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Billet de blog 15 juillet 2022

Alain Saiche

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²cg²-Connaissez vous "ces gens là @EmmanuelMacron? Oui?

Vous voulez un statut de transparence pour votre conjoint, Emmanuel Macron, PR, Elysee? Vous, Président, ne comprenez RIEN aux subtilités du langage: Si le prochain Président HOMME était marié à un HOMME mariés comme Tous, quel serait son statut? Votre proposition se heurte donc à un préalable CONSTITUTIONNEL! Notre constitution ne prévoit RIEN sur le sujet autre que: L'ELECTION D'UN PRESIDENT

Alain Saiche

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

            * *PRESIDENTIELLE 2022-2027* *   

                  MISE DANS L'AMBIANCE.

                        Clarifions la situation.

Connaissez vous "ces gens là" de Caroline Cayeux?

Votre femme, Monsieur le Président, n'est investie, par le vote d'une minorité des  47 millions d'électeurs inscrits qui vous a élu, D'AUCUNE "MISSION"!

Il n'est donc pas de bon aloi qu'elle aborde ce sujet dans le JDD à venir, et dans le magazine "Elle" le vendredi 18.08.2017! 

Cela étant, vous ayant suivi à l'Elysée, elle a "hérité" des conseils, des connaissances et du Savoir expérimenté d'un Service du Protocole pour l'aider et la conseiller dans ses fonctions de femme de Président de la République, tout comme les autres femmes qui suivent leur mari dans les différentes fonctions occupées lors de promotions ou d'affectations nouvelles le font, que ce soit vers le haut ou vers le bas!

C'est ce qu'a fait Madame De Gaulle losqu'elle suivait son mari, par exemple, de manière exemplaire, partout dans ses devoirs de Chef de L'Etat: Le Président était son mari, et elle était sa femme! Rien que de plus PROTOCOLAIRE!

Alors, Monsieur Emmanuel Macron, de grâce, ne commettez pas LA FAUTE de vouloir faire de votre femme Brigitte autre chose que votre femme, avec tous les devoirs qui sont déjà les siens, avec TOUS les honneurs qui lui sont dûs par LE PROTOCOLE REPUBLICAIN qui sait et saura, n'en doutez pas, faire de votre femme "la femme du Président" au service de son Pays, de Notre Pays, La France!

Il serait donc agréable aux 67 millions de Français, y compris les 47 millions d'électeurs, que vous n'en rajoutiez pas par Ego ou mauvais conseils interposés en confiant des "MISSIONS" et un budget à votre femme! CONFIEZ LE BUDGET AUX SERVICES DU PROTOCOLE, dans la plus grande transparence!

Il vous faut savoir rester ce que vous êtes, un homme marié, devenu Président de la République qui, en dehors des devoir conjugaux, se trouve être au service de son pays, La France, pour le sortir du marasme économique et social dans lequel il est plongé.

Penser à un "statut" particuler pour votre femme alors que Notre Pays est en guerre serait manquer à vos devoirs envers lui. Vous avez autre chose à faire et à penser: Gagner la guerre et la bataille économiques.

Désolé d'avoir été amené à vous déplaire de par vos prises de positions "complexes" et souvent incompréhensibles en économie,

Je ne vous en souhaite pas moins de réussir dans vos fonctions pour lesquelles vous êtes mal parti économiquement et vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma considération distinguée. 

"CES GENS-LÀ": LES EXCUSES DE CAROLINE CAYEUX PEINENT À CONVAINCRE LA MAJORITÉ

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

Le 15/07/2022 à 11:34

Malgré ses propos apaisants dans Le Parisien, la ministre mise en cause pour des propos visant la communauté LGBT, reste dans le viseur de certains dans la majorité.

Ne plus s'en dépêtrer. La ministre Caroline Cayeux a beau avoir présenté des excuses ce jeudi soir après ses propos "stupides et maladroits", la polémique ne s'éteint pas. Une tribune appelant à sa démission et signée par des parlementaires de la majorité est actuellement en préparation, a appris BFMTV, confirmant une information de France Info. Et ses propres collègues du gouvernement prennent leurs distances.

"Ce n'est pas à moi de dire si j'accepte ses excuses. C'est aux personnes concernées. Si elle souhaite le faire, elle peut soutenir l'ouverture de centres LGBT partout dans le pays, elle peut soutenir des 'pride' (marche des fiertés NDLR)", a jugé de son côté la secrétaire d'État Marlène Schiappa ce vendredi sur France inter.

