*PRÉSIDENTIELLE 2022-2027*
LEGISLATIVES 2022.
²nsvp².Nous serons sans vous, mais avec la population pour vous pousser vers la porte de Sortie ÉDITER
Et JE DEFIE @Elisabeth_Borne, Premier Ministre, @BrunoLeMaire, Ministre des Finances, @olivierdussopt, Ministre du Travail, ainsi que @fred_ml, Conseiller du Président de La République, initiateur du pacte de "responsabilité" avec Pierre Gattaz, patron du MEDEF, de démontrer le contraire de mes écrits à La France.
Réunion du @gouvernementFR autour de la Première ministre Elisabeth Borne pour faire pire, ensemble, sur les prochaines étapes du Conseil national de la révolution pacifique au #CNR: C'est Terrible de concerter, dialoguer et surtout échanger pour trouver d'autres Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises. Honni soit qui al y pense.
-
Pendant que vous faites du vélo, vous éludez le problème des "Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises, ainsi que la réforme des Retraites, des Retraites complémentaires, de la Sécurité sociale, des Complémentaires santé, du Chômage, de la Vieillesse et de la Dépendance, etc, etc ...
Agnès Pannier-Runacher @AgnesRunacher·
Décarboner nos modes de vies, réduire nos consommations d’énergie, améliorer la qualité de l’air, prendre soin de notre santé… Pour toutes ces raisons nous continuons de soutenir le développement du #vélo comme jamais auparavant. #PlanVélo #sobriété Citer le Tweet
Il y a 4 ans, nous présentions le #PlanVélo, un plan inédit avec une ambition claire: faire du vélo un mode de transport à part entière. Retour sur 4 ans d’action pour faire de la France une grande nation du vélo ↓
-
Le chômage est un droit à la paresse, a déclaré Aurore Bergé
Pourtant le travail correspond à un salaire qui n'est ni à une valeur de droite, ni à une valeur de gauche, Aurore Bergé!
La liberté et l'indépendance d'esprit dont vous deviez faire preuve ne vous donne pas le droit de "Parler avec virulence contre les Chômeurs!
²are²-Cet article a été retiré par @EmmanuelMacron @fred_lm. ÉDITER
-
Public Sénat @publicsenat· 58 min
Emmanuel Macron lance Renaissance et met en garde contre « la division » de son camp
publicsenat.fr Emmanuel Macron lance Renaissance et met en garde contre « la
Renaissance, le nouveau parti présidentiel qui rassemble LREM et les satellites Agir et Territoires de progrès, a été lancé samedi soir, à Paris. Mais Horizons, parti d’Edouard Philippe, et le Modem
LÉNAÏG MONIEREurope Matin week-end - 6h-8 Pendant 2h, Europe 1 fait un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens,...
Suivre l'émission Edouard Philippe fait sa rentrée politique et affirme son soutien sur la réforme des retraites.
- Copié Arthur de Laborde, édité par Ophélie Artaud 07h24, le 17 septembre 2022
Edouard Philippe est à Fontainebleau pour les premières journées parlementaires d'Horizons. L'occasion pour l'ancien premier ministre de s'exprimer sur différents sujets, notamment la réforme des retraites, où il a affirmé son soutien à Elisabeth Borne. La Première ministre qui n'hésitera pas à utiliser le 49.3 pour faire passer le projet de loi de finances.
Après une cure de silence, Edouard Philippe est à Fontainebleau pour les premières journées parlementaires d'Horizons. L'ancien Premier ministre réunit son mouvement pour plancher sur les prochains mois de ses députés à l'Assemblée nationale. L'occasion pour lui de s'affirmer dans la majorité. Une petite nouveauté sur la forme après presque trois mois de diète médiatique. "Je suis en train de faire un discours qui, pour la première fois, est écrit sur une tablette. J'ai voulu donner une espèce de vernis de modernité à cette affaire", sourit Edouard Philippe.
"Madame la Première ministre, nous serons derrière vous"
Mais c'est sur une tonalité beaucoup plus grave qu'il expose pendant plus d'une heure ce qu'il appelle les "vertiges du monde", plaidant pour de la lucidité sur des thèmes souvent marqués à droite : sécurité, justice, finances publiques ou encore réforme des retraites. "Madame la Première ministre, nous serons derrière vous pour améliorer notre système de retraite. Que vous choisissiez de le faire en octobre, en décembre, en mars, quand vous vous voudrez", a-t-il déclaré. Un soutien inconditionnel, alors que certains le disaient opposé à une réforme des retraites express intégrée au budget de la Sécurité sociale dès cet automne.
>> Retrouvez Europe matin week-end en podcast et en replay ici
Dans la foulée, Elisabeth Borne, elle, laisse entendre qu'elle n'hésitera pas à avoir recours au 49.3 pour faire passer le projet de loi de finances. "Notre pays a besoin d'un budget et nous sommes déterminés à le lui donner. Nos institutions sont bien faites. Elles ont prévu cette situation et les moyens de la surmonter." Elisabeth Borne, qui, comme son prédécesseur à Matignon, pourrait donc utiliser l'arme du 49.3. La dernière fois qu'elle avait été brandie, c'était par Edouard Philippe, début 2020, sur la réforme des retraites.
-
e Monde Politique
@lemonde_pol
·
Réforme des retraites : François Bayrou met l’exécutif en garde contre tout « passage en force »
lemonde.fr
Réforme des retraites : François Bayrou met l’exécutif en garde contre tout « passage en force »
Emmanuel Macron envisage de réformer les retraites dès cet automne, via le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Cette hypothèse agite la majorité, avec un groupe Renaissance divisé.
-
ANALYSE SEMIOLOGIQUE SELON LA PRATIQUE DE Mariette Darrigrand
Emmanuel macron en 10 mots. Cairn info
L’analyse sémiologique que je pratique, dans le cadre de mon cabinet d’études « Des faits et des signes », spécialisé dans le discours politico-médiatique, m’a amenée, durant l’année électorale qui vient de s’écouler, à observer de près les mots et la posture de discours de celui qui est devenu notre président de la République [1][1]Notamment France Inter (Chronique hebdomadaire dans l’émission…. Ils composent un cadre de représentation que les Français doivent connaître, qu’ils le partagent ou le combattent.
2Ce qui caractérise en premier lieu le style d’Emmanuel Macron tient à sa façon de réhabiliter la dimension conceptuelle du langage politique. Durant la campagne, il n’eut pas de programme clair ni de mesures phares, mais il utilisa quelques « gros » mots abstraits qui avaient été depuis longtemps rangés au magasin des accessoires.
Progressisme
3Le mot « progressisme », prononcé dès la formation d’En marche, reste aujourd’hui le concept sous lequel se place la majorité présidentielle. Concept fourre-tout peut-on penser, mais concept tout de même qu’il convient de rouvrir.
4Le progrès appartient en effet au vieux XXe siècle où il voisine avec les mots en « -ismes » dont les années politiques et intellectuelles furent si riches (en vrac : communisme, structuralisme, socialisme, libéralisme, féminisme…).
5Quand Emmanuel Macron le reprend pour faire appel à ce qu’il appelle aussi les « hommes de bonne volonté » (selon le titre d’une célèbre série romanesque transmise probablement par sa grand-mère institutrice), il se place sur un plan psychosociologique.
6À la France dépressive qui ne croit plus en son talent, le progressisme parle soudain et à rebours de la victimisation et des ressentiments. Le candidat non prévu au programme rappelle alors le service minimum qu’il entend remplir : celui d’améliorer la vie de la Cité, de la faire progresser au sens étymologique : de la mettre en marche…
7Les phrases sont assertives, le présent de définition règne car le progressisme relève du logos, c’est-à-dire de la « vérité » guidante – le mot donnera « loi ». Il s’agit d’une vision réaliste à l’anglo-saxonne – « bettering the world », disent les Américains quand ils ne votent pas Trump –, s’appuyant sur la réitération du rôle du politique : « Le rôle du politique, c’est de porter une idéologie au sens noble du terme, une vision commune du pays, des valeurs. » [2][2]Le 1, n° 121, 13 septembre 2016. « Toute la difficulté du politique aujourd’hui réside dans ce paradoxe entre la demande permanente de délibération, qui s’inscrit dans un temps long, et l’urgence de la décision. » [3][3]Le 1, Macron par Macron, éditions de l’Aube – Le 1, 2017.
8Même quand la référence devient poétique, par exemple quand René Char est appelé pour « avoir été aimé farouchement [par] ses semblables » lors de la Résistance ; ou quand est cité le Penser Printemps du philosophe Alain, le discours reste solide, dénué de toute évanescence. Le lyrisme peut être là, un certain sentimentalisme aussi, mais jamais l’imaginaire ne disparaît sous le réel de la Cité.
9De la sorte, supposé être fluide entre la gauche et la droite, Emmanuel Macron est en fait le premier politique depuis longtemps à être ancré dans l’idéologique.
