Aimé Bonny
Médecin, Professeur agrégé de cardiologie, enseignant à l'universitaire de Douala au Cameroun, Médecin des hôpitaux de France
Santeny (France) et Douala (Cameroun) - France et Cameroun
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CRISE ÉLECTORALE AU CAMEROUN ET LE SILENCE DES OCCIDENTAUX
Le Cameroun vit une crise postélectorale meurtrière, les milices du tyran Paul BIYA tirant à balles réelles sur un peuple supposé l'avoir élu. Le silence assourdissant des occidentaux témoigne de leur appétit du business des génocides africains -
La GUERRE ÉCONOMIQUE : unique solution de sortie de la tyrannie camerounaise ?
La GUERRE ÉCONOMIQUE, sous forme de boycott de tous les avoirs des opérateurs économiques nationaux pro-régime et les entreprises françaises, est l'unique solution pour libérer le peuple camerounais de la tyrannie BIYA -
Ces chefs d’États africains qui adorent l’humiliation occidentale
L'instit Trump et ses élèves africains Cinq présidents africains se sont rendus coupables de maltraitance à la Maison-Blanche, par un Donald TRUMP en instituteur mesquin face à des élèves cancres et mal vêtus. Après les bus transportant ces présidents comme des écoliers (dixit William RUTO du Kenya), voici le bureau ovale en théâtre de la prosternation de l’africain face à son maître éternel. -
Paul BIYA OU LA FRAUDE CONSTITUTIONNELLE PERMANENTE
Les Camerounais sont suspendus à la constatation de la vacance du pouvoir au Cameroun, du fait de la disparition depuis plus d'un mois de son Président. Pourtant, il y a déjà longtemps que Paul BIYA ne respecte pas la constitution (article 1 alinéa 8) qui veut que son lieu de travail n’est pas l’hôtel intercontinental de Genève, mais le palais présidentiel sis à Yaoundé . -
VACANCE DE POUVOIR et CONSTITUTION CAMEROUNAISE : LE DELAI DE 45 JOURS EST UN MYTHE
Le Cameroun a cessé de respirer, suspendu à un fallacieux délai de 45 jours (non inscrit dans la constitution) pour constater la vacance de pouvoir du Président de la République Paul BIYA. Curieux que la société civile, les hommes politiques, les journalistes locaux et internationaux ne cessent de brandir ce fameux chiffre 45, favorable à un dictateur pourtant déjà constitutionnellement déchu.