Même son de cloche du ministre des Transports, Clément Beaune ce jour sur France info qui défend "une question de principes, de valeurs, de ligne politique rappelée très clairement par le gouvernement".

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Des premières excuses peu convaincantes

La polémique est née lundi, avec la parution d'une tribune signée par des députés Nupes dans Têtu, appelant aux départs des ministres "LGBTQIAphobes notoires" du gouvernement, dont Caroline Cayeux.

Interrogée le lendemain par Public Sénat, la nouvelle ministre, très longtemps élue sous l'étiquette LR, avait évoqué "avoir beaucoup d'amis parmi ces gens-là" en parlant des couples homosexuels. L'ex-sénatrice de l'Oise, avait également dit "maintenir" ses propos tenus en 2013, quand elle qualifiait le mariage pour tous de "dessein contre la nature".

Face à la levée de boucliers de la gauche, Caroline Cayeux présente ses excuses quelques heures après cette interview.

"Mes propos ont blessé nombre d’entre vous. Je les regrette profondément, ils étaient naturellement inappropriés. L’égalité des droits doit toujours être une priorité de notre action", twitte-elle.

Des collègues qui prennent leurs distances

Le geste n'est manifestement pas suffisant. Olivia Grégoire la soutient du bout des lèvres le lendemain. "On a le droit à l'erreur une fois", lance sur LCI l'ancienne porte-parole du gouvernement, désormais ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes entreprises. Lors de son point presse à l'issue du conseil des ministres, Olivier Véran dénonce de son côté des "propos anachroniques", même s'il estime le sujet "clos".

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Le soir même, Clément Beaune regrette également des "propos extrêmement blessants". "Je fais partie de ces gens-là", avance-t-il encore sur la même antenne.

Dans l'espoir de clore définitivement la séquence, Caroline Cayeux décide jeudi soir de se fendre d'un long entretien dans Le Parisien.

"Je comprends que ces propos stupides et maladroits aient pu autant blesser. Je tiens ici à renouveler toutes mes excuses les plus sincères car ils ne reflètent pas du tout ma pensée", avance l'ancienne maire de Beauvais.

La ministre a également veillé à apparaître aux côtés de Brigitte Macron lors du défilé du 14-Juillet. Cela sera-t-il suffisant pour sauver son poste? Certains membres de la coalition présidentielle ne désarment pas.

Des appels à la démission

D'anciens ministres et des parlementaires de la majorité ont ainsi signé une tribune, à paraître prochainement, appelant à son départ. "Comment accepter qu'un membre de l'exécutif, dont le premier rôle est d'assurer l'application des lois, puisse qualifier de 'ces gens-là' des citoyens français?", peut-on lire dans ce texte que BFMTV a pu consulter.

"(La ministre) a choisi délibérément de maintenir ses propos homophobes: c'est certainement répréhensible", écrivent également les signataires. "Seul un juge devrait en décider."

Et les signataires de s'interroger: "La question est de savoir si le gouvernement, dans son devoir de solidarité valide la position de l'un de ses membres."

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

"CES GENS-LÀ": LES EXCUSES DE CAROLINE CAYEUX PEINENT À CONVAINCRE LA MAJORITÉ

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

Le 15/07/2022 à 11:34

Malgré ses propos apaisants dans Le Parisien, la ministre mise en cause pour des propos visant la communauté LGBT, reste dans le viseur de certains dans la majorité.

Ne plus s'en dépêtrer. La ministre Caroline Cayeux a beau avoir présenté des excuses ce jeudi soir après ses propos "stupides et maladroits", la polémique ne s'éteint pas. Une tribune appelant à sa démission et signée par des parlementaires de la majorité est actuellement en préparation, a appris BFMTV, confirmant une information de France Info. Et ses propres collègues du gouvernement prennent leurs distances.

"Ce n'est pas à moi de dire si j'accepte ses excuses. C'est aux personnes concernées. Si elle souhaite le faire, elle peut soutenir l'ouverture de centres LGBT partout dans le pays, elle peut soutenir des 'pride' (marche des fiertés NDLR)", a jugé de son côté la secrétaire d'État Marlène Schiappa ce vendredi sur France inter.

Même son de cloche du ministre des Transports, Clément Beaune ce jour sur France info qui défend "une question de principes, de valeurs, de ligne politique rappelée très clairement par le gouvernement".

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Des premières excuses peu convaincantes

La polémique est née lundi, avec la parution d'une tribune signée par des députés Nupes dans Têtu, appelant aux départs des ministres "LGBTQIAphobes notoires" du gouvernement, dont Caroline Cayeux.