10Il s’oppose ainsi à la supposée demande sociétale, dont arguaient, comme des marketeurs, aussi bien François Hollande que Nicolas Sarkozy (« Les Français veulent »), et énonce sa propre vérité à propos du rôle du Prince, en bon lecteur de Nicolas Machiavel (ou de Patrick Boucheron). Cette vérité n’est – ou ne sera – pas forcément gravée dans le marbre, mais l’effet qu’elle produit au moment d’endosser la fonction présidentielle met fin au flou général qui, depuis les années Chirac, rendait impossible tout « projet », autre mot réhabilité.
Renouvellement
11Dans la lignée de ce progressisme vintage, le mot « renouvellement » a pris sa place dans le lexique macronien comme indice d’alternance politique, ringardisant un peu plus le « changement » discrédité par cinq ans de hollandisme et euphémisant le flamboyant (ou aboyant) « dégagisme » mélenchoniste.
12Avec son côté administratif (« renouvellement d’un abonnement », etc.), il se situe très loin du registre publicitaire surprometteur, dont le séguelesque « Changer la vie » fut l’apogée.
13Cela n’empêche pas le « renouvellement » d’être visuel comme une belle affiche. « Il a vos visages », n’hésite pas à dire le Président aux députés et sénateurs réunis à Versailles au début de juillet 2017, se posant symboliquement en démiurge d’un nouveau peuple politique : accès pour la première fois à l’exercice de l’État de citoyens jusque-là maintenus à la porte.
14Le phénomène s’accompagne d’un effet drolatique, quand de juvéniles députés, porteurs de leur inexpérience comme d’un gage de régénérescence, se voient plébiscités par des électeurs âgés clamant : « Place aux jeunes ! »… en grands-parents au fait de la difficulté à entrer dans le monde du travail…
Vous
15Tout autant que ces deux premiers mots structurants, le petit pronom de la deuxième personne mérite sa place dans l’idiolecte présidentiel.
16La formule « Merci à vous », prononcée au début de chaque meeting a été un « truc » de campagne passablement démagogique, mais il faut y voir une dimension plus profonde pour mesurer combien le langage macronien passe par des liens énonciatifs tout autant que par des mots. Lors du discours du 3 juillet devant le Congrès, Emmanuel Macron, qui n’était plus en campagne, a continué à interpeller le public par cette personne vocative, prouvant son intention d’installer durablement son contrat d’interlocution égalitaire. Détail linguistique capable de produire des effets puissants, à commencer par le rétablissement d’une forme de confiance dans la parole politique. « Vous allez écrire l’Histoire », « vous allez réussir »…
17Remarquons que c’est par cette forme d’interpellation que s’amorce le processus de résilience. Dire à un enfant qui fut maltraité profondément, qu’il est un « Tu » pour un autre « Je », c’est lui donner le départ de son retour à la vie. Le mécanisme, inhérent au langage dans ce qu’il a de plus métaphysique, a été longuement commenté par Paul Ricœur dans ses derniers écrits, notamment Parcours de la reconnaissance (Stock, 2004). Le maître le plus connu d’Emmanuel Macron y voyait la clé de l’intégration des laissés-pour-compte, bien plus que dans des crédits alloués aux collectivités territoriales ou aux divers ministères des villes et des banlieues. Énorme crédit symbolique, en effet, qui passe par l’équivalence des valeurs humaines (« Vous » égale « Moi ») et la croyance en la possibilité d’agir, la « capabilité » de toute personne.
18C’est cet homme capable qui a été implicitement ranimé par Emmanuel Macron, permettant aux citoyens de se projeter dans une énergie optimiste, comme l’avait fait en son temps Nicolas Sarkozy de manière trop premier degré (en courant ou faisant du vélo). En atteignant la dimension humaine universelle, le plus jeune candidat de la Cinquième République a été plus loin. Il a symboliquement montré qu’il refusait l’impuissance dont le citoyen accusait le politique, et qui avait fini par l’atteindre lui-même.
Héritage
19Si la reconnaissance est un concept ricœurien repris par Emmanuel Macron pour s’autoconstruire en homme respectueux de l’altérité, la deuxième grande idée empruntée au philosophe de La mémoire, l’histoire, l’oubli (Seuil, 2000), est celle de l’utopie comme refertilisation de l’héritage.
20Pour Paul Ricœur, le danger totalitaire vient toujours d’une dégradation du logos (la métaphore vive) en idéologie (le dogme) par le fait d’un désir de rupture trop brutale avec l’Histoire. Loin d’être une table rase, le passé doit être selon lui une source. Du coup, la tension utopiste se trouve dans les « rêves de futur qu’ont eus les hommes du passé »… Paradoxale et puissante, la formule est reprise quasiment mot pour mot dans l’ouvrage de campagne Révolution (XO éditions, 2016) : « C’est le temps qui fait géographie. C’est un héritage antérieur à la mémoire consciente, et le goût d’un avenir qui resterait fidèle aux espoirs du passé. C’est cela, la France. »
21De même, et en s’allouant les visions cette fois de Fernand Braudel (1902-1985) qui insistait sur les strates de construction de la France dans l’Europe, Emmanuel Macron s’inscrit régulièrement dans le passé qui, comme il le dit, « l’a fait ». Héritier culturel, par son éducation qu’il a en quelque sorte poursuivie par son mariage avec sa professeure de lettres et de théâtre, il a tous les atouts pour se placer dans ce que les républicains romains nommaient la « lignée des hommes illustres » pour écrire à son tour l’histoire de son pays.
22Il faut, sous cet angle, remarquer un code très personnel : l’usage du futur antérieur comme manière de se projeter dans l’avenir tout en regardant vers le passé. « Dans cinq ans, nous verrons si nous avons écrit l’Histoire », affirme-t-il, disqualifiant au passage le « roman national », écrit artificiellement par des communicants ou partialement par des idéologues…
23Ambition immense donc, fondée sur une foi en soi-même proche de celle que Madonna en son temps qualifiait d’« hypnotique »… et décrivait comme le moteur de sa réussite personnelle hors norme. À sa façon, Emmanuel Macron la possède. L’héritier est aussi un grand ambitieux pour lui-même et pour le pays.
Transformation
24La dimension historique du quinquennat qui s’ouvre est emblématisée par Emmanuel Macron dans la notion de « transformation », mot important surtout pour son préfixe, ce « trans » bien de notre époque : transhumanisme, transgenrisme, transpartisme… Et autres transitions : énergétique, démocratique, démographique, numérique…
25Indice de traversée, le « trans » marque aujourd’hui un mouvement le plus souvent effrayant. Positiver la notion, c’est donc de la part de Macron tenter de rassurer le public français, face à des mécanismes dont il est le grand perdant (délocalisation, immigration, radicalisation…).
26C’est aussi marquer une hésitation entre la « transformation » et la « révolution », qui a tout de même constitué (peut-être sous la pression de l’éditeur) le titre du livre programme de la campagne.
27Quoi qu’il en soit, la « transformation » était là depuis longtemps dans la vision d’Emmanuel Macron puisque placée au centre de la définition de l’action politique énoncée quand il était encore simple haut fonctionnaire : « une multitude de petites actions, microcoordinations entre acteurs divers qui, mises bout à bout, transforment en effet l’ensemble du système » [4][4]Esprit, 2011..
28Roland Barthes (1915-1980) faisait remarquer qu’un mode de changement fondé ainsi sur la transformation quotidienne, invisible, s’opposait à l’éruptif mouvement révolutionnaire et correspondait au mythe du vaisseau des Argonautes : bateau-cité changé pièce par pièce, sans aucun bouleversement spectaculaire mais qui, à la fin (cinq ans ?), s’était renouvelé de fond en comble, de la cale au mat…
29Chez le Président du XXIe siècle, cette vision progressiste au sens concret se place en écho avec un terme complémentaire : le verbe « corriger ». La transformation passe par la correction des excès, une mission que le Président fraîchement élu a anoblie dans son discours d’investiture en la rendant aussi importante que son action diplomatique : « Mon action consistera à faire rayonner la liberté à la française dans le monde ; et à corriger les excès dans le pays… »
30Ainsi définie, la « transformation » achève d’envoyer la réforme aux oubliettes de l’Histoire, dont l’origine puissante et renaissante ne s’entend plus depuis longtemps sous le truisme négatif (est réformé tout ce qui est amputé, annulé, envoyé au rebut). Du point de vue de la communication politique, le choix de la « transformation » contre celui de la « réforme » est significatif et signifié.
31À la tribune du Congrès, le Président apostrophe son Premier ministre pour lui annoncer que, non décidément, la France, qui « résiste et se cabre, ne sait pas se réformer ». L’avenir dira si elle sait se transformer : littéralement, passer d’une forme à une autre…
Liberté
32Mot culte de la culture française, surtout dans la locution « liberté d’expression » – comme l’a bien montré la mobilisation de l’après-Charlie –, le mot « liberté » est celui de la devise nationale que reprend le plus Emmanuel Macron. Qu’il le fasse devant une classe d’enfants [5][5]« Présidentielle : candidats au tableau ! », diffusé sur C8.fr,… ou devant la double assemblée des représentants du peuple, il en fait son principe premier.
