ARCHIVES
*Bonjour Toulemonde, Bonjour La France, Bonjour L'U€*
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J'avais 53 ans et 3 mois environ, début décembre 1986, lorsque le jeune Emmanuel Macron en avait 15.
Je venais de rejoindre Amiens pour occuper les fonctions d'adjoint au Directeur de la SEMTA, Société Economie Mixte des Transports urbains Amiénois.
J'avais décidé alors de prendre un nom d'emprunt pour écrire ma "Carte de visite" à cause des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises.
Ce pseudo a été: Armand de Franceville, car je voulais que mon prénom commence par un "A", et, dans mes souvenirs, c'est le premier que j'ai trouvé, et il m'a plu.
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*Nous sommes à Paris, en 1993, au congrès de l'U.T.P.(Union des Transports Publics).
Armand, en provenance d'Urbaville*(nom d'emprunt), où il exerce les fonctions d'adjoint au directeur de la S.T.2U.(Société des Transports Urbains d'Urbaville*), fait le tour des stands de présentation des matériels.
" Nous allons prochainement vous installer des visiobus dans les autobus, dit un professionnel de la vente de matériels et d'accessoires pour les autobus à Armand!
Des visiobus, répond Armand? Mais c'est d'autobus que j'ai besoin pour transporter les Etudiants!
Pas de visiobus, ces gadgets installés dans les autobus pour faire de la musique ou faire passer des images alors que les voyageurs sont serrés comme dans des boites de sardines!
C'est de la place, qu'il leur faut, pas de la musique pour leur troubler l'esprit s'ils discutent de leurs cours..."
"Le marché est déjà conclu, dit le professionnel de la vente de gadgets, et il ne reste plus qu'à signer, et c'est prévu pour le... Pas possible dit Armand! J'avais demandé que l'on achète 5 autobus articulés (chenilles) d'occasion à la R.A.T.P. en dépannage pour assurer une rentrée scolaire dans de bonnes conditions, et vous me dites que vous allez venir installer des visiobus? Je ne suis pas d'accord, rétorque Armand, .../...
"Vous pouvez me répéter ce que vous venez de dire?, s'entend questionner Armand de la part d'un homme situé un peu à l'écart et qu'il ne connaissait pas. Armand se retourne, quelque peu surpris, regarde bien l'inconnu et lui répond: "Bien sur!".../..
*Et voici, par un dialogue constructif, arriver à éviter des conflits dont les responsables sont les dirigeants...
En fait, j'avais réussi à convaincre les Dirigeants de la SEMTA d'acheter cinq autobus articulés d'occasion -nous n'en possédions pas- que certains appelaient "Chenille".
Le Chef d'atelier a immédiatement compris que les autobus partiraient les uns après les autres en y adjoignant ceux qui avaient des petites réparations à effectue.
J'ai fait appel à deux volontaire qui étaient à mi-temps pour faire une heure supplémentaire aux heures de pointe, car c'était le Bordel intégral aux heures de pointe avec quelques bus qui tombaient toujours en panne.
Et tout s'est très bien passé. Mon chef contrôleur, un "gars super" qui j'ai fait passer à un grade supérieur, s'appelait Jacques Leblond.
En fait, tous les conducteurs étaient responsables et savaient parfaitement "comment je fonctionnais: "Boulot-Boulot".
L'ambiance de travail était bonne, et tout le monde connaissait ma façon de travailler.
Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.
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J'ai démissionné de l'Armée en 1981, car il m'avait été dit que "j'étais trop vieux pour rester Parachutiste après un peu plus se 25 années de services actifs! J'avais répondu, à l'époque: "Place aux jeunes"!
Je me suis retrouvé à Kinshasa que je connaissais déjà pour une intervention militaire où j'étais intervenu directement et sans préavis pour l'intervention du 2è REP sur Kolwési.
Par la suite, en 1981, je suis allé à Kinshasa, comme Chef d'exploitation de la SOTRAZ, Société des Tansports de Aggomération du Zaïre et ensuite comme Chef de centre à Lubumbashi, toujours dans la même Société.
Affecté à la STAB, à Bayonne, j'ai pris les fonctions de Chef d'exploitation de la Société des Transports commun de l'Agglomération de Bayonne, réputée pour ses "Grèves", de 1983 à 1986. J'en ai donc connu "plusieurs"!
Ce fut enfin Amiens, à la SEMTA, Société des Economie Mixte des Transports en commun d'Amiens, où les Grèves étaient encore plus dures.
