Aimé Bonny (avatar)

Aimé Bonny

Médecin, Professeur agrégé de cardiologie, enseignant à l'universitaire de Douala au Cameroun, Médecin des hôpitaux de France

Abonné·e de Mediapart

46 Billets

0 Édition

Billet de blog 1 septembre 2025

Aimé Bonny (avatar)

Aimé Bonny

Médecin, Professeur agrégé de cardiologie, enseignant à l'universitaire de Douala au Cameroun, Médecin des hôpitaux de France

Abonné·e de Mediapart

La GUERRE ÉCONOMIQUE : unique solution de sortie de la tyrannie camerounaise ?

La GUERRE ÉCONOMIQUE, sous forme de boycott de tous les avoirs des opérateurs économiques nationaux pro-régime et les entreprises françaises, est l'unique solution pour libérer le peuple camerounais de la tyrannie BIYA

Aimé Bonny (avatar)

Aimé Bonny

Médecin, Professeur agrégé de cardiologie, enseignant à l'universitaire de Douala au Cameroun, Médecin des hôpitaux de France

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Cameroun traverse la pire période de son existence, englué dans une crise de gouvernance sans pareil.
Alors que tous les voyants sont au rouge, le régime du Président Paul BIYA, 93 ans dont 43 en tant que chef d’État, veut rempiler pour un huitième mandat. Un de trop.
L’opposition politique semble essoufflée par ses propres turpitudes.
La société civile et le monde intellectuel ne s’accordent pas sur l’approche gagnante pour tourner la page du chaos accéléré.
D’aucuns diront que si même l’Église catholique a essayé en vain de décourager les velléités boulimiques d’un despote des temps anciens, qui sommes-nous pour changer le triste sort d’un peuple qui veut voir ses enfants grandir ? Des enfants pourtant kidnappés, soit par la rudesse d’une vie macabre, soit par la secte Boko Haram.
C’est dans ce contexte qu’un collectif à l’éponyme osé, s’invita à la table du combat pour l’avènement de la 3ᵉ République au Cameroun. LES INTELLECTUELS PATRIOTES seraient à leur troisième sortie via des tribunes demandant gentiment à « l'homme qui veut mourir au pouvoir » d’aller plutôt au village, sa jeune femme de la cinquantaine avec.

Une cinquantaine d’universitaires et d’hommes de médias auraient donc estimé que l’homme qui a fait d’un repris de justice aux pratiques les plus violentes un ministre-sherif de l’administration territoriale abandonnerait son dessein. Par leurs sorties largement médiatisées, ces intellectuels ont la prétention que les choses changeront simplement sous 

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.