33C’est précisément par lui que toute sa posture de langage se source dans l’héritage culturel. Les Lumières sont rappelées, Emmanuel Macron ayant d’elles une lecture classique, à travers l’assomption du sujet « émancipé ». « Notre devoir est d’émanciper nos concitoyens », rappelle-t-il aux élus du peuple, leur faisant au passage une petite leçon d’instruction civique, au risque qu’elle soit livresque, théorique, et même, à certains égards, décalée, puisque ce sont plutôt des phénomènes inverses qui s’expriment dans la société – notamment par le retour du dogme religieux. Aux habitants de la société permissive cherchant désormais la loi, le cadre, les limites, le nouveau Président français rappelle l’idéal de l’honnête homme, vieux de plus de trois siècles, et appartenant à une société antédémocratique.
34C’est que la « liberté » macronienne a quelque chose du monument, cachant la bonne vieille réalité contemporaine. Elle est aussi – surtout – là pour lui éviter de trop prononcer le mot qui fâche : « libéralisme »…
35Ce dernier concept n’est d’ailleurs pas stable, restant très composite. Une base de John Rawls (1921-2002) pour nouer liberté et justice, une once de Joseph Schumpeter (1883-1950) pour la liberté de générer des richesses, un zeste de Max Weber (1864-1920) pour l’éthique du capitalisme. Comme si un Macron protestant pointait sous un Macron jésuite. Comme si, nourri de complexité et initié à l’exigence du discernement en sa jeunesse, Emmanuel Macron laissait par moments s’exprimer un homme d’action, plus anglo-saxon, décomplexé face à l’argent, pragmatique devant la production économique et la mondialisation telles qu’elles sont.
36Cela permet au personnage culturellement hybride d’énoncer un double impératif, créé dans les pays du nord de l’Europe et diffusé depuis longtemps sous nos cieux par des personnalités comme Michel Rocard ou Daniel Cohn-Bendit, « libéral libertaire » assumé : libérer et protéger à la fois… Ou, pour le dire avec plus d’emphase macronienne, « favoriser l’initiative individuelle » tout en « construisant la concorde » (Révolution, XO éditions, 2017).
37Aux enfants des écoles, cela fut carrément expliqué comme la réunion enfin réussie de la Liberté (de droite) et de l’Égalité (de gauche). « Moi, je veux faire pour la première fois les deux en même temps » : jeu d’enfant en apparence, fort difficile à réaliser dans le réel des actes, comme toute l’histoire de la deuxième gauche le montre…
38Récemment Yuval Noah Harari, l’auteur israélien du best-seller Sapiens – tour de l’Humanité en trois cents pages – notait, pour notre pays, précisément cette contradiction interne : Liberté et Égalité s’annulant réciproquement pour faire de la France le pays d’une originale inhibition. Il sera intéressant de voir si les Sapiens français finiront entre 2017 et 2022 par se libérer un peu d’elle…
En même temps
39Le quinquennat d’Emmanuel Macron trouverait en cela sa portée historique. La preuve irréfutable serait donnée que la fameuse formule « en même temps », n’était pas qu’un truc de campagne.
40Élevée au rang d’indice mnémonique, comme le « Yes we can » de Barack Obama, la formule mérite de figurer dans le lexique macronien en dépit du fait qu’elle est probablement en voie de disparition en ce début d’exercice (elle ne figure plus qu’une fois dans le discours devant le Congrès).
41Fût-il désormais tacite, le « en même temps » reste un indicateur puissant du positionnement d’Emmanuel Macron, tout particulièrement par contraste avec François Hollande. Chez celui-ci, il avait fini par constituer un tic de langage, vecteur de sa légendaire inaptitude à l’action. Il annulait en effet toute perspective temporelle, à l’image du slogan : « Le changement, c’est maintenant », le changement étant toujours un « après ». Emmanuel Macron, optant pour une entrée en fanfare dans l’histoire de France, gomme, dès la fondation de son mouvement, tout problème de temporalité. La formule se lexicalise. Son « en même temps » sort du temps et se met à signifier tout simplement : d’une part, d’autre part.
42Elle rapproche ainsi la posture d’Emmanuel Macron de celle du « curateur » d’exposition, ce commissaire d’art contemporain qui sélectionne le meilleur de telle ou telle période ou de tel artiste. Le but n’est plus l’exhaustivité, mais le bon choix. Pour Macron curator, le critère est celui de l’efficacité.
43Notons au passage que cette logique du problème-solution s’énonce tout particulièrement à propos de la grande machine de l’État dont, en bon mécanicien efficace, Macron veut réparer les dysfonctionnements.
Réconciliation
44En faisant référence de manière anticipée à la notion de crime contre l’humanité à propos de la colonisation de l’Algérie, Emmanuel Macron – révélant une difficulté certaine à reconnaître ses erreurs – a commencé d’utiliser une notion, qui reviendra, gageons-le : celle de « réconciliation » des mémoires, là encore empruntée à Paul Ricœur qui la liait au sens politique du pardon.
45Pour le moment, le terme est employé de manière générique, comme pétition de principe, devant une société française, « qui se fragmente sous nos yeux » [6][6]Chapitre « Réconcilier la France », Révolution, XO éditions,…. « Réconciliation » vient radicaliser le fade « rassemblement » hollandais, simple gestion de la diversité des courants ou des sensibilités. Avec « réconciliation », Macron rend compte d’une vision beaucoup plus « agonistique », liée à la notion de guerres (celle, historique, d’Algérie ; celle, actuelle, contre le terrorisme ; celle aussi, symbolique, qui s’exerce à l’intérieur de la société française, en particulier sous l’angle social).
46En revanche, Macron reste évasif sur le lourd sujet du vivre-ensemble peu développé, ne conduisant pas à un vocabulaire personnel, dans lequel des références précises seraient repérables. Rien n’a été dit de spécifique sur la question épineuse de l’identité française, ni de l’émergence d’une éventuelle multiculturalité, notamment religieuse.
47Difficile de dire si le thème est évité par prudence ou parce que la pensée macronienne n’est pas solidement élaborée, comme peut le laisser supposer l’affirmation maladroite : « Il n’y a pas de culture française », qui amalgamait la culture comme savoir et la culture comme habitus. Ou le fait que le mot « laïcité » soit replacé dans son intentionnalité d’origine autour de la liberté des croyances, mais reste surtout en attente de l’adjectif qui viendra la rendre plus spécifique : laïcité « hybride », « souple », « ouverte » ?
Chance
48Gardons pour finir les deux mots qui portent la dimension la plus aspirationnelle d’Emmanuel Macron : celle qui déclenche enthousiasme et optimisme, deux effets qui n’avaient pas marqué la vie politique depuis 2007.
49Le premier est celui de « chance », arrivé pour illustrer la posture positive – américanisée ont souligné certains – de celui qui est encore un ministre en rupture de ban. Quitter le gouvernement en août 2016 fut mis en scène comme la saisie d’une opportunité, du bon moment, d’un kaïros.
50Au fil de la campagne et de ses péripéties, les observateurs parlèrent « d’alignement des planètes favorable » au candidat « chanceux », considérant avec les coaches d’entreprise que la « chance » fait partie de tout parcours de réussite – de toute quête de héros, Petit Prince protégé par sa bonne étoile et capable de l’utiliser.
51C’est d’ailleurs avec cette dynamique transférentielle que le candidat Macron, lui-même coach de la France déprimée, a séduit le public. Il a renoué avec le Nicolas Sarkozy qui s’opposait à l’immobilisme français… Même utilisation de la performativité linguistique et de la métaphore somatique : celle qui passe par le corps plus encore que par les mots. Attitude dynamique de la jeunesse, sourire à la limite du smiley, yeux bleus (couleur de l’idéal), voix non posée, parfois risible, parfois surjouée, mais somme toute jugée vivante (si l’on en croit certaines audiences télévisuelles)…
52Notons que, dans les paroles, le slam fut différent. Autant Sarkozy avait fait rimer de manière élégiaque « France » avec « souffrance » (de ceux qui se lèvent tôt, par exemple), et attente de l’« espérance », autant Macron emploie un chant alerte. Avec lui, « France » se met en assonance avec « chance »… Avec « bienveillance » aussi, mot usuel de la génération start-up. Avec « résistance » parfois, quand il faut rappeler le Général. Contre « impuissance » toujours, doxa jugée handicapante.
Amour
53Enfin, le mot le plus incongru du texte macronien, surtout quand il est cité en plein meeting (comme à Albi à travers l’exemple de Denis Diderot déclarant à Sophie Volland : « Madame, je n’ai plus de bougie, et si mes mots débordent de la feuille, sachez qu’ils disent : Je vous aime. »), ce mot en est aussi le plus personnellement significatif.