NB: J'avais transformé, pour les besoins qui me semblaient bons, les sigles d'appellation de la STAB en "Aggloville". J'ai gagné le procès qui m'avait été fait sans cause réelle et sérieuse, en 1997, et le deuxième procès à AMIENS, gagné également après "accord entre moi et le Directeur de la SEMTA.
Dans les 2 cas de figure, toutes les personnes concernées étaient tenues informées de la situation, y compris les gendarmeries de Bayonne, à partir de 1996 à Bayonne, et de celle d'Amiens, à partir de 1996.
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POUR EN CLORE ...
*MISE A JOUR AU: 09.09.2014.
*AFIN QUE NUL N'IGNORE ET N'OUBLIE*
*Objet: Le budget de la défense et des Armées.
Bonjour Monsieur le Président Emmanuel Macron, Bonjour Mesdames et Messieurs les Elu-e-s toutes appartenances et toutes fonctions hiérarchiques confondues.
Veuillez trouver ci avant copie d'un document destiné à vous faire comprendre que les chiffres étant les chiffres, il faut savoir les analyser avant de se dire: "Tous les Français sont des NULS en économie" et plus c'est gros, mieux ça passe"! Je vous laisse le soin de vous en imprégner.
De l'enseignement en économie à tirer de ce document et de votre refus de "régalienniser" le budget intégral de l'Armée, j'ai pensé faire cet article à seule fin de vous faire découvrir ce qu'est (en partie) "L'Economie militaire" en vue de vous perfectionner dans le domaine de l'économie politique "civile" oh combien dispendieuse en pure perte, comme par exemple le pacte de responsabilité qui a fait "perdre" 50 milliards € à la France!
*Préalablement, je tiens à faire ressortir qu'un Chef militaire pense d'abord à des hommes avant de penser à lui!
Ce n'est pas le cas de votre part, Monsieur le Président, en tant que Chef des Armées: Vous avez préféré commencer votre mandat en créant débats sur une charte pour votre femme Brigitte Macron et en publiant, sur le site internet de l'Elysée, le 21 aout 2017, "La charte de transparence relative au conjoint du Chef de l'Etat"!
Cela est fort bien Monsieur le Président, mais vous auriez du penser à la solde des militaires, au logiciel Louvois, qui paye ou ne paye pas les militaires, leur alloue trop ou pas assez, bref, ce logiciel louvoie au gré de ses humeurs tout comme les hommes et les femmes politiques qui pensent plus à leur bien être personnel, à celui de leur famille légale et à celui de leur "famille politique" au lieu de penser "Bien général"!
Pourtant, vous êtes dans L'OBLIGATION REGALIENNE d'assurer et d'assumer le paiement intégral des soldes des militaire des Armées au mois par mois pour qu'ils puissent partir "sereinement" sans avoir à se creuser la tête pour savoir si leur famille aura de quoi subvenir à leurs besoins!
*Alors, prenez vos responsabilités et assumez votre charge.
Cela dure depuis 4 ans à présent! Cela est INADMISSIBLE! Que dirait le personnel de l'Elysée? Celui de Matignon, de Bercy? De l'Assemblée nationale et du Sénat s'il en était de même pour eux?
*De ce qui précède, Monsieur le Président, il vous appartient à présent d'apporter la bonne réponse aux problèmes financiers posés à nos Armées, non pas par un de vos BlaBla's politiques dont vous avez le secret en même temps que d'autres BlaBla's, mais PAR DES ACTES, avec obligation de réussite!
Cela étant, il n'est pas cher d'emprunter, c'est L'Etat qui paye, s'est permis de déclarer par ailleurs Monsieur François Hollande, lorsqu'il était Président de la République, sur un cas concret d'économie budgétaire!
Le problème, pour les militaires est tout autre: Tout est trop cher! Il n'y a pas d'argent! Et pourtant... Il me souvient... Aux temps jadis,... Lorsque le service militaire était obligatoire et que la France était en guerre sans le dire... l'économie militaire, elle fonctionnait!
