*PRÉSIDENTIELLE 2022-2027*
LEGISLATIVES 2022.
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*Emmanuel Macron envisage désormais un "chèque transport". On nous avait vendu un Mozart de la finance, on se retrouve avec un Président qui est incapable de mener des réformes structurelles pour améliorer le quotidien des Français.
Lettre ouverte adressée à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République française.
Objet: Relations internationales avec la Russie.
Bonjour Monsieur le Président,
Cette lettre ouverte a pour seul but de vous orienter sur l'état d'âme avec lequel vous devez amener l'Europe des technocrates de Bruxelles à négocier avec les dirigeants de la Russie, (La Russie (en russe : Россия, Rossiïa), en forme longue la fédération de Russie (en russe : Российская Федерация, Rossiïskaïa Federatsiïa), est un État fédéral transcontinental.) Extrait WikipédiA.
C'est de manière pédagogique que je viens vous informer sur le sujet.
LA PEDAGOGIE est l'Art de l'éducation. C'est l'ensemble des méthodes et pratiques d'enseignement requises pour transmettre des compétences: Un savoir, un savoir faire ou un savoir être. Faire preuve de pédagogie signifie aptitude à enseigner et transmettre à un individu ou à un groupe d'individus un savoir et une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée.
Ce titre, aussi surprenant qu'il soit pour parler des rapports entre l'Union européenne et la Russie, est uniquement justifié à appeler votre attention sur ce qu'est la pédagogie en matière diplomatique de "Relations étrangères"
Il est indispensable d'avoir des connaissances suffisantes de ce qu'est l'âme russe, lorsque vous, en tant que Président de la République, gouvernez "sans état d'âme".
Voici, expliqué de manière pédagogique qui est la mienne, de quoi il s'agit: (extrait WikipédiA)
Âme russe
Le terme âme russe (русская душа), est utilisé dans la littérature pour décrire la spiritualité russe (et parfois slave). Les écrits d'écrivains russes tels que Nikolai Gogol, Léon Tolstoï et Fiodor Dostoïevski offrent des descriptions de l'âme russe.
Le mot russe душа (doucha) est le plus étroitement traduit par le mot âme. L'âme russe peut être décrite comme une tendance culturelle des Russes à décrire la vie et les événements d'un point de vue religieux et philosophiquement symbolique. En Russie, l'âme d'une personne est la clé de l'identité et du comportement d'une personne qui assimile la personne à son âme. La profondeur, la force et la compassion sont des caractéristiques générales de l'âme russe. Selon Dostoïevski, "le besoin spirituel le plus élémentaire du peuple russe est la nécessité de la souffrance". Les idées de Dostoïevski sur l'âme russe sont étroitement liées au christianisme orthodoxe oriental, à son idéal du Christ, à sa souffrance pour les autres, à sa volonté de mourir pour les autres et à son humilité tranquille.
Et, pour imager ce qui est écrit ci-dessus sur l'(âme russe, je ne citerai qu'un seul exemple pour l'instant:
Saint-Pétersbourg /sɛ̃.pe.tɛʁs.buʁ/1 (en russe : Санкт-Петербу́рг, Sankt-Peterbourg, [sankt pʲɪtʲɪrˈburk]2 Écouter) est la deuxième plus grande ville de Russie par sa population, avec 5 281 579 habitants en 2017, après la capitale Moscou. Saint-Pétersbourg a le statut de ville d'importance fédérale. La ville est enclavée dans l'oblast de Léningrad, mais en est administrativement indépendante. Elle est située dans le nord-ouest du pays sur le delta de la Neva, au fond du golfe de Finlande, un espace maritime de la mer Baltique. Capitale de l'Empire russe de 1712 jusqu'en mars 1917, ainsi que de la Russie dirigée par les deux gouvernements provisoires entre mars et octobre 1917, Saint-Pétersbourg a conservé de cette époque un ensemble architectural unique. Deuxième port russe sur la mer Baltique après Primorsk, c'est aussi un centre majeur de l'industrie, de la recherche et de l'enseignement russe ainsi qu'un important centre culturel européen. Saint-Pétersbourg est la deuxième ville d'Europe par sa superficie et la cinquième par sa population.
