"Je crois que la société est fille de la peur et non pas de la faim"
Alain
Là, dans ces quartiers si difficiles, ceux qui font peur, la société renaîtrait d'elle-même ?
Là où effectivement, malgré la crise, on n'a pas faim parce que le trafic est épais comme la terreur et qu'il colle au ventre comme une patranque du plateau de mille vaches.
Là où il y a des combats de coqs, de chiens et d'enfants.
Là où l'argent circule comme une barre de fer à travers des visages ahuris.
Fille de la peur la société ?
Alors tous les espoirs sont permis car tout le monde a peur.