*Je vais vous le démontrer par mon propos, qui portera sur 6 points, avec pour ambition de vous former en ECONOMIE RATIONNELLE civile, hors le document ci dessus destiné à vous apprendre ou vous rappeler, ainsi qu'aux lecteurs et aux contribuables comment les chiffres peuvent être manipulés et avalisés par des autorités civiles quand bon leur semble en toute impunité. Je vous laisse le soin de le lire et le relire et de passer aux 6 points qui suivent:
Point N°1- L'économie rationnelle rustique: La corvée de peluches,
Point N°2- L'économie "de combat": Formation "de terrain",
Point N°3: La Bouffe sur le terrain,
Point N°4: La logistique: Le carburant pour une opération aéroportée,
Point N°5- Conclusion,
Point N°6- Mes Archives 2012: Pourquoi le récit: *L'INVISIBLE GEÔLE*
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1- L'économie rationnelle rustique:
La corvée de peluches,
L'économie militaire, c'était ça:
Septembre 1955: J'entre dans l'Armée, à la Première Demi Brigade Coloniale de Commandos Parachutistes (1ère 1/2 BCCP) à Bayonne.
*Pour tout militaire appelé à faire ses classes avant de partir "ailleurs", il lui fallait, outre les exercices de formation au combat, tout comme les civils, MANGER de temps à autre! En économie, j'ai appris, comme tous mes camarades, à faire la corvée de P'luches!
Première corvée, cours d'économie: "Vous avez xxx kgs de pommes de terre à éplucher, à raison de xx grammes à manger par soldat: " Si vous voulez terminer la corvée le plus vite que vous voulez, libre à vous: Vous faites de Grrroosses P'luches..., et vous aurez moins à manger... Alors, réfléchissez, et, regardez moi, faites des peluches normales, "comme ça" (s'ensuit alors démonstration d'épluchage d'une pomme de terre)!
Ah! Un conseil: Si vous ne voulez pas manger les yeux des PDT, retirez les soigneusement: "Les cuisiniers sont faits pour faire la cuisine, pas pour faire votre boulot" de "Corvée de P'luches"!
"Quand vous les mangerez, si vous trouvez que les p'luches sont mal faites, qu'il n'y a pas assez à manger et que les PDT sont dégueulasses parce qu'il "y a plein d'yeux", démerdez vous entre vous pour régler vos comptes!
Voilà Monsieur le Président, ma première leçon d'économie et DE PEDAGOGIE MILITAIRE: Du concret! Pas de BlaBla! Cette leçon d'économie m'a suivie partout ..., même dans le civil!
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2- L'économie "de combat":
Formation "de terrain".
1er semestre 1956: Ecole commando, Bayonne: Briefing réception des stagiaires:
*MISE DANS L'AMBIANCE: "Nous allons vous apprendre à ne pas vous faire tuer.
La formation commando coûte cher! Et un commando mort coûte encore plus cher: Il faut le remplacer par un autre et payer les obsèques en plus!
Vous allez tirer, tirer et encore tirer et toujours tirer. Un cartouche coûte 23 centimes (dans mes souvenirs)! Cela revient cher aux contribuables: Alors ne gaspillez pas les cartouches! Et utilisez la bonne arme pour le résultat recherché: Fusil: Du contact jusqu'à telle distance, PM, du contact à telle distance, Lance grenades, de telle distance à telle distance, Lance roquettes AC français et Lance roquettes AC US jusqu'à telle distance, Grenades OF, dans telles circonstances, Grenades DF, dans telles circonstances,, ... etc, etc...
"Ah! Au fait, vous aurez une dotation de munitions avant de partir en opération: Faites y attention: Il n'est pas certain que votre dotation puisse être recomplétée quand vous le voudrez et que vous êtes AU CONTACT: ALORS, ATTENTION! Ménagez vos munitions! Ne tirez QU'A BON ESCIENT! C'est une question d'entrainement! C'est ce que vous allez apprendre!
Voilà Monsieur le Président, ce qu'a été ma deuxième leçon d'économie militaire! Elle m'a servi par la suite..., même dans le civil!
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*Point N°3:
*La bouffe sur le terrain:
Il arrivait parfois que des repas chauds étaient distribués sur le terrain. Le chef ou son adjoint surveillait la distribution: Les homme passaient un par un, comme à confesse. Le chef était servi en dernier! Pourquoi, me demanderez vous?
Tout simplement, vous répondrai-je, parce que s'il manquait une ration, "Le chef n'avait RIEN et le voyait illico presto subito! Il pouvait alors "réclamer" à juste raison! C'était "Les hommes d'abord" le chef après!
Voilà, Monsieur le Président, la 3ème leçon d'économie militaire! Elle m'a servi par la suite..., même dans le civil...