Interrogée le lendemain par Public Sénat, la nouvelle ministre, très longtemps élue sous l'étiquette LR, avait évoqué "avoir beaucoup d'amis parmi ces gens-là" en parlant des couples homosexuels. L'ex-sénatrice de l'Oise, avait également dit "maintenir" ses propos tenus en 2013, quand elle qualifiait le mariage pour tous de "dessein contre la nature".

Face à la levée de boucliers de la gauche, Caroline Cayeux présente ses excuses quelques heures après cette interview.

"Mes propos ont blessé nombre d’entre vous. Je les regrette profondément, ils étaient naturellement inappropriés. L’égalité des droits doit toujours être une priorité de notre action", twitte-elle.

Des collègues qui prennent leurs distances

Le geste n'est manifestement pas suffisant. Olivia Grégoire la soutient du bout des lèvres le lendemain. "On a le droit à l'erreur une fois", lance sur LCI l'ancienne porte-parole du gouvernement, désormais ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes entreprises. Lors de son point presse à l'issue du conseil des ministres, Olivier Véran dénonce de son côté des "propos anachroniques", même s'il estime le sujet "clos".

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Le soir même, Clément Beaune regrette également des "propos extrêmement blessants". "Je fais partie de ces gens-là", avance-t-il encore sur la même antenne.

Dans l'espoir de clore définitivement la séquence, Caroline Cayeux décide jeudi soir de se fendre d'un long entretien dans Le Parisien.

"Je comprends que ces propos stupides et maladroits aient pu autant blesser. Je tiens ici à renouveler toutes mes excuses les plus sincères car ils ne reflètent pas du tout ma pensée", avance l'ancienne maire de Beauvais.

La ministre a également veillé à apparaître aux côtés de Brigitte Macron lors du défilé du 14-Juillet. Cela sera-t-il suffisant pour sauver son poste? Certains membres de la coalition présidentielle ne désarment pas.

Des appels à la démission

D'anciens ministres et des parlementaires de la majorité ont ainsi signé une tribune, à paraître prochainement, appelant à son départ. "Comment accepter qu'un membre de l'exécutif, dont le premier rôle est d'assurer l'application des lois, puisse qualifier de 'ces gens-là' des citoyens français?", peut-on lire dans ce texte que BFMTV a pu consulter.

"(La ministre) a choisi délibérément de maintenir ses propos homophobes: c'est certainement répréhensible", écrivent également les signataires. "Seul un juge devrait en décider."

Et les signataires de s'interroger: "La question est de savoir si le gouvernement, dans son devoir de solidarité valide la position de l'un de ses membres."

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

  Clarifions la situation.

"CES GENS-LÀ": LES EXCUSES DE CAROLINE CAYEUX PEINENT À CONVAINCRE LA MAJORITÉ

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

Le 15/07/2022 à 11:34

Malgré ses propos apaisants dans Le Parisien, la ministre mise en cause pour des propos visant la communauté LGBT, reste dans le viseur de certains dans la majorité.

Ne plus s'en dépêtrer. La ministre Caroline Cayeux a beau avoir présenté des excuses ce jeudi soir après ses propos "stupides et maladroits", la polémique ne s'éteint pas. Une tribune appelant à sa démission et signée par des parlementaires de la majorité est actuellement en préparation, a appris BFMTV, confirmant une information de France Info. Et ses propres collègues du gouvernement prennent leurs distances.

"Ce n'est pas à moi de dire si j'accepte ses excuses. C'est aux personnes concernées. Si elle souhaite le faire, elle peut soutenir l'ouverture de centres LGBT partout dans le pays, elle peut soutenir des 'pride' (marche des fiertés NDLR)", a jugé de son côté la secrétaire d'État Marlène Schiappa ce vendredi sur France inter.

Même son de cloche du ministre des Transports, Clément Beaune ce jour sur France info qui défend "une question de principes, de valeurs, de ligne politique rappelée très clairement par le gouvernement".

Des premières excuses peu convaincantes

La polémique est née lundi, avec la parution d'une tribune signée par des députés Nupes dans Têtu, appelant aux départs des ministres "LGBTQIAphobes notoires" du gouvernement, dont Caroline Cayeux.

Interrogée le lendemain par Public Sénat, la nouvelle ministre, très longtemps élue sous l'étiquette LR, avait évoqué "avoir beaucoup d'amis parmi ces gens-là" en parlant des couples homosexuels. L'ex-sénatrice de l'Oise, avait également dit "maintenir" ses propos tenus en 2013, quand elle qualifiait le mariage pour tous de "dessein contre la nature".