Saint-Pétersbourg a été fondée en 1703 par le tsar Pierre le Grand dans une région disputée depuis longtemps au royaume de Suède. Par son urbanisme résolument moderne et son esthétique d'origine étrangère, la nouvelle ville devait permettre à la Russie d’« ouvrir une fenêtre sur l'Europe » et contribuer, selon le souhait du tsar, à hisser la Russie au rang des grandes puissances européennes. Le centre-ville, construit sur des directives des souverains russes, présente une architecture unique qui mélange des styles architecturaux (baroque, néo-classique) acclimatés de manière originale par des architectes souvent d'origine italienne. Ses canaux et ses rivières bordés de palais lui ont valu le surnom de « Venise de la Baltique »3, et ses colonnades ou son « ordonnancement de perspectives, de palais, de bâtiments, de parcs et d'avenues » celui de « Palmyre du Nord »4,5. La ville est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1990.
De sa fondation jusqu'au début du xxe siècle, Saint-Pétersbourg a été le principal centre intellectuel, scientifique et politique du pays. Au xixe siècle, la ville devient le principal port commercial et militaire de la Russie ainsi que le deuxième centre industriel du pays, après Moscou. C'est d'ailleurs à Saint-Pétersbourg qu'éclate la révolution russe de 1917 et où les bolcheviks triomphent. La ville connaît par la suite un certain déclin. Au début des années 1920, à la suite du transfert de la capitale à Moscou et de la guerre civile, le chiffre de la population s'effondre ; celle-ci ne retrouve son niveau d'avant 1914 qu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Le siège de près de trois ans durant ce conflit décime à nouveau sa population. Tombée à moins d'un million d'habitants à la sortie de la guerre, la ville se repeuple grâce à l'arrivée de ressortissants d'autres régions. Depuis cette époque, Saint-Pétersbourg a régulièrement perdu de l'influence par rapport à Moscou, phénomène qui s'est accentué depuis la libéralisation du système économique russe.
Saint-Pétersbourg a changé plusieurs fois d'appellation : elle a été rebaptisée Pétrograd (Петроград) de 1914 à 1924, puis Léningrad (Ленинград) de 1924 à 1991, avant de retrouver son nom d'origine à la suite d'un référendum en 1991.
Il vous faut impérativement penser, Monsieur le Président, "Sainte Russie" dans vos rapports avec Vladimir Poutine et les mots sacro-saints: LA PATRIE: родина, LA PATRIE: отчизна.
Souhaitant avoir suffisamment appelé votre attention sur le sujet pour que vous réussissiez à trouver un consensus honorable sur toutes les questions actuellement en cours, sans vouloir entrer dans les détails,
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma très haute considération.
Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme, 2 Avenue Casteroun, 40 230 St Vincent de Tyrosse.
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NON, Monsieur Le Président, VOUS N'ENTREZ PAS DANS UNE ARENE, VOUS ENTREZ DANS LES ARNAQUES AUX COTISATIONS SOCIALES ET FISCALES DES ENTREPRISES.
Cela me donne l'impression que la moitié des hommes et des femmes politiques sont malhonnêtes.
L'Etat fait des bénéfices sur tout ce qu'on achète ET ACCORDE, DE PLUS, DES SUBVENTIONS AUX ENTREPRISES.
LES SUBVENTIONS N'ONT PAS LIEU DÊTRE!
C'est une espèce de VOL LEGAL ORGANISE!
Qu'en pensez vous, Monsieur Emmanuel Macron?
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Il faut créer des "Zones d'éducation prioritaires", Monsieur Pap Ndiaye, Ministre de l'éducation nationale, Madame Sylvie Retailleau, Ministre de la Recherche, et la Porte parole du Gouvernement FR et de celui de l'Elysée.
Ces Zones seraient, en particulier, chargées d'effectuer des Mathématiques et de la recherche et de l'Economie.
LE SEUIL DE REVENTE À PERTE : QU'EST-CE QUE C'EST?
Copie de la Fiche économique N° E O5.
Fiche économique E 05
Date de publication : 07/01/2019 - Commerce/services
La loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite "loi alimentation" prévoit un relèvement de 10 % du seuil de revente à perte au plus tard le 1er juin 2019 et renvoit à l’ordonnance du 12 décembre 2018 pour la mise en oeuvre.

"Le relèvement du SRP – seuil de revente à perte – va mécaniquement remonter de 10 % le prix de centaines de produits du quotidien" selon Les Echos du lundi 3 décembre 2018.
Est-ce que cela est bien vrai ?
Pour répondre à cette question, notre économiste vous présente une définition du seuil de revente à perte, et son mode de calcul.
1 - Définition et mode de calcul
2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?