54Quand il commence son cursus honorum, Emmanuel Macron est, en effet, comme chaque Français, entouré d’émotions négatives, largement médiatisées : colère, ressentiment, peurs, pessimisme… La France va mal, des enquêtes et des livres le prouvent à l’envi et avec succès.
55Tempérament, histoire personnelle ou stratégie du « game changing » prôné par les entrepreneurs innovants qui savent que prendre un marché à rebours est souvent gagnant… peu importe. Il est clair que Macron a spectaculairement émergé parce qu’il a choisi l’angle diamétralement opposé. C’est contre thanatos ou Dionysos, dépressions ou désordres, qu’il a imposé une forme d’eros.
56Parfois transformé en amour chrétien doucereux (« Ne les sifflez pas », catéchisme répété à propos des adversaires politiques), l’amour macronien a renoué avec l’eros qui, chez les Anciens, constituait la force vitale à l’origine de toute cité, de toute civilisation.
57Le fils de Vénus, dans ce cas, n’a plus rien du facétieux archer dédié au boudoir ou à la presse people. Il est cet élan de vie que Freud opposait à la haine, à la pulsion de mort, à la dépression…
58Après de nombreuses invocations sur les scènes des meetings, Macron, montant à la tribune du Congrès le 3 juillet, a également invoqué ce sentiment à la fois patriotique et anthropologique. Dans une emphase à l’antique, tel César appelant Vénus genitrix, il s’est placé, et nous a placés avec lui, sous la force civilisationnelle de l’amour de la patrie et de la vie.
59Nous verrons assez vite si un amour de ce type, déclaré avec flamme dans l’ordre du symbolique, pourra devenir, dans celui du réel, une agapè fertile et durable…
60Si cela n’était pas le cas, les mots, portés aujourd’hui par un ton de voix visiblement heureux, un allant dynamique et optimiste, entourés comme ces bons élèves à qui tout réussit de tout un halo de références, pourraient se trouver asséchés et encombrants.
61Souhaitons que cela n’arrive pas, que la théorie réussisse à se transformer en pratique, pour le plaisir historique de voir comment le premier Président structuré par l’écrit, depuis Georges Pompidou, aidera notre pays à tenir son rang de haute culture et à déployer sa puissance intellectuelle.
-
²dcc²-Des défauts d'approvisionnement en carburant, des coupures d'électricité et de gaz cet hiver sont à craindre cet hiver, @EmmanuelMacron? ÉDITER
Des « coupures » possibles cet hiver, mais « maîtrisables ». Le gestionnaire du réseau électrique en France a tenu une conférence de presse ce mercredi. RTE appelle les particuliers et entreprises à suivre les alertes de l’outil Ecowatt, et à augmenter les petits gestes, notamment aux heures de pointe, pour diminuer la consommation d’électricité, et la tension sur le réseau.
-
QU’EST CE QUE LE COWORKING ?
Vous avez certainement entendu parler du coworking ? Ce nouveau concept connaît un développement endémique… Mais de quoi s’agit-il exactement ? Voici notre définition du coworking.
Comme son nom l’indique, faire du « co-working » signifie avant tout « travailler ensemble », dans une nouvelle vision du travail qui allie autonomie et collaboration.
Le coworking, c’est un nouveau mode de travail avec des règles simples et qui se pratique dans des espaces dédiés. Les espaces de coworking peuvent prendre des formes très variées, allant du café aménagé aux bureaux en location.
Dans un espace collaboratif, des consultants, startupers, travailleurs indépendants ou nomades, vont se retrouver pour développer leurs projets en toute autonomie, mais aussi bien souvent créer de nouveaux partenariats avec les autres coworkers. Potentiellement, nous sommes tous le client de quelqu’un et quand les compétences matchent, ça peut faire des étincelles…
QU’EST CE QUE LE COWORKING ?
Vous avez certainement entendu parler du coworking ? Ce nouveau concept connaît un développement endémique… Mais de quoi s’agit-il exactement ? Voici notre définition du coworking.
Comme son nom l’indique, faire du « co-working » signifie avant tout « travailler ensemble », dans une nouvelle vision du travail qui allie autonomie et collaboration.
Le coworking, c’est un nouveau mode de travail avec des règles simples et qui se pratique dans des espaces dédiés. Les espaces de coworking peuvent prendre des formes très variées, allant du café aménagé aux bureaux en location.
Dans un espace collaboratif, des consultants, startupers, travailleurs indépendants ou nomades, vont se retrouver pour développer leurs projets en toute autonomie, mais aussi bien souvent créer de nouveaux partenariats avec les autres coworkers. Potentiellement, nous sommes tous le client de quelqu’un et quand les compétences matchent, ça peut faire des étincelles…
REUNION DU CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION
-
²ina²-Bonjour @Elisabeth_Borne @olivierveran @EmmanuelMacron @fred_ml
.Le Conseil national de la refondation SERA LE CONSEIL NATIONAL DE LA REVOLUTION pacifique, cf mon Blog https://blogs.mediapart.fr/alain-saiche/blog/080922/ina-aucun-consensus-sur-le-conseil-de-la-refondation-emacron2-fredml-ne-sera?at_medium=custom3&at_campaign=67….
Cc @MathildePanot @MLP_officiel @lesRepublicains @Fabien_Roussel @PSofficiel @AFP
Citer le Tweet
Réunion du @gouvernementFR autour de la Première ministre @Elisabeth_Borne pour travailler ensemble sur les prochaines étapes du Conseil national de la refondation. #CNR Concerter, dialoguer, échanger pour trouver des consensus. Au service des Français.
Réunion pour travailler ensemble sur les prochaines étapes du Conseil national de la refondation. #CNR Concerter, dialoguer, échanger pour trouver des consensus.
Gouvernement et Élisabeth BORNE
4:58 PM · 15 sept. 2022 depuis Hôtel de Matignon·Twitter for iPhone
-
Mes explications, en pure logique mathématique, sont toujours valables en l'absence de critiques qui tendraient à démontrer le contraire.
*Il est donc INDISPENSABLE, pour que je reconnaisse crédible le rapport de la Cour des comptes, que Didier Migaud, président de la Cour des comptes, me donne, ainsi qu'aux 47 millions d'électeurs et aux 67 millions de Français, des explications détaillées sur les manipulations de chiffres qui l'amènent à ses conclusions.
A titre explicatif et pour éclairer Tous les dirigeants politiques, les 47 millions d'électeurs et les 67 millions de Français, vous trouverez ci après ce que j'ai écrit depuis le 9 juin 2013, dans les grandes lignes de la dernière diffusion de mon article qui a été faite le 27.10.2016, comme le précise la date ci dessous, étant entendu que le nom de François Hollande mentionné dans l'article était Président de la République de mai 2012 au 13 juin 2017.
Il a été suivi d'autres articles adressés à Monsieur Emmanuel Macron, actuel Président de la République, lesquels articles reprenaient les mêmes explications.
*Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, ne m'a lui même jamais critiqué et s'est seulement contenté de ME BLOQUER en réception sur Twitter, très certainement le 17 juin 2017, date à laquelle je m'en suis aperçu, soit 3 jours après son investiture du 14 juin 2017.
Cette façon de procéder s'il le fallait, démontrerait sa faiblesse et son immaturité en matière du "Moi, je ..." et de communication: Avec lui, c'est: "Ecoutez moi et FERMEZ LA"!
*Cela étant et pour la bonne forme, je précise à nouveau que Emmanuel Macron a été élu par une minorité d'électeurs, de l'ordre de 45,56%, compte tenu de la participation des électeurs fixée à 74,56% et qu'il a obtenu 66,10% des voix, soit (74,56 x 66,10 : 100) = 45,56% des inscrits!
Sa majorité législative présidentielle LREM + MoDem, quant à elle, est tout aussi relative avec seulement 55,40% de participants et 32% des voix, soit avec une moyenne de (55,40 x 32,00 : 100) = 17,88% des voix.
Il y a bien lieu de se se poser la question de savoir pourquoi le Peuple de France, appelé aux urnes, a rejeté massivement Emmanuel Macron, laquelle réponse est la suivante: "Par dégoût du système mis en place par des politiciens véreux pour s'accaparer le Pouvoir et en éliminer les candidats potentiellement honnêtes et désintéressés qui pensent "Intérêt général et France d'abord "plus que EGO ET FRIC d'abord!
En cela, les résultats obtenus par Emmanuel Macron et le parti "La République en marche" ne lui permettent vraiment pas avoir de quoi pavoiser et tomber en pâmoison.
I----------I
Point N°1
Mes archives depuis le 09.06.2013.
AFIN QUE NUL N'IGNORE ET N'OUBLIE
Le travail c'est la santé et le moyen de subsister!
*Si le chômage ne baisse pas, je ne me présenterai pas à l'élection présidentielle de 2017, a déclaré à maintes reprises François Hollande, Président de La République française, de 2012 à ce jour pour jusqu'au mois de mai 2017! Force est de constater qu'il n'a pas encore réussi.