Face à la levée de boucliers de la gauche, Caroline Cayeux présente ses excuses quelques heures après cette interview.

"Mes propos ont blessé nombre d’entre vous. Je les regrette profondément, ils étaient naturellement inappropriés. L’égalité des droits doit toujours être une priorité de notre action", twitte-elle.

Des collègues qui prennent leurs distances

Le geste n'est manifestement pas suffisant. Olivia Grégoire la soutient du bout des lèvres le lendemain. "On a le droit à l'erreur une fois", lance sur LCI l'ancienne porte-parole du gouvernement, désormais ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes entreprises. Lors de son point presse à l'issue du conseil des ministres, Olivier Véran dénonce de son côté des "propos anachroniques", même s'il estime le sujet "clos".

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Le soir même, Clément Beaune regrette également des "propos extrêmement blessants". "Je fais partie de ces gens-là", avance-t-il encore sur la même antenne.

Dans l'espoir de clore définitivement la séquence, Caroline Cayeux décide jeudi soir de se fendre d'un long entretien dans Le Parisien.

"Je comprends que ces propos stupides et maladroits aient pu autant blesser. Je tiens ici à renouveler toutes mes excuses les plus sincères car ils ne reflètent pas du tout ma pensée", avance l'ancienne maire de Beauvais.

La ministre a également veillé à apparaître aux côtés de Brigitte Macron lors du défilé du 14-Juillet. Cela sera-t-il suffisant pour sauver son poste? Certains membres de la coalition présidentielle ne désarment pas.

Des appels à la démission

D'anciens ministres et des parlementaires de la majorité ont ainsi signé une tribune, à paraître prochainement, appelant à son départ. "Comment accepter qu'un membre de l'exécutif, dont le premier rôle est d'assurer l'application des lois, puisse qualifier de 'ces gens-là' des citoyens français?", peut-on lire dans ce texte que BFMTV a pu consulter.

"(La ministre) a choisi délibérément de maintenir ses propos homophobes: c'est certainement répréhensible", écrivent également les signataires. "Seul un juge devrait en décider."

Et les signataires de s'interroger: "La question est de savoir si le gouvernement, dans son devoir de solidarité valide la position de l'un de ses membres."

Marie-Pierre Bourgeois avec Anne Saurat-Dubois

                                                   -

²xl².Bonjour Monsieur le Président. (Macron). Je vais donner copie à mes experts. ÉDITER

Le problème est que la France n'est absolument pas à la hauteur de la situation.

                                                 -----

*Le pouvoir législatif et exécutif sont à prendre:

PRENEZ LES DE MANIERE DEMOCRATIQUE ET DANS LA PAIX SOCIALE!

Pas par les "Mencicides" et la gestion "Menticiaire soft" des Affaires.

C'est au coeur même des médias qu'il faut vous attaquer pour faire pression sur le Président Emmanuel Macron et sur Bercy pour supprimer les "arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises" pour retouver une juste vie normale.

Voyons donc ce qu'il en est.

                               -      

Le Nombre de voix obtenues est l'élément déterminant parrapport au taux d'abstention. Cela est bien gênant!

Il représente 28,01%.

Cela ferait 18 779 641 voix pour EM, 13 297 760 pour MLP, soit au total 32 077 401 Voix. Plus de 3 000 000 votes Blancs ou nuls! Il y a 48,7 millions d'électeurs.

Calculez le % réel de CEUX QUI N'ONT PAS VOTE POUR Ammanuel Macron!

²gebg².Elu avec 28,01 d'électeurs sur 48,7 millions, il n'y a pas de quoi pavoiser! ÉDITER

Vous ne pouvez donc pas vous faire prévaloir que de ceux qui ont voté pour vous!

Prétendre le contraire serait une aberration! 

                                    -

                           RÉÉDITION

Le Président de la République avait déclaré: "Je suis un guerrier"...  face à Marine Le Pen... (Et c'est vrai!)        

*LA VENTE A PERTE N'EXISTE PAS*!

IL N'EXISTE QUE LE SYSTEME QUI SE FAIT APPELER, A TORT, "SYSTEME DE "VENTES A PERTES"!      

                                     -

²éem-Voici ce que m'a écrit M @EmmanuelMacron, Président de la République française. ÉDITER

                                   -

*²pf²-Lettre ouverte au Parquet @pr_financier, au sujet de Monsieur @EmmanuelMacron. ÉDITER

                                   -

*²csg²-Et voici, a present, LES ARNAQUES du @COR_retraites @lecese @Strategie_Gouv @CAEinfo @MEDEF. ÉDITER

                                   -

 Les Retraités en fin de vie, Grabataires, Déficients mentaux, Malades Alzheimer et ALS, etc, etc... prient le Président Emmanuel Macron d'avoir une pensée pour eux et de remettre les pieds sur terre après avoir augmenté leur CSG. La relance de l'économie passe par l'application de "La Méthode de Gestion par le "Révisionnisme économique", seule option valable pour la relance de l'économie.    