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*Point N°4*
*La logistique: Besoin en carburant pour une opération aéroportée:
1978: De Côte d'Ivoire où je me trouvais en séjour: Départ de toute urgence vers Kinshasa, Zaïre:
Le 2me REP doit sauter sur Kolwezi: Les US transportent et livrent les véhicules et le carburant par avion gros porteur.
Je suis affecté à un poste Etat major où, livraison des matériels livrés terminée, le Colonel Chef de la Mission Militaire française au Zaïre, avec lequel je me trouvais, demande au chef de détachement au Colonel de l'USArm chargé des opérations de livraison, avait terminé sa mission première:
"Pouvez vous nous livrer encore xxx Tonnes de carburant? La réponse est venue immédiatement, en français le plus pur:
"NON! Vous avez commandé xxx Tonnes, vous êtes livré, vous n'aurez Pas Une Goutte de Plus! Et de répéter:
"Pas une goutte de plus"!
C'est alors que j'ai pensé: "Au moins, les US savent ce qu'ils font: "Business is Business!
Tout avait été préparé "à la goutte près" par mesure d'économie, déjà! Il y aura quarante ans (40) ans au mois de mai 2018!
Fort heureusement, tout s'est bien passé. De toute façon, il aurait été possible de réquisitionner sur place si nécessaire!
Ce sera, Monsieur le Président, la 4ème leçon d'économie militaire que je vous citerai, tout en appelant votre attention sur les RISQUES ENCOURUS PAR LES ARMEES pendant que "les civils" au Pouvoir, (comme vous, par exemple,) déclenchent des guerres A L'ECONOMIE sans se préoccuper du financement des moyens à mettre en œuvre pour non seulement les gagner, MAIS AUSSI ET SURTOUT "EN SECURITE" pour les opérationnels!
*Cette 4è leçon d'économie militaire m'a servi par la suite..., même dans le civil!
J'en arrive à présent au point final:
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*Point N°5*
CONCLUSION.
J'ai reçu bien d'autres leçons entre la première et la dernière, en particulier dans le milieu civil, ce qui peut me permettre de comparer "L'ECONOMIE TYPE MILITAIRE", rationnelle, responsable et organisée en fonction des moyens, et "L'ECONOMIE TYPE CIVILE" menée par des responsables IRRESPONABLES tant financièrement que judiciairement, qui ne savent même pas ce qu'est l'économie rationnelle et se permettent, comme vous, de donner des leçons aux Chefs militaires!
Pour autant et ne pas vous lasser, j'en resterai là pour aujourd'hui, sans manquer de vous faire remarquer que , SI un Chef militaire, quel que soit son grade, à plus forte raison dans les plus hautes fonctions qui sont les siennes, adresse une "réclamation", c'est TOUJOURS à bon escient et POUR LE BIEN DU SERVICE DE LA FRANCE!
*Alors, pour en revenir à l'objet de mon propos, sur le budget de La Défense et des Armées, j'ai 4 questions à vous poser, de manière rationnelle et concrètes, sur les points ci après qui vont vous rappeler quelques souvenirs, avec la leçon que j'en tire:
1- Avez vous chiffré à combien reviendrait le service militaire de un mois qui se trouve dans votre programme présidentiel? NON!
2- Aviez vous pensé au programme de formation avant de lancer l'idée? NON!
3- Avez vous pensé au logement des recrues? NON!
4- Alors, pourquoi en avoir lancé l'idée?
Pour devenir Président? Ah! J'ai compris:
*Vous ne pensiez QU'A VOUS! Dans L'Armée, on joue COLLECTIF! LA SURVIE!...
Alors, à présent que vous êtes Chef des Armées, pensez au Général Pierre de Villiers qui a démissionné le 19 juillet 2017 parceque vous ne vouliez pas lui accorder les moyens financiers nécessaires pour accomplir les missions qui étaient les siennes!
C'est à ses hommes, qu'il pensait, pendant que vous pensiez, vous, au statut de votre femme Brigitte, par Ego et Fric et...!
*Pour l'heure, ayez une pensée pour "vos" soldats qui ne demandent qu'une chose: "Avoir les moyens nécessaires pour accomplir leurs missions"! Et à être payés "rubis sur l'ongle"!
Pour les militaires c'est très simple: Une mission, des moyens!