Pour y parvenir et pouvoir se re-présenter (sans doute pour le Respect de la parole...), François Hollande, au cours de ses voeux aux Français pour l'année 2016, le 31 décembre 2015, annonce qu'il va subventionner des PME pour l'embauche de 500 000 apprentis, à hauteur de 2 000 €/an pendant 2 ans, lesquels ne devraient pas rester sans emploi! Cela, bien entendu, après les 50 milliards de cadeau aux entreprises, sans aucune contrepartie, avec l'augmentation des impôts! (Marge de manoeuvre Macron, célèbre économiste, ancien Conseil de l'Elysée, qui ne sait même pas ce qu'est un PRIX DE REVIENT et ce que les entreprises y "mettent dedans" pour le calculer!).
Aussi François Hollande serait il en meilleure position de "lutter contre ce chômage" s'il tenait compte de mes écrits. Je les lui retransmets donc, à titre de rappel: Les voici:
Le 14.12.2015, le Gouvernement de Manuel Valls, Premier Ministre écrit sur le réseau Twitter: "Urgence pour lutter contre le chômage"! Oui, c'est bien ce qu'il écrit. C'est terrible d'inconscience! Aussi,.. Je dédie cet article à Monsieur François Hollande, Président de La République, qui a été Professeur d'Economie à Sciences PO de 1988 à 1991(Ref: Le JDD, Twitter 11.09.2015, @aprimegroup, retwitté par PPDA).
Le chômage n'a pas cessé d'augmenter ce dernier trimestre 2015, même si les chiffres ne sont pas communiqués, mais, bon...
Plus 0,6% d'augmentation du chômage pour le mois d'août 2015 alors que nombre de prières ont été dites sur la croissance qui frémissait et sur la courbe qui se courbait ne peut surprendre que les politiques et les économistes qui ne veulent RIEN comprendre.
C'est la raison d'être de mon article qui se veut éducatif et pédagogique à leur égard et pour TOUS les cancres politiques trop nombreux pour être cités hors Manuel Valls, Premier Ministre, Emmanuel Macron, Ministre de l'économie. et François Rebsamen, Ministre du travail. Madame Myriam El Khoumri actuelle Ministre du travail, n'est pas encore en cause, quoi que, si elle suit le même chemin, à mêmes causes, mêmes effets.
*UN PEU D'HISTOIRE:
Pour bien comprendre les dessous du chômage, QUI NE CHÔME PAS, il faut lire mon article JUSQU'A LA FIN car le début de mes écritures remonte à juin 2013, c'est à dire il y a plus de deux ans. Quelques redondances apparaitront donc aux puristes qui ne manqueront pas de critiquer, mais je préfère les laisser faire le travail "à la Coué".
Toutes les politiques et TOUS les hommes et femmes politiques ont échoué sur le sujet. Chaque candidat à la Présidentielle de 2017 peut donc passer une demi heure de son temps à me lire pour en tirer la substantifique moelle. POUR LA FRANCE!
*D'emblée, je commencerai à préciser, en ce qui concerne l'apprentissage, que les entreprises ne peuvent former et ne forment des apprentis QUE pour assurer les relèves en remplacement des départs ou pour qualification sur de nouveux produits. Sauf carnets de commandes supérieures à la capacité de production qui n'existent pas, hors celui du marché de l'armement et de l'aéronautique, ce qui est le cas actuellement, il n'y aura pas de création d'emplois en plus de l'existant!
Vous êtes d'accord? Oui? Bon!
*Il faut dire la vérité aux Français, Monsieur le Président, et vous Tous aussi, hommes et femmes qui allez prétendre à la succession en 2017!
*C'est par le calcul des PRIX DE REVIENT et des prix de vente que se déterminent, de manière irréfutable, le "qui paye quoi" en matière de cotisations sociales, y compris les "charges" de formation des Apprentis ou de personnel. Vous êtes d'accord(s)? Oui?
Les entreprises, en effet et c'est normal, incorporent à juste raison TOUTES leurs charges dans le CALCUL DES PRIX DE REVIENT. Ainsi, les cotisations CHÔMAGE des entreprises (comme TOUTES les autres cotisations sociales: Sécu", retraites, etc..) sont elles incluses dans les prix de revient des produits et services, lesquels prix de revient, affectés d'un coefficient multiplicateur, déterminent les prix de vente de ces mêmes produits et services.
Il en résulte que ces cotisations sociales sont "récupérées" par les entreprises après vente de leurs produits et services, lesquelles cotisations ont déjà été versées ou seront ensuite reversées aux organismes URSSAF et autres chargés de la collecte. Cette opération "cotisations sociales" est donc une "opération blanche" qui n'aura coûté, in fine, aucun centime d'€uro aux entreprises.
Il en découle donc, à ce stade du financement du CHÔMAGE, que les entreprises n'ont RIEN sorti de leurs coffres pour y participer, et TOUT a été payé par les salariés par retenues sur salaires et par les consommateurs, acheteurs des produits et services vendus.
Je précise tout de même, pour la bonne forme, que je ne critique pas les bénéfices des entreprises, mais le système en soi, à savoir l'escroquerie intellectuelle et financière qui consiste pour les organisations patronales, les politiques, les économistes, les journalistes et les commentateurs, à crier haut et fort à la population: -"Les entreprises croulent sous les charges sociales"! Il faut à tout prix les baisser!... Sans préciser que toute baisse des cotisations doit être compensée par d'autres recettes, généralement l'impôt sur les revenus, comme par exemple la dernière fois avec le pacte de "responsabilité": 50 milliards de "marge de manoeuvre" en cadeau aux entreprises sans aucune contrepartie!
Les commentaires, à ce sujet, ne manquent pas et vont bon train: En voici quelques uns, pris "au hasard":
*Le chômage a légèrement augmenté en juin 2015 et devrait baisser en juillet! Trompe l'oeil habituel annuel "des variations saisonnières" disent ou diront les spécialistes médiatiques en prévisions passées. Cela ne fait pas sérieux face à la situation réelle! Voyons donc ce qu'il en est plus précisément pour Notre Pays:
*Plus 0,6% de croissance annoncée depuis début mai et 1,5% pour la fin de l'année 2015 permettent à tous les politiques et les économistes de se gargariser, tout en précisant que "la reprise" s'annonce et que le chômage ne recule pas!... Pourquoi cette embellie fuyante à l'extrême? Avec 26 000 chômeurs de plus fin avril 2015!
Et ce n'est pas la "création" de 100 000 emplois aidés qui fera baisser le chômage: IL le fera, tout au plus, "ralentir", et encore.. Ce sont les carnets de commandes qui créent des emplois! Pas de commandes, pas d'emplois!
*Alors, Mr Thibault Lanxade, vice président du MEDEF, le 02 JUIN 2015, pour fuir ses responsabilités face à la vérité, se contente de déclarer sur BFMTV @JJBourdin_RMC #BourdinDirect: "J'ai peur d'embaucher"! Le pauvre! Alors qu'il n'y a pas de carnets de commandes! Il est vrai que le ridicule ne tue pas et il le sait!... Les Français aussi...
La réponse se trouve dans le postulat que ce sont et ce seront TOUJOURS les carnets de commandes supérieures aux capacités de productions actuelles ou la création de produits NOUVEAUX qui créeront des emplois, non les élucubrations intellectuelles des hommes et femmes politiques et des économistes qui parlent de croissance et de confiance, sous entendues financières, qui bénéficient des impôts "à fonds perdus" mais pas pour Toulemonde.
Et lorsque le Premier Ministre Manuel Valls et autres politiques sans cervelle fantasment et charlatanent sur la confiance pour la relance de l'économie, il suffit de regarder 40 ans en arrière pour comprendre enfin que les hommes politiques, à part leur ego, le cul et le fric (faut pas le répéter), ne savent pas cultiver grand chose. Et surtout pas la confiance qu'ils sollicitent à grands renforts de cris!
Voyons quelques exemples:
*Ce jour 28.04.2015, BFM Business annonce la création de 115 000 à 122 000 emplois entre 2016 et 2022, sans préciser dans quels secteurs d'activités et si ce seront 115 000 à 122 000 emplois EN PLUS DE CEUX EXISTANTS! D'autant, il m'en souvient, que Pierre Gattaz, patron du MEDEF, avait déclaré, au cours d'une conférence de presse aux USA, en 2014, en réponse à François Hollande Président de La République au sujet des contreparties en échange d'un cadeau de 50 milliards comme "marges de manoeuvre pour les entreprises: "PAS DE CONTREPARTIES"! Le Niet habituel du MEDEF, en somme, qui ne surprend que les "naïfs", terme le plus serein employé parmi d'autre plus nombreux.
*Je retrouve bien là un de ces effets d'annonce mensonger, car ce ne seront que des emplois de remplacement d'une manière ou d'une autre destinés à remplacer soit des produits obsolètes par des produits nouveaux, soit des départs à la retraite ou autres!
