Pendant des siècles, les peuples africains ont été victimes de la cupidité et de la sauvagerie de plusieurs États européens. Au XIXe et au début du XXe siècle, ont occupé la majeure partie du territoire africain et l'ont divisé et redivisé sans cesse comme s'il s'agissait d'un no man's land, sans tenir compte des frontières ethniques et politiques des États ancestraux ni de leurs cultures respectives, ce qui a été à l'origine de conflits interethniques qui ont perduré jusqu'à aujourd'hui, fomentés par les grandes puissances pour continuer à piller les ressources naturelles du continent et pour des raisons géopolitiques. Lorsque le processus de décolonisation politique a été achevé, des leaders tels que Patrice Lumumba, Kwame Nkrumah, Amilcar Cabral, Jomo Kenyatta et Thomas Sankara ont émergé. Tous ont été renversés ou assassinés, avec l'intervention directe ou indirecte des services occidentaux comme ce fut le cas pour Lumumba, Cabral et Sankara, et remplacés par des dirigeants dictatoriaux, corrompus et serviles des grandes puissances néocoloniales.
Des guerres d'agression et des crimes de guerre et contre l'humanité commis par les grandes puissances ont augmenté de façon exponentielle en Afrique et au Proche-Orient ces derniers temps, entraînant la dislocation de plusieurs États. Le résultat est que le chaos règne aujourd'hui dans toute la région. C'est ainsi que des centaines de milliers de personnes, hommes, femmes et enfants, cherchent le chemin le plus court vers l'Europe en traversant la Méditerranée pour tenter de fuir une région où les morts de la guerre, de la famine et des maladies et les personnes déplacées se comptent par millions.
Maintenant Macron, sous-fifre des milliardaires, est en tournée pour continuer à vampiriser l’Afrique plus pauvre.
Après s'être occupé de vendre des Rafales au dictateur Al Sissi, aux frais du contribuable français. (Voir https://disclose.ngo/fr/article/la-france-signe-en-secret-la-vente-de-rafale-a-legypte).