Agrandissement : Illustration 1
Agrandissement : Illustration 2
«L’ancien président, Nicolas SARKOZY, condamné à 5 ans de prison ferme, avec mandat de dépôt différé. Incarcéré à compter du 21 octobre 2025 à la prison de la Santé. Un ancien président, bientôt taulard, SARKOZY entré dans l’Histoire de France, par la petite porte. Qui est donc la «racaille» à nettoyer au Karcher ? Personne n’est au-dessus des Lois. Contre l’impunité des délinquants en col blanc ou des puissants. Un très grand bravo aux enquêteurs de Mediapart et à la Justice, base de l’Etat de droit !», par Amadou Bal BA
Ce qui est arrivé ce mardi 21 octobre 2025 n'est pas banal. L'ancien président Nicolas SARKOZY s'est soumis à la justice de la France et n'a pas recherché de s'enfuir. Il est donc emprisonné à la prison de la Santé, à Paris, comme l'avait été, auparavant, le maréchal Philippe PÉTAIN, en raison de sa collaboration avec les nazis. Nicolas SARKOZY est non seulement entré dans l'Histoire mais cela atteste, au-delà de l'aspect humain que l'on comprendre, cela témoigne, dans un cas douloureux pour lui, de la vitalité de la démocratie française. La Royauté étant abolie, grands comme petits, nous tous devons respecter la loi ; c'est cela qui nous protège. En raison de l’égalité devant la loi, il n'y a pas d'un côté les racisés sur lesquels on s'acharne, à coups de discours haineux et de circulaires ségrégationnistes, racistes et fascistes. Même les puissants qui violent la loi et notamment ne respectent pas le suffrage universel peuvent aller un jour après destitution au gnouf. Je songe aussi à certains préfets de la République, au lieu d'appliquer la loi, sont répressifs et fascistes ont éborgnés des manifestants, comme Didier LALLEMENT ou des préfets féroces recrutés par Bruno RETAILLEAU qui font souffrir inutilement des racisés en situation régulière pour les faire basculer dans la clandestinité. Ce décret du président MACRON de dématérialisation des rdv en préfecture, un système ségrégationniste, au lieu de facilité la vie des étrangers, les a fait sciemment plongé dans l’illégalité, faute de rdv ou en raison des délais déraisonnables d’instruction. La France à travers sa Déclaration des droits de l'homme a pourtant proclamé l'égalité et la dignité de tous. Le Chef de l’Etat, Emmanuel MACRON, l’ancien président François HOLLANDE, comme Moussa DARMANIN ont manifesté leur soutien ostensible à Nicolas SARAKOZY, tout en voulant procéder à des incarcérations pour les courtes peines, quand il s’agit des racisés, afin, dit-on de créer un «choc carcéral». Le délai de rétention des sans-papiers est porté à 90 jours et on veut même le mettre à 7 mois. Les tests de français (arrêté du 12 octobre 2025), très élevés, instaurés par Bruno RETRAILLEAU, visent dans ce système d’Apartheid, à éliminer de la naturalisation ou le renouvellement des titres de séjours des racisés. Dans sa circulaire du 10 octobre 2023 contre l’apologie du terrorisme, dont a été victime la député LFI, Rima HASSAN, il est presque interdit de parler de crime contre l’Humanité à Gaza. Chaque jour une nouvelle circulaire clandestine, tombe pour discriminer et réprimer. Qui a une compassion pour ces racisés considérés, tous potentiellement comme des fraudeurs, des indolents ou des «racailles» ?