*Le 06.03.2015, le gouvernement de Manuel Valls fait passer, sur Twitter, l'annonce suivante: "Le pacte: 35 000 contrats de jeunes en alternance d'ici 2017 dans l'automobile".
Cela étant, il ne précise pas que ces emplois "de jeunes, dans l'automobile", déboucheront sur des emplois EN PLUS DE CEUX EXISTANTS à cette même date du 06.03.2015, et pour cause: Ils remplaceront les départs à la retraite ou autres, car aucun carnet de commandes supérieures aux capacités de production n'est encore connu "dans l'automobile" pour 2017! Par contre, l'augmentation des impôts n'aura servi à RIEN, si ce n'est à avoir augmenter les marges de manoeuvre des entreprises, comme le pérorent aussi bien Manuel Valls, Michel Sapin et Emmanuel Macron.
*Le 25 février 2015, c'est à grands renforts de gestes qu'il a été annoncé par Manuel Valls, PM, que le nombre de demandeurs d'emplois avait baissé d'un peu plus de 19 100 et que le taux de chômage, par voie de conséquence, avait baissé d'autant! Cela n'est pas tout à fait vrai, pour ne pas dire que c'est complètement faux. Explications:
Les demandeurs d'emplois ne sont pas TOUS des chômeurs, fort heureusement! En outre, pour que le chômage baisse, il aurait fallu avoir les chiffres du nombre de chômeurs qui ont été embauchés EN PLUS DES REMPLACEMENTS pour départs en retraite ou autres.
Cela n'a pas été le cas, car, si cela avait été, cela se saurait, car là se serait trouvée la véritable baisse du chômage: Soit PLUS d'embauches que de départs, soit des embauches sans départs, grâce aux carnets de commandes "prévues" par les entreprises avec le pacte de "responsabilité", soit, encore, le mélange des deux!
Il aurait donc fallu, pour justifier cette annonce qui se voulait "fracassante", donner le nombre de chômeurs à la date de fin décembre 2014 et le comparer à celui de fin janvier 2015. Cela n'a pas été fait!
En conséquence, le nombre de chômeurs n'a pas baissé en janvier 2015, ni en février, sauf à en donner les chiffres correspondants sans tromperie aucune, car, des chiffres connus, le chômage n'a pas cessé d'augmenter!...
Restons donc prudemment en l'attente, même s'il est fait "appel à la confiance" par Manuel Valls, laquelle confiance se mérite en disant les choses telles qu'elles sont, c'est à dire SANS TRAVESTIR LA VERITE!
En l'occurence, je n'accorderai pas ma confiance sur cette contre vérité de charlatan politique et de bonimenteur.
Continuons de nous instruire:
*Le 12 février 2015, c'est @renault_fr et @Emmanuel Macron qui annoncent créer 1 000 emplois et l'embauche de 1 000 apprentis en 2015! Propos qui ont été "démentis" par la suite lorsque j'ai demandé à @renault_fr par le réseau Twitter de préciser que ces emplois seraient compris AU DESSUS DE L'EFFECTIF actuel de @renault_fr.
En effet, cet effectif annoncé en "embauches" est tout simplement destiné à compenser en partie les départs à la retraite ou autres! Et voilà comment, derrière des annonces en trompe l'oeil, Emmanuel Macron et le Gouvernement vont tenter de nous faire croire que le pacte de "responsabilité" porte ses fruits! Continuons donc de nous instruire par la lecture, car, dans les faits, les effectifs de @renault_fr devraient continuer de baisser quelque peu!
Postulat: Ce n'est pas la lutte contre le chômage dont il faut parler car cela n'a mené à RIEN et continuerait de mener A RIEN! C'est LA GUERRE POUR LA CREATION D'EMPLOIS PRODUCTIFS NOUVEAUX QU'IL FAUT MENER, car toutes les grandes industries ont été délocalisées pour raisons financières...
Aussi est il bon de rappeler aux politiques, abusés par des économistes qui ne savent même pas calculer un prix de revient, par les financiers et par le MEDEF qui crient "aux charges " comme d'autres crieraient "au loup" que le taux de chômage n'est pas près de baisser.
*Voici pourquoi, dans les grandes lignes qui ne demandent qu'à être critiquées et développées:
1)- Avant, un simple salaire pouvait suffire à faire vivre une famille, chichement, certes, mais vivre avec la mère au foyer qui s'occupait des enfants avec Tous les avantages que cela comportait, en particulier éducation dans le respect des règles, relayée, après le travail, par le mari.
2)- Aujourd'hui, le salaire minimum des salariés à temps plein et des temps partiels dominant au plus bas n'y suffisent plus. La femme travaille donc pour y subvenir, avec le mari, pour ce faire. Elle n'a donc plus le temps dont elle disposait avant, d'autant que les horaires de travail ne sont pas forcément compatibles avec les horaires scolaires.
3)- Les départs à la retraite, plus tardifs, ont fait reculer et font encore reculer d'autant les embauches de relèves pour départs à la retraite.
4)- La population active augmente, (non compris la population immigrée légale ou illégale) et le nombre de postes à pourvoir stagne ou diminue. Le nombre de chômeurs augmente donc de façon exponentielle et la baisse du taux de chômage ne peut être qu'une vue de l'esprit politique.
5)- Le nombre de divorces ou de séparations de couples qui deviennent "monoparentaux" créent des besoins en logements supérieurs aux prévisions qui ne veulent pas prendre ce critère en compte pour le calcul du nombre de logements nécessaires. Résultats: Manque de logements, plus de SDF et autres sans abris en nombres qui ne cessent d'augmenter... Avec les dépenses sociales qui s'ensuivent, bien entendu.
*Il faudrait donc, à partir de ces données, qui ne sont présentées qu'à titre d'exemples pour être développées, arrêter de parler de faire baisser la courbe du chômage. AU NIVEAU NATIONAL, TOUS PARTIS POLITIQUES REUNIS, TOUTES LES ORGANISATIONS PATRONALES, SYNDICALES ET DE CONSOMMATEURS, d'une seule voix, devraient se pencher une bonne fois pour toutes sur la question afin de trouver remède au chômage de masse inéluctable qui se pointe à l'horizon si rien n'est fait de manière radicale pour le vaincre, à tout le moins le réduire, dans le temps. AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD!... BIEN TROP TARD!...
*TROP TARD, car il me souvient qu'en 1981 -Il y a 35 ans-, alors que j'étais en stage à l'Ecole Supérieure de Commerce de Paris (ESCP, Cycle de Formation aux Affaires), au sortir de 25 ans de services dans l'Armée, il était dit que Raymond Barre, Premier Ministre, estimait que le temps de travail serait divisé par deux dans l'avenir pour donner du travail à un maximum de monde, compte tenu du nombre de demandeurs d'emplois qui ne cessait d'augmenter et le fait qu'il n'était pas envisageable de produire plus compte tenu des marchés qui ne pouvaient se développer, étant déjà, pour beaucoup, saturés,
Commencer par sauvegarder les emplois existants et le financement de l'assurance chômage en interdisant les délocalisations financières spéculatives "boursières" pourrait être la PREMIERE ETAPE: BREF, IL FAUT TOUT REMETTRE A PLAT et revoir le mode de financement des investissements pérennes productifs des entreprises, sans pour cela réduire les dividendes, mais par une meilleure gestion et la suppression des ABUS de charges patronales INUTILES, DISPENDIEUSES, voire FRAUDULEUSES qui plombent les prix de revient!
Et, comme Sanofi, le 23.02.2015, accorder une "PRIME A L'EMBAUCHE" de 4 millions d'€uros à Mr Olivier Brandicourt, relèvera des excès de dépenses qui plombent les coûts de revient des produits à vendre, puisque cette somme de 4 millions sera incluse dans le prix moyen des charges à répartir par produits!
*Elémentaire, Mon Cher Watson, dirait le Docteur BONSENS!
Pour réussir cette remise à plat, il faut que TOUS LES PARTIS POLITIQUES, j'écris bien TOUS LES PARTIS POLITIQUES, sans exception aucune, s'unissent derrière le Président de La République, actuellement François Hollande, QUE CELA PLAISE OU NON, jusqu'à la victoire qui sera inéluctable, car elle aura l'appui total de la population "pour les uns" et du peuple "pour les autres! Il y va du salut durable de notre système social!
En 2017, il sera toujours possible aux hommes et femmes politiques de continuer de s'étriper misérablement "à la télé", pour la plus grande satisfaction des téléspectateurs, en faisant le pitre, comme ils savent si bien le faire. Cancres politiques, continuez donc de me lire:
Nouvelle brève en date du 18.12.2014:
OUI! Le prix Nobel 2014, Jean Tirole, économiste, est UN IGNARE QUI NE CONNAIT PAS LE MODE DE FINANCEMENT DU CHÔMAGE, DE LA SECURITE SOCIALE ET DES RETRAITES!