*Il appartient à présent au Général Lecointre de vous informer de ses besoins: IL VOUS APPARTIENT DE LES SATISFAIRE en tant que Chef des Armées! TOUS! INTEGRALEMENT!
PS: La partie commentaires vous est ouverte pour le cas où vous souhaiteriez en faire, ouverts au public.
Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.
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Point N°6-
*ARCHIVES*
*L'INVISIBLE GEÔLE*.
Mon blog est destiné à faire savoir comment il est possible d'arriver à créer un déficit public en toute connaissance de cause.
Les écrits ont donc commencé à voir le jour au moment de la campagne présidentielle de 2012, lorsque Nicolas Sarkozy a voulu faire croire aux Françaises que la seule façon de bien gérer Notre Pays, La France, était d'inscrire une *règle d'or* dans la constitution. C'était vraiment prendre les électrices qui gèrent leur budget pour faire leurs courses tous les jours et nourrir leurs enfants pour des imbéciles, ce qui n'est aucunement le cas.
La crédibilité de mon récit *L'Invisible Geôle* repose sur la description de ma vie tant militaire que civile dans tous ses hauts et ses bas, étant entendu que Tout, Entièrement Tout, et Plus que Tout est vérifiable.
Vous y apprendrez par exemple qu'il m'a fallu enfreindre les ordres reçus, après le cesser le feu du 19 mars 1962, en Algérie, (étant au 3ème R.P.I.Ma. à Sidi Ferruch) pour libérer un civil qui avait été enlevé à Douaouda le matin même du 12 mai 1962 (en même temps qu'un de nos lieutenants) et se trouvait dans une mechta, bâillonné et sérieusement ligoté avec du fil de fer, civil que j'ai pu retrouver à Paris en l'an 2000, grâce à une Association culturelle de Français d'Afrique du Nord, le Cercle Algérianiste de Paris.
www.alger26mars1962.fr/index.php?option=content&view=category&layout=blog&id=131<emid=340
Seul un fait qui est décrit a été modifié pour ne pas heurter les âmes sensibles, ce que chacun comprendra, en particulier ceux, nombreux, qui l'ont et m'ont connu à l'époque.
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La surprise vous y attend dans le domaine civil où une saine gestion des deniers publics ne semble pas être partout de mise.
Les documents administratifs plus que surprenants qui y sont incorporés sont du format 21/29,7 et c'est la raison pour laquelle le récit en lui même est de ce format. De cette manière, le personnel de l'administration publique s'y retrouvera sans difficulté aucune dans les chiffres comptables qui sont irréfutables.
En outre et pour le plaisir de ceux qui n'en ont pas, les fonds de couvertures représentent des billets en €uros qui totalisent à eux seuls et très largement le prix de vente du récit. Quant à ceux qui en ont et jamais assez, le plaisir de les regarder leur suffira amplement.
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*L'Invisible Geôle* comporte 348 pages, pèse 0,970 Kg et mis en vente uniquement par internet sur le site en ligne: www.lulu.com
Il est très mal écrit, mais je le conserve à titre d'archives personnelles.
Après lecture, chacun comprendra qu'à un moment ou à un autre," trop" sera toujours "trop" et qu'il serait grand temps que la Morale tout court, en politique, arrive à dominer tous les débats pour que nos jeunes, de par l'exemple donné, en tirent les leçons en pensant à l'Avenir, Leur Avenir.
Pour en savoir plus, tous mes articles et lettres ouvertes sont à la lecture sur mon blog Médiapart.
Bonne lecture et bonne rentrée...après avoir passé de bonnes vacances...
Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.
PS: Je suis gaulliste, plus encarté depuis nombre d'années pour conserver mon indépendance d'esprit.
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neo²-Bonjour @EmmanuelMacron, fin de @Europe2022F . Vous voulez donc reconnaitre, enfin, que les subventions sont illégales, cf mon Blog https://blogs.mediapart.fr/alain-saiche/blog/300622/neo-le-neoliberalsme-nexiste-pas-il-est-prisonnier-du-menticide-collectif?at_medium=custom3&at_campaign=67…. @ericcoquere @AN_ComLois @AssembleeNat @Sena. Cc @BFMTV @LCP @LC @CNEWS TV5MONDE @FRANCE2TVCiter le Tweet 
Contre le fléau de la pêche illicite, nous avons franchi une étape importante il y a quelques jours : l'adoption du premier accord contraignant à l'Organisation mondiale du commerce contre les subventions à la pêche illicite et en haute mer.
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