                                                     -     

LE SEUIL DE REVENTE À PERTE : QU'EST-CE QUE C'EST?

Copie de la Fiche économique N° E O5.

Fiche économique E 05

Date de publication : 07/01/2019 - Commerce/services

La loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite "loi alimentation" prévoit un relèvement de 10 % du seuil de revente à perte au plus tard le 1er juin 2019 et renvoit à l’ordonnance du 12 décembre 2018 pour la mise en oeuvre.

"Le relèvement du SRP – seuil de revente à perte – va mécaniquement remonter de 10 % le prix de centaines de produits du quotidien" selon Les Echos du lundi 3 décembre 2018.

Est-ce que cela est bien vrai ?

Pour répondre à cette question, notre économiste vous présente une définition du seuil de revente à perte, et son mode de calcul.

1 - Définition et mode de calcul

2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?

1 - Définition et mode de calcul

Le seuil de revente à perte – ou prix d’achat effectif – représente la limite de prix en dessous de laquelle un distributeur ne peut revendre un produit sous peine d’être sanctionné. Il est défini par l’article L. 442-3 du code de commerce comme suit : "Le prix d’achat effectif est le prix unitaire net figurant sur la facture d’achat, minoré du montant de l’ensemble des autres avantages financiers consentis par le vendeur exprimé en pourcentage du prix unitaire net du produit et majoré des taxes sur le chiffre d’affaires, des taxes spécifiques afférentes à cette revente et du prix du transport".

 Il y a une différence entre la revente à perte et la vente à perte. Le SRP concerne l’activité de revente, et non la vente directe par un fabricant.

Il existe des exceptions où le distributeur peut revendre en dessous du prix d’achat effectif :

  • quand la date de péremption d’un produit expire sous peu,
  • lorsqu’un produit technique est obsolète ou démodé,
  • pendant les soldes (elles sont définies par l’article L. 310-3 du code de commerce, pour en savoir plus voir notre fiche sur les promotions et les soldes),
  • si, dans une même zone d’activité, un prix plus bas est légalement pratiqué pour le même produit,
  • dans le cadre d’une cessation ou d’un changement d’activité,
  • lorsqu’on achète un produit à un certain prix, puis qu’on achète le même produit moins cher, on peut alors revendre les produits anciennement stockés en se basant sur le prix d’achat des produits moins chers nouvellement stockés.

Comment le seuil de revente à perte est-il calculé ?

Le prix d’achat effectif est calculé de la façon suivante :

2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?

Pour réaliser des profits, les distributeurs appliquent différentes marges sur le prix des produits vendus. Ces marges représentent la rémunération du distributeur, sans quoi celui-ci perdrait de l’argent. Or, le SRP ne prend pas en compte la totalité des revenus des distributeurs liés à la vente d’un produit. Autrement dit, le seuil de revente à perte ne correspond pas au prix de vente du produit au consommateur.

Pour mieux comprendre, voici un détail des différents revenus que perçoivent les distributeurs.

Les revenus des distributeurs

Les revenus des distributeurs sont réalisés grâce aux marges. Il en existe deux types : les marges "avant" et les marges "arrière".

La marge avant, la plus connue, représente la différence entre le prix net sur la facture et le prix de vente au consommateur.

On distingue deux types de marges arrière :

  • Les ristournes, remises, rabais… accordées par le fournisseur,
  • Les services de coopération commerciale liés à la vente des produits (référencement d’un produit dans le catalogue du distributeur, emplacement des produits dans un linéaire …).

Le SRP prend donc en compte seulement une partie des marges des distributeurs. La marge avant n’est pas prise en compte dans son calcul.

Ainsi, un relèvement du SRP peut se traduire soit par une augmentation directe des prix, soit par une baisse des marges des distributeurs. L’augmentation des prix n’est donc pas "mécanique". De plus, si effectivement la hausse du SRP est reporté directement sur le prix du produit vendu, cela se fera dans des proportions moindres.

Voici un exemple pour illustrer ces propos.

Imaginons qu’un fabricant vende un produit à un distributeur, dont le prix unitaire net est de 100 €. On suppose que les avantages financiers représentent 30 % du prix de ce produit, soit 30 €. Le montant total des différentes taxes est de 5 €, et le prix du transport est de 5 €.