1 - Définition et mode de calcul
Le seuil de revente à perte – ou prix d’achat effectif – représente la limite de prix en dessous de laquelle un distributeur ne peut revendre un produit sous peine d’être sanctionné. Il est défini par l’article L. 442-3 du code de commerce comme suit : "Le prix d’achat effectif est le prix unitaire net figurant sur la facture d’achat, minoré du montant de l’ensemble des autres avantages financiers consentis par le vendeur exprimé en pourcentage du prix unitaire net du produit et majoré des taxes sur le chiffre d’affaires, des taxes spécifiques afférentes à cette revente et du prix du transport".

Il y a une différence entre la revente à perte et la vente à perte. Le SRP concerne l’activité de revente, et non la vente directe par un fabricant.
Il existe des exceptions où le distributeur peut revendre en dessous du prix d’achat effectif :
- quand la date de péremption d’un produit expire sous peu,
- lorsqu’un produit technique est obsolète ou démodé,
- pendant les soldes (elles sont définies par l’article L. 310-3 du code de commerce, pour en savoir plus voir notre fiche sur les promotions et les soldes),
- si, dans une même zone d’activité, un prix plus bas est légalement pratiqué pour le même produit,
- dans le cadre d’une cessation ou d’un changement d’activité,
- lorsqu’on achète un produit à un certain prix, puis qu’on achète le même produit moins cher, on peut alors revendre les produits anciennement stockés en se basant sur le prix d’achat des produits moins chers nouvellement stockés.
Comment le seuil de revente à perte est-il calculé ?
Le prix d’achat effectif est calculé de la façon suivante :

2 - Quel est l’impact d’une hausse du SRP sur les prix ?
Pour réaliser des profits, les distributeurs appliquent différentes marges sur le prix des produits vendus. Ces marges représentent la rémunération du distributeur, sans quoi celui-ci perdrait de l’argent. Or, le SRP ne prend pas en compte la totalité des revenus des distributeurs liés à la vente d’un produit. Autrement dit, le seuil de revente à perte ne correspond pas au prix de vente du produit au consommateur.
Pour mieux comprendre, voici un détail des différents revenus que perçoivent les distributeurs.
Les revenus des distributeurs
Les revenus des distributeurs sont réalisés grâce aux marges. Il en existe deux types : les marges "avant" et les marges "arrière".
La marge avant, la plus connue, représente la différence entre le prix net sur la facture et le prix de vente au consommateur.
On distingue deux types de marges arrière :
- Les ristournes, remises, rabais… accordées par le fournisseur,
- Les services de coopération commerciale liés à la vente des produits (référencement d’un produit dans le catalogue du distributeur, emplacement des produits dans un linéaire …).
Le SRP prend donc en compte seulement une partie des marges des distributeurs. La marge avant n’est pas prise en compte dans son calcul.
Ainsi, un relèvement du SRP peut se traduire soit par une augmentation directe des prix, soit par une baisse des marges des distributeurs. L’augmentation des prix n’est donc pas "mécanique". De plus, si effectivement la hausse du SRP est reporté directement sur le prix du produit vendu, cela se fera dans des proportions moindres.
Voici un exemple pour illustrer ces propos.
Imaginons qu’un fabricant vende un produit à un distributeur, dont le prix unitaire net est de 100 €. On suppose que les avantages financiers représentent 30 % du prix de ce produit, soit 30 €. Le montant total des différentes taxes est de 5 €, et le prix du transport est de 5 €.
Le seuil de revente à perte est alors de :
SRP = 100 – 30 + 5 + 5 = 80 €
Si le SRP est relevé de 10 %, alors celui-ci passera à 88 € (soit une augmentation de 8 €).
Imaginons ensuite que la marge "avant" du distributeur soit de 20 %, le produit est alors vendu à 120 € au consommateur.
Si la hausse du SRP se traduit directement par une hausse des prix, alors le prix du produit augmentera dans ce cas ci de 8 €. Ainsi, au lieu de vendre le produit au consommateur 120 €, il sera vendu 128 €, soit une augmentation de 6,7 %. Et non pas 10 %.
Il faut donc bien faire attention à trois points :
- le prix de vente au consommateur ne correspond pas au seuil de revente à perte,
- une hausse du SRP ne se traduit pas mécaniquement par une hausse du prix du produit,
- si la hausse du SRP est directement reportée sur le prix du produit, la hausse n’est pas aussi importante sur le prix d’achat.
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La suite au prochain numéro.