Il a oublié, s'il l'a su un jour, que TOUTES les charges-cotisations sociales (Chômage, sécurité sociales, retraites, allocations familiales, chèques vacances, déjeuner et autres etc..., primes d'habillement, charges commerciales dispendieuses, DONS AUX PARTIS POLITIQUES, voyages d'études-vacances, PARTENARIATS divers, etc, etc...) étaient intégrées aux prix de vente des produits et services et rapportaient des bénéfices au patronat après ventes des produits et services!
Et les bénéfices sont obligatoires, même en cas de "revente à perte", ce qui n'est qu'un euphémisme pour cacher que les bénéfices légaux FORMULAIRE N°2031-SD Impôt sur le revenu:
Bénéfices Industriels et Commerciaux. Ce formulaire doit être déposé par les entreprises soumises à l'impôt sur le revenu (régime des bénéfices industriels et commerciaux). Millésime 2022 Formulaire(s)
Qu'il me démontre le contraire ainsi qu'à la face du monde si je me trompe! Et qu'il me donne une bonne volée de bois vert, si je me trompe, fesses à l'air!
De plus, il veut vendre ses conseils au Président de La République, François Hollande, pour "LA RELANCE"!
Il prend vraiment les Français pour des cons, NON?
*Revenons à présent au sujet qui nous occupe: Le cadeau de 50 milliard aux entreprises selon ci après: LE PACTE DE RESPONSABILITE, QUI EST UN PIEGE A CONS.
QUI S'Y LAISSERA PRENDRE?
*J'en appelle donc à la révolution des esprits et de la conscience de La France et des Français:
Le patronat ne paye aucune charge pour le chômage. Ce sont des cotisations intégrées aux prix de vente et qui lui sont remboursées AVEC DES BENEFICES sur les prix de vente...
Il en est ainsi par ailleurs pour les retraites, "La sécu", les allocations familiales, la dépendance, les retraites complémentaires, chèques déjeuner, chèques vacances, habillement, etc, etc...
Et JE DEFIE Manuel Valls, Premier Ministre, Michel Sapin, Ministre des Finances, François Rebsamen, Ministre du Travail, ainsi que Emmanuel Macron, ancien Conseiller de François Hollande, Président de La République, Ministre de l'Industrie, initiateur du pacte de "responsabilité" avec Pierre Gattaz, patron du MEDEF, de démontrer le contraire de mes écrits à La France et aux Français pour me faire donner une bonne "volée de bois vert".
*PREAMBULE: François Hollande, Président de La République, ne réussira son combat contre le monde de la finance (la mauvaise) QUE s'il tient compte de mes écrits.
C'est sur ses résultats qu'il sera jugé en 2017 et même avant.
*CECI ETANT, LISONS:
*La décision prise le 07.08 2014 par le Conseil Constitutionnel de censurer le pacte de "responsabilité" au motif que les cotisations des entreprises n'étaient pas des charges ne peut que mettre en valeur la teneur de mes articles relatifs à ce sujet: Les entreprises ne payent aucune charge pour le financement des dépenses sociales. Elles ne payent que des cotisations qu'elles incorporent dans les prix de vente des produits et services et sont remboursées intégralement avec bénéfices sur les marchandises vendues.
*Revoyons donc ce qu'il en est véritablement en ce qui concerne le financement du chômage et de la manière de le faire diminuer:
*Et bien OUI! Manuel Valls, au cours d'un point presse le 01.08 2014 au sortir d'un séminaire à l'€lysée a déclaré, droit dans ses bottes mais quelque peu mal à l'aise, qu'il jouait tout l'avenir de La France sur le pacte de responsabilité et sur les 50 milliards de "cadeau" au patronat pour faire baisser le chômage. Il avait oublié que TOUS ses prédécesseurs, qui ont suivi la même politique, ont TOUS échoué.
La seule conclusion qui s'impose est celle qui consiste à dire qu'il ira à l'échec programmé, avec son gouvernement "de "combat" et avec François Hollande, Président de La République. Il n'a en outre pas retenu les paroles prononcées aux médias par Pierre Gattaz, le 21 juillet 2014: "LA FRANCE EST DANS UNE SITUATION CATASTROPHIQUE", ce en quoi il avait bien raison de le dire après avoir lu mes écrits que je lui ai lancés en défi pour me démontrer le contraire. Il se gardera bien encore de faire un certain temps, car il ne peut en effet, à ce sujet, que reconnaitre les arguments de mes articles irréfutables. Poursuivons...
*L'annonce médiatique faite autour du pacte de "responsabilité" signé par Sanofy qui s'engagerait à créer 147 000 emplois d'ici à 2017 n'a aucune valeur de fiabilité et de crédibilité. Pourquoi? Tout simplement parce qu'il n'y est pas précisé et mentionné que ces emplois seraient en plus de ceux qui existaient actuellement. Il ne s'agirait alors que pur et simple renouvellement des départs, à quelques exceptions près, et pas ou peu de créations d'emplois! De l'enfumage habituel pour "toucher" encore et encore de plus en plus.
*Ceci étant, LES SEULS ACCORDS VALABLES SERONT CEUX QUI PREVOIRONT DES EMBAUCHES EN PLUS DES EFFECTIFS EXISTANTS AU JOUR DE LA SIGNATURE DE L'ACCORD.
*TOUT ACCORD DEVRA DONC, POUR ÊTRE VALABLE ET CREDIBLE, AU TITRE DU PACTE "DE"RESPONSABILITE" ET DES CONTREPARTIES, COMPORTER, AVANT TOUTE SIGNATURE, L'EFFECTIF GLOBAL DE L'ENTREPRISE ET LE DETAIL DES EFFECTIFS PAR CATEGORIE DES PERSONNELS AINSI QUE LES CONTREPARTIES D' EMBAUCHES EVALUEES AU PLUS PRES DE LA REALITE.
*Ainsi, il ne sera pas nécessaire de créer un observatoire "à la con" pour vérifier le bon déroulement administratif du "pacte de "responsabilité". Les Préfets de Régions et des Départements seront les mieux à même de le vérifier, tout comme les Partenaires sociaux, au fur et à mesure que de besoin.
*Les jets de poudre aux yeux politiques et médiatiques néfastes à la bonne information de la population et des électeurs en vue de l'élection présidentielle de 2017 seront ainsi supprimés. TOUT SERA VERIFIABLE! ET... FIABLE!
*Article garanti "Produit France et U€" par: Armand de Franceville, Nom de Plume.
*Ceci étant, la déclaration de François Hollande faite le 14 juillet 2014, au cours de l'interwiew télévisé auquel il s'est prêté, déclaration claire, précise et sans ambigüité sur le pacte de "responsabilité" par un RIEN catégorique à tout changement, précipitera Notre pays, La France, dans le marasme politique et financier encore plus cruel pour l'avenir.
*En effet, répondre qu'il ne changerait RIEN au pacte de stabilité tout en offrant 50 milliards d'€uros aux entreprises sur le compte des contribuables qui s'appauvrissent en échange d'un autre RIEN, "pas de contrepartie" de la part de Pierre Gattaz, patron du MEDEF, nous replacera dans la spirale de la léthargie financière tirant vers le bas, quoi qu'en disent les experts en tous genres qui nous mènent à la dépression économique en rognant le nerf de la guerre qui asservira Notre Patrie, Notre Pays, La France, encore plus au monde de la mauvaise finance: L'ARGENT! Y compris POUR LA DEFENSE DE SES INTETÊTS STRATEGIQUES DANS LE DOMAINE MILITAIRE, puisque le budget de l'Armée n'est pas encore bouclé!
*Et, si François Hollande compte sur la baisse du chômage pour se faire réélire, il aura gagné par la grossière manipulation des esprits sur la relance par le déblocage de crédits au niveau de l'Union €uropéenne. Il a oublié en effet de préciser que les banques empruntent actuellement à 0,05 % à la BCE, lesquelles banques reprêtent à La France à 0,7 % et la limite du déficit est fixé à 3 % du PIB et à 0,5 % pour les investissements sous peine de pénalités.
*COMME SI LES ETATS NE POUVAIENT PAS EMPRUNTER DIRECTEMENT A LA BCE LEUR PROPRE ARGENT! La France économiserait alors 65 millions € par milliard emprunté aux banques lobbies "de Bruxelles!
*Comme en outre ce sont nos impôts qui alimentent les banques, le monde de la mauvaise finance se présentera alors, sous la forme du Partenariat-Public-Privé (LES FUMEUX 3P), mettra au pot pour financer conjointement les grands travaux comme pour collecter l'impôt écotaxe qui était prévu il y a peu de temps.
Rappelons le encore une fois, pour bien s'en imprégner:
*Il est faux de dire et penser que les cotisations chômage sont des charges pour le patronat, car elles sont affectées aux coûts de revient des produits sorties usines.