Le seuil de revente à perte est alors de :

SRP = 100 – 30 + 5 + 5 = 80 €

Si le SRP est relevé de 10 %, alors celui-ci passera à 88 € (soit une augmentation de 8 €).

Imaginons ensuite que la marge "avant" du distributeur soit de 20 %, le produit est alors vendu à 120 € au consommateur.

Si la hausse du SRP se traduit directement par une hausse des prix, alors le prix du produit augmentera dans ce cas ci de 8 €. Ainsi, au lieu de vendre le produit au consommateur 120 €, il sera vendu 128 €, soit une augmentation de 6,7 %. Et non pas 10 %.

Il faut donc bien faire attention à trois points :

  • le prix de vente au consommateur ne correspond pas au seuil de revente à perte,
  • une hausse du SRP ne se traduit pas mécaniquement par une hausse du prix du produit,
  • si la hausse du SRP est directement reportée sur le prix du produit, la hausse n’est pas aussi importante sur le prix d’achat.

                                           -

*Bonjour Toulemonde, Bonjour La France, Bonjour LU€*

                 *MISE A JOUR AU: 21.01.2018.

     *AFIN QUE NUL N'IGNORE ET N'OUBLIE*

Lettre ouverte à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République. 

Objet: Un statut ou une Charte  DES MISSIONS pour votre femme Brigitte Macron?

Le 02.01.2018, Brigitte Macron, votre femme, pour laquelle 100 % des Français n'ont pas voté, se met à la Une en prétendant jouer un rôle plus significatif à l'Elysee: Ne plus se trouver "derrière son mari", vous,  et ne plus vouloir être une femme de l'ombre!

Cela me permet de vous rappeler, Monsieur le Président Emmanuel Macron, ainsi qu'au Peuple de France, mes écrits du mois d'août 2017 ci après, sans négliger au passage le fait que vous avez été élu par défaut avec 48 % des suffrages du nombre des électeurs inscrits et que votre majorité parlementaire est de 17, 88 % de ces mêmes nombre d'électeurs inccrits sur les listes électorales.

Il n'y a donc pas lieu de pavoiser comme vous le faites pour justifier vos actes amphigouriques, sur votre majorité qui ne représente, dans les faits, QU'UNE MINORITE de Français, étant entendu que la majorité de vos compatriotes sont dégoûtés de la politique économique menée par tous les hommes et toutes les femmes politiques, vous compris!

Le 07.10.2017: Paris Match titre sur Twitter: 60 photos de Brigitte Macron. Après 6 mois à l'Elysee...

Vous feriez mieux de passer plus de temps au Dialogue social au lieu de diriger aveuglément par 49-3 et ordonnances, MONOLOGUE SOCIAL anti démocratique, Monsieur Emmanuel Macron, car, ne l'oubliez pas: Bloquée par le système électoral qui ne permet de présenter que des oligarques issus des partis politiques décadents, LA MAJORITE du peuple de France s'est abstenue de se rendre aux urnes! 

                 Bonjour Monsieur le Président, 

*Désolé, Monsieur le Président, MAIS la charte d'emploi et de MISSIONS de  votre femme Brigitte Macron "sans rémunération", POUR L'IMAGE, n'est pas convenable, n'est qu'une imposture d'EGO de votre part et serait à revoir de manière rationnelle et URGENTE, si nécessaire par ordonnance!

Vous avez en effet défini le rôle de votre femme Brigitte Macron par une charte mise en communication sur le site internet de la Présidence de la République, le 21 août 2017.

Rapprochée aux prévisions de campagne électorale présidentielle, vous avez en fait accouché d'une souris en ne lui offrant pas le STATUT que vous aviez prévu, ce qui eût été contraire à la Constitution, ce en quoi vous avez préféré vous en tenir, à l'ïota près, à mes remarques contenues dans cet article, en date du 03.08.2017 dans sa première mouture.

Cela étant, je vous reprendrai tout de même sur LE TITRE DE LA CHARTE: " Charte de transparence relative au CONJOINT du Chef de l'Etat" en vous faisant remarquer qu'il manque totalement de transparence, puisque vous ne mentionnez pas le nom de la bénéficiaire, votre femme, Madame Brigitte Macron! Il vous faut donc préciser:

"Charte d'emploi non rémunéré de ma femme Brigitte Macron durant mon quinquennat".

