviera ». Là, on vous aide beaucoup, faites un effort, vous y serez !
Voulez-vous confirmation de la mission que s’est donnée la secte? Ecoutez les propos de Rivka Lafair, « animatrice d'ateliers, de rencontres et de séances de groupe, professeure de yoga féminin et de développement personnel » qui propose de détruire Gaza « avec amour ». Un méchant contestataire, concitoyen pourtant, qualifie cette dame, installée dans une colonie au sud de la Cisjordanie, de « Nouvelle yogi-nazi ». Un vilain méchant, qui indique de miraculeuses capacités, celles de savoir « souder des concepts opposés : spiritualité et anéantissement, autonomisation et expulsion, yoga et privation de nourriture, retraites et tapis de bombes ».*
Les recommandations de cette prêtresse sont pourtant remarquables, ses buts plein de promesses : il faut éliminer son ennemi « du nourrisson à la vieille femme … en le regardant dans les yeux et ne pas le faire dans son dos ». Cette honorable dame s’appuie sur de vieilles traditions de combat avec un objectif encore plus ancien : « effacer de dessous les cieux, Amalek », le mal absolu que, depuis les temps bibliques, on doit anéantir. Il est entendu que le mal absolu est moins qu’un animal et que c’est lui faire honneur que de l’affronter face à face, nourrisson compris. De quoi déplorer l’usage de l’IA pour y parvenir, il faut la comprendre !
Elle n’est pas la seule à prêcher ainsi. Dans cette secte, on conte toujours la fable des 40 bébés décapités ou brûlés et la légende d’une vie, d’avant un certain 7 octobre, faite de quiétude, d’innocence, en dépit de relations humaines un peu agressives, parfois violentes. Que des actes génocidaires puissent être accomplis avec « beaucoup d’amour », il ne faut donc pas s’en étonner. Cette sorte de miracle n'est pas à la portée de tout le monde! Et tant pis pour les graves pathologies, les psychoses et foldingueries sans nombre qui y fleurissent!
Le temps de soumettre à votre perspicacité cette petite énigme, voilà que des « murmures » critiquant les agissements de cette secte, ont envahi l’espace médiatique et même des chancelleries. Auparavant, inaudibles, ils s’étalent à présent au grand jour. Ils incitent à réagir, à prendre des distances et même à envisager de limiter, voire de mettre un terme à une collaboration « associative » avec des gens peu recommandables. Dernier scoop : à l’intérieur même de la secte, il y a l’eau dans le gaz et peut-être sérieusement ! Mais restons prudents.
Adèle 47 & Collectif "Parole libre et non faussée".