Dans certains cas ça serait une solution pratique, bien pratique pour en finir avec tout ce high tech militaire et rhétorique, qui pousse au bout du désespoir, de la panique, un peuple qu’on s’acharne à déshabiller de son humanité. Qu’il obéisse ou qu’il crève sur place, ce peuple là, qui ose résister à la volonté des conquérants et qui défie la suprématie des puissants en refusant de sombrer dans le néant.
Mais alors , on en fait quoi des imposteurs et leurs complices, des menteurs et leurs grossièretés, de ces délirants sadiques qui organisent, mine de rien, des Guernica à la pelle? On en fait quoi de ces bourreaux qui se pensent et se prétendent victimes ?
On les plongerait tous dans la marmite bouillante du diable ces nouveaux fascistes qui mettent en danger le monde entier à vouloir s’étendre « de la mer au Jourdain » et même au-delà, sans limites aucune, sans frontières définies et sans bornes pour ce qui est des atrocités commises : nettoyage ethnique et génocidaire, famine, massacres de civils, nourrissons compris, de journalistes, de soignants, d’enseignants et destruction de toute trace historique et culturelle de la Palestine.
On passerait à la moulinette un Etat où le culte de l’ignoble est devenu monnaie courante, on mettrait en quarantaine pour désintoxication de sa population et on fera le tri parmi leurs complices, bien trop nombreux, pour les diriger sur les programmes appropriés à leur cas : dirigeants et fonctionnaires de l’UE, chefs de gouvernements et ministres, chiens de garde de l’information, commentateurs et pseudo spécialistes, intellectuels germanopratins, sayanim franco israéliens…
Les attraper tous, les châtier comme ils le méritent en les plaçant sous la coupe du droit international, c’est un gros boulot, un labeur qui prendra du temps, mais c’est le moins qu’on puisse faire.
Adèle 47.