*Vous n'avez en effet aucun droit pour préjuger d'une charte pour TOUS les conjoints futurs en assimilant la charte de votre conjoint aux autres conjoints des Chefs d'Etat à venir: En effet, une femme quelle qu'elle soit ou un homme,"marié pour tous" quel qu'il soit peut avoir par exemple un travail et désirer le garder pendant le quinquennat de son conjoint! Nul ne pourrait lui interdire ce choix!

Vous ne pouvez donc pas vous permettre de PREVOIR DES MISSIONS pour un conjoint de Président de la République, SAUF A PRECISER: "MISSIONS pour ma femme Brigitte Macron" pour ce qui vous concerne!

Il en découle que votre "charte sur la"transparence" de la vie politique" ne peut contenir DES MISSIONS dans le rôle de votre femme du moment comme règle impérative "de travail non rémunéré", dans la mesure où les 67 millions de Français dont les 47 millions d'électeurs ne sont appelés à une élection présidentielle QUE POUR ELIRE UN PRESIDENT de la République, non pour que sa femme exécute telle ou telle mission au bon vouloir du Président avec les moyens financiers de La République!

*Enfin et pour en conclure, vous auriez mieux fait de vous abstenir de créer un rôle officiel pour un conjoint du Président de la République, en l'occurence "votre femme", étant entendu que si cela eût été "un homme" dans la cadre du Mariage pour Tous", il eût peut être  préféré s'intéresser à "faire la guerre" alors que le "Chef des Armées" serait son propre conjoint! Il est aisé de se demander alors si ce ne serait pas là un point de discorde national et international qui pourrait déboucher sur "La guerre pour Tous!!...

Votre "Charte de transparence relative au conjoint du Chef de l'Etat" , telle que présentée, fait donc un mélange des genres qu'il vous appartient de revoir de manière compréhensible pour les 67 millions de Français dont les 47 millions d'électeurs appelés à un moment ou à un autre à en prendre connaissance..

Est il encore temps de revenir en arrière pour vous? Bien conseillé par votre entourage, la réponse devrait être "Oui"!

Dans n'importe quel cas de figure, il vous appartient de réfléchir, à l'Avenir, avant de prendre des décisions qui pourraient être critiquables, étant entendu qu'il n'est pas aisé, pour un Président, de s'entourer de Conseillers capables de lui dire: "Non, Monsieur le Président, PARCE QUE si vous faites "comme ça",... il y aura tels inconvénients, alors que si vous faites "comme ci" il y aurait tels et tels avantages"!

En l'attente des modifications à la Charte de transparence relative au conjoint du Chef de l'Etat, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma considération distinguée.

Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.

                                            --- 

La valeur de mon article du 03 août 2017 ci après n'étant pas remise en question mais confortée par la charte de votre conjoint du 21 août 2017, je le laisse en lecture pour ceux qui souhaiteraient le lire ou le relire.

   *Un STATUT ou UNE CHARTE DE LA TRANSPARENCE pour votre femme comme envisagé lors de votre campagne présidentielle ou, ce qui est nouveau, des "MISSIONS" pour votre femme Brigitte qui deviendrait la "première dame", Brigitte Macron avec un "statut", un "Rôle" et un budget n'est que de la mauvaise Communication!

En effet, Madame Macron n'est légalement QUE la femme d'un homme politique qui a été élu Président de la République, tout comme Madame Toulemonde est devenue la femme d'un salarié ou d'un docteur ou d'un facteur ou d'un boulanger, ce qui la met au même niveau que les autres femmes mariées en ce qui concerne les devoirs conjugaux de "suivre son mari" et inversement.

C'est dans le cadre de ses devoirs conjugaux qu'elle vous a suivi, tout comme le font les autres femmes, ni plus, ni moins.

Votre femme, Monsieur le Président, n'est investie, par le vote d'une minorité des  47 millions d'électeurs inscrits qui vous a élu, D'AUCUNE "MISSION"! Il n'est donc pas de bon aloi qu'elle aborde ce sujet dans le JDD à venir, et dans le magazine "Elle" le vendredi 18.08.2017! 

Cela étant, vous ayant suivi à l'Elysée, elle a "hérité" des conseils, des connaissances et du Savoir expérimenté d'un Service du Protocole pour l'aider et la conseiller dans ses fonctions de femme de Président de la République, tout comme les autres femmes qui suivent leur mari dans les différentes fonctions occupées lors de promotions ou d'affectations nouvelles le font, que ce soit vers le haut ou vers le bas!

C'est ce qu'a fait Madame De Gaulle losqu'elle suivait son mari, par exemple, de manière exemplaire, partout dans ses devoirs de Chef de L'Etat: Le Président était son mari, et elle était sa femme! Rien que de plus PROTOCOLAIRE!