*Ces mêmes produits sont revendus ensuite avec bénéfices sur prix de vente, lesquels bénéfices sont ensuite répartis entre les actionnaires. Au bout du compte, ce sont les consommateurs et "les travailleurs" au sens large du terme qui ont payé toutes les charges et ont remboursé au patronat et financiers les "avances" sur "charges sociales" qui avaient été faites, avec bien entendu des bénéfices sur les prix de vente des produits qui permettent d'accorder des retraites chapeau, salaires faramineux et évasions fiscales.
*Plus même, mais aucun économiste ni commentateur médiatique ou politique ne vous le dira, TOUTES les "charges" des employeurs peuvent être considérées comme placées "en banque", puisqu'elles rapportent, en pourcentage et à court terme, autant que les sommes investies par les actionnaires en pourcentages sur les bénéfices.
*Par ailleurs, quel homme ou femme politique, qui au MEDEF, quel expert économique médiatique me donnera la réplique?
*Avec quels arguments? Affaire à suivre...
C.Q.F.D.
-
DE LA NEGOCIATION SOCIALE:
TOUT DOIT ÊTRE MIS SUR LA TABLE DES NEGOCIATIONS.
Aussi, je souhaite bonne lecture et bonnes négociations à Tous les partenaires sociaux pour que le futur de Nos Enfants se négocie en mettant tout à plat sur la table des négociations POUR UNE "NOUVELLE DONNE", que ce soit pour les allocations familiales, la sécurité sociale, la retraite, les chèques restaurant, les chèques vacances, la mutuelle, etc...etc... sans oublier LA DEPENDANCE à venir et tout ce qui peut se négocier entre l'Etat et les partenaires sociaux enfin bien éclairés sur la véracité du "QUI PAYE QUOI", à savoir que ce sont les travailleurs au sens large du terme et les consommateurs qui payent tout et non "le patronat" et "les financiers".
En outre et ce sera le mot de la fin, ce sont les entreprises qui ont des carnets de commandes supérieures durablement à leurs capacités de production qui feront baisser le chômage! En aucun cas les salamalecs ridicules des économistes et des politiques qui "miragent" en croyant apercevoir, à l'horizon la croissance qui frétille.
Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme.
NON, Monsieur Le Président, VOUS N'ENTREZ PAS DANS UNE ARENE, VOUS ENTREZ DANS LES ARNAQUES AUX COTISATIONS SOCIALES ET FISCALES DES ENTREPRISES.
Cela me donne l'impression que la moitié des hommes et des femmes politiques sont malhonnêtes.
L'Etat fait des bénéfices sur tout ce qu'on achète ET ACCORDE, DE PLUS, DES SUBVENTIONS AUX ENTREPRISES.
LES SUBVENTIONS N'ONT PAS LIEU DÊTRE!
C'est une espèce de VOL LEGAL ORGANISE!
Qu'en pensez vous, Monsieur Emmanuel Macron?
-
Il faut créer des "Zones d'éducation prioritaires", Monsieur Pap Ndiaye, Ministre de l'éducation nationale, Madame Sylvie Retailleau, Ministre de la Recherche, et la Porte parole du Gouvernement FR et de celui de l'Elysée.
Ces Zones seraient, en particulier, chargées d'effectuer des Mathématiques et de la recherche et de l'Economie.
LE SEUIL DE REVENTE À PERTE : QU'EST-CE QUE C'EST?
Copie de la Fiche économique N° E O5.
Fiche économique E 05
Date de publication : 07/01/2019 - Commerce/services
La loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite "loi alimentation" prévoit un relèvement de 10 % du seuil de revente à perte au plus tard le 1er juin 2019 et renvoit à l’ordonnance du 12 décembre 2018 pour la mise en oeuvre.
"Le relèvement du SRP – seuil de revente à perte – va mécaniquement remonter de 10 % le prix de centaines de produits du quotidien" selon Les Echos du lundi 3 décembre 2018.
Est-ce que cela est bien vrai ?
Pour répondre à cette question, notre économiste vous présente une définition du seuil de revente à perte, et son mode de calcul.
1 - Définition et mode de calcul
2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?
1 - Définition et mode de calcul
Le seuil de revente à perte – ou prix d’achat effectif – représente la limite de prix en dessous de laquelle un distributeur ne peut revendre un produit sous peine d’être sanctionné. Il est défini par l’article L. 442-3 du code de commerce comme suit : "Le prix d’achat effectif est le prix unitaire net figurant sur la facture d’achat, minoré du montant de l’ensemble des autres avantages financiers consentis par le vendeur exprimé en pourcentage du prix unitaire net du produit et majoré des taxes sur le chiffre d’affaires, des taxes spécifiques afférentes à cette revente et du prix du transport".
Il y a une différence entre la revente à perte et la vente à perte. Le SRP concerne l’activité de revente, et non la vente directe par un fabricant.
Il existe des exceptions où le distributeur peut revendre en dessous du prix d’achat effectif :
- quand la date de péremption d’un produit expire sous peu,
- lorsqu’un produit technique est obsolète ou démodé,
- pendant les soldes (elles sont définies par l’article L. 310-3 du code de commerce, pour en savoir plus voir notre fiche sur les promotions et les soldes),
- si, dans une même zone d’activité, un prix plus bas est légalement pratiqué pour le même produit,
- dans le cadre d’une cessation ou d’un changement d’activité,
- lorsqu’on achète un produit à un certain prix, puis qu’on achète le même produit moins cher, on peut alors revendre les produits anciennement stockés en se basant sur le prix d’achat des produits moins chers nouvellement stockés.
Comment le seuil de revente à perte est-il calculé ?
Le prix d’achat effectif est calculé de la façon suivante :
2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?
Pour réaliser des profits, les distributeurs appliquent différentes marges sur le prix des produits vendus. Ces marges représentent la rémunération du distributeur, sans quoi celui-ci perdrait de l’argent. Or, le SRP ne prend pas en compte la totalité des revenus des distributeurs liés à la vente d’un produit. Autrement dit, le seuil de revente à perte ne correspond pas au prix de vente du produit au consommateur.
Pour mieux comprendre, voici un détail des différents revenus que perçoivent les distributeurs.
Les revenus des distributeurs
Les revenus des distributeurs sont réalisés grâce aux marges. Il en existe deux types : les marges "avant" et les marges "arrière".
La marge avant, la plus connue, représente la différence entre le prix net sur la facture et le prix de vente au consommateur.
On distingue deux types de marges arrière :
- Les ristournes, remises, rabais… accordées par le fournisseur,
- Les services de coopération commerciale liés à la vente des produits (référencement d’un produit dans le catalogue du distributeur, emplacement des produits dans un linéaire …).
Le SRP prend donc en compte seulement une partie des marges des distributeurs. La marge avant n’est pas prise en compte dans son calcul.
Ainsi, un relèvement du SRP peut se traduire soit par une augmentation directe des prix, soit par une baisse des marges des distributeurs. L’augmentation des prix n’est donc pas "mécanique". De plus, si effectivement la hausse du SRP est reporté directement sur le prix du produit vendu, cela se fera dans des proportions moindres.
Voici un exemple pour illustrer ces propos.
Imaginons qu’un fabricant vende un produit à un distributeur, dont le prix unitaire net est de 100 €. On suppose que les avantages financiers représentent 30 % du prix de ce produit, soit 30 €. Le montant total des différentes taxes est de 5 €, et le prix du transport est de 5 €.
Le seuil de revente à perte est alors de :
SRP = 100 – 30 + 5 + 5 = 80 €
Si le SRP est relevé de 10 %, alors celui-ci passera à 88 € (soit une augmentation de 8 €).
Imaginons ensuite que la marge "avant" du distributeur soit de 20 %, le produit est alors vendu à 120 € au consommateur.
Si la hausse du SRP se traduit directement par une hausse des prix, alors le prix du produit augmentera dans ce cas ci de 8 €. Ainsi, au lieu de vendre le produit au consommateur 120 €, il sera vendu 128 €, soit une augmentation de 6,7 %. Et non pas 10 %.
Il faut donc bien faire attention à trois points :
- le prix de vente au consommateur ne correspond pas au seuil de revente à perte,
- une hausse du SRP ne se traduit pas mécaniquement par une hausse du prix du produit,
- si la hausse du SRP est directement reportée sur le prix du produit, la hausse n’est pas aussi importante sur le prix d’achat.
-
Des « coupures » possibles cet hiver, mais « maîtrisables ». Le gestionnaire du réseau électrique en France a tenu une conférence de presse ce mercredi. RTE appelle les particuliers et entreprises à suivre les alertes de l’outil Ecowatt, et à augmenter les petits gestes, notamment aux heures de pointe, pour diminuer la consommation d’électricité, et la tension sur le réseau.
²c-Vous n'avez qu'un seul choix, LE MAUVAIS, M @EMacron2: @LUnionEuropenne. ÉDITER
*PS: Je suis Gaulliste, plus encarté pour garder mon indépendance d'esprit.
-