Alors, Monsieur Emmanuel Macron, de grâce, ne commettez pas LA FAUTE de vouloir faire de votre femme Brigitte autre chose que votre femme, avec tous les devoirs qui sont déjà les siens, avec TOUS les honneurs qui lui sont dûs par LE PROTOCOLE REPUBLICAIN qui sait et saura, n'en doutez pas, faire de votre femme "la femme du Président" au service de son Pays, de Notre Pays, La France!

Il serait donc agréable aux 67 millions de Français, y compris les 47 millions d'électeurs, que vous n'en rajoutiez pas par Ego ou mauvais conseils interposés en confiant des "MISSIONS" et un budget à votre femme! CONFIEZ LE BUDGET AUX SERVICES DU PROTOCOLE, dans la plus grande transparence!

Il vous faut savoir rester ce que vous êtes, un homme marié, devenu Président de la République qui, en dehors des devoir conjugaux, se trouve être au service de son pays, La France, pour le sortir du marasme économique et social dans lequel il est plongé.

Penser à un "statut" particuler pour votre femme alors que Notre Pays est en guerre serait manquer à vos devoirs envers lui. Vous avez autre chose à faire et à penser: Gagner la guerre et la bataille économiques.

Désolé d'avoir été amené à vous déplaire de par vos prises de positions "complexes" et souvent incompréhensibles en économie,

Je ne vous en souhaite pas moins de réussir dans vos fonctions pour lesquelles vous êtes mal parti économiquement et vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma considération distinguée. 

Pour La France!

Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme. 

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 Abordons à présent le problème de fond:

Les 47 millions d'électeurs ont été appelés aux urnes pour élire un Président, conformément à Notre Constitution, non pour que le nouveau Président, fort de son ego démesuré, veuille donner un statut particulier à sa femme ou à sa favorite du moment en la nommant "première dame" avec un statut-charte.

En République, à ma connaissance, une "première dame" n'a jamais existé, hors le fait que, femme du Président, les usages l'autorisaient, en résumé, à travailler à l'Elysee en étroite liaison avec les Services du Protocole dans certains domaines de la vie de tous les jours et pour les Réceptions de Dignitaires étrangers en particulier.

A présent, le Président Emmanuel Macron, tout comme ses prédécesseurs François Hollande et Nicolas Sarkozy, ne s'en servent QUE pour leur IMAGE en vue de leur assurer une prochaine réélection! C'est ce qui est appelé, en terme "commercial": Faire de la Communication!

Cela étant, les Egos développés à l'extrême comme celui de Emmanuel Macron n'ont aucun sens de l'Analyse logique: Si Emmanuel Macron en avait tant soit peu, il se dirait: "Un statut ou une charte de la transparence et un budget pour ma femme, "première dame"? Chouette! Mais si mon successeur HOMME était marié à un HOMME? Serait il appelé Premier HOMME? Voyons ce que dit la Constitution"...

Il serait donc Bon Pour La France et les 67 millions de Français de ne pas se laisser entrainer sur la mauvaise pente du ridicule, même si le Ridicule ne tue pas, ce que savent pertinemment TOUS nos hommes et TOUTES nos femmes politiques.

En attendant, Madame Brigitte Macron est devenue, le 05.08.2017, la marraine d'un bébé panda qui vient de naitre.

Alors, Monsieur le Président, réfléchissez bien avant de commettre une nouvelle FAUTE d'appréciation qui s'ajouterait aux autres, en particulier à celle de prendre pour des cons les 67 millions de Consommateurs qui payent intégralement les "charges"-cotisations sociales des entreprises aux entreprises en achetant leurs marchandises!

*Cela va faire 5 ans que le l'écris à l'Elysee pour ainsi dire tous les jours, voire plusieurs fois par jour grâce aux réseaux sociaux Facebook et Twitter.

Pour en conclure, je vous rappelle que les entreprises se font payer TOUTES leurs "charges"-cotisations sociales Retraites, Sécurité sociale, Chômage, par exemple, en les incorporant dans les CALCULS DES PRIX DE REVIENT et de vente!

Alors, pas de statut ou de charte de la transparence pour votre femme "première dame" avec un budget qui pourrait devenir un budget pour un Premier Homme!

*HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE!

Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.

PS. Je suis Gaulliste, plus encarté pour garder mon indépendance d'esprit.

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La suite au prochain numéro.

* *  La Charte MISSIONS @BrigitteMacron est une IMPOSTURE, @EMacron2 @Elysee ÉDITER

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