Cette incarcération de l’ancien président Nicolas SARKOZY fait suite au jugement au tribunal correctionnel de Paris du 25 septembre 2025, qui l’a reconnu d'être coupable «d’association de malfaiteurs». Pour ces faits, il a été condamné à 5 ans de prison ferme, avec mandat de dépôt différé, dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007 ; cela a été justifié par la préparation d’une «corruption au plus haut niveau possible». L’ancien président est convoqué le 13 octobre 2025, en vue de l’examen de la date, du lieu et des conditions de son incarcération. Dans un jugement de 400 pages, particulièrement motivé, dès 2005, Nicolas SARKOZY a «laissé ses proches» démarcher, en ce sens, le pouvoir libyen. Le mandat de dépôt, fondé sur une association de malfaiteurs, fortement justifié par le tribunal correctionnel de Paris, relate tous les importants flux financiers entre la Lybie et l’équipe de Nicolas SARKOZY et ses acolytes. «C’est un délit contre la Nation, contre la République, vous occupiez des fonctions ministérielles ; vous étiez chargé de veiller au respect de la Constitution. Vous avez avalisé la rencontre de vos collaborateurs avec Abdallah SENOUSSI (marié à la sœur de KADHAFI, du nom de Safia FARKASH, et condamné en 1999, pour l’attentat contre le CD-10, UTA, du 19 sept 1999), afin de préparer un pacte de corruption, au plus haut niveau. Ce sont des faits d’une gravité exceptionnelle, de nature à altérer la confiance des citoyens dans ceux qui les représentent». Selon Médiapart, dès 2006, KADHAFI avait promis de financer la campagne des présidentielles de SARKOZY, en 2007, à hauteur de 50 millions d’euros, à travers une note du 10 décembre 2006, de Moussa KOUSSA, chef des services secrets libyens. Cependant, le Tribunal correctionnel n’a retenu que le chef d’association de malfaiteurs. En effet, Nicolas SARKOZY a été condamné, pour avoir organisé par l’intermédiaire de deux de ses collaborateurs, qui ont suggéré cette opération de collecte de fonds : Claude GUÉANT, condamné à 6 ans de prison, mais un mandat de dépôt n’a pas été délivré en raison de son état de santé ; Brice HORTEFEUX, dont la participation à cette opération est limitée, a pris 2 ans de prison aménageables. Eric WOERTH, trésorier, a été relaxé. En revanche, Alexandre DJOURI, un très proche ami de l’ancien président, et Wahib NACER, son ancien banquier, ont été condamnés, respectivement, à 6 et 4 ans, de prison ferme, avec mandat de dépôt à l’audience.
Le Parquet, à travers le Pôle national financier (PNF), a fait appel contre cette décision de première concernant la condamnation pour «association de malfaiteurs», mais aussi pour les relaxes obtenues pour «recel de détournement de fonds publics» et «corruption passive». En effet, le Parquet avait requis sept de prison, cinq ans d'inéligibilité et 300.000 euros d'amende contre Nicolas SARKOZY. Fait sans précédent, devant la presse écrite, Nicolas SARKOZY, un visiteur du soir à l’Elysée et qui a placé ses amis au gouvernement (Sébastien LECORNU, Moussa DARMANIN et Bruno RETAILLEAU), a violemment critiqué les juges, en estimant que «toutes limites de droit ont été violées», et il a ajouté qu’il «ne plierait pas au mensonge, au complot, à l’insulte» et à «ses pratiques si contraires à l’Etat de droit», dit-il à Journal du dimanche du 27 septembre 2025, un hebdomadaire classé à l’extrême droite. Il estime que cette décision serait motivée par «la haine» des magistrats. «Nous n’avons pas de haine à exprimer. Notre boussole, c’est le droit, c’est la règle de droit. On est entrain de marcher sur la tête. Quand on vient critiquer avec violence et menace de mort au tribunal, c’est l’Etat de droit qui est menacé. Et, l’Etat de droit, c’est le socle de la démocratie. Ce qui est une atteinte à l’Etat de droit, ce sont les menaces contre les juges.» dit le 29 septembre 2025, M. Peimane Ghaleh MARZBAN, président du Tribunal judiciaire de Paris. En effet, la Présidente du tribunal correctionnel, dont la photo et l’adresse personnelle ont été divulguées dans les réseaux sociaux, a été menacée de mort. «Le tribunal n’a pas jugé les idées de Nicolas SARKOZY, n’a pas jugé Nicolas SARKOZY, l’homme politique. Le tribunal a jugé des faits qui ont été commis par un homme. Cet homme, il se trouve, c’est Nicolas SARKOZY. C’est inquiétant, parce que la justice doit être rendue de façon sereine, et elle doit être contestée par les voies de droit et par l’appel. Là, on voit bien qu’il y a une autre stratégie, sur le terrain politique et médiatique. On va directement, avant même l’appel, sur le terrain politique et médiatique, pour déconsidérer la décision rendue, et puis on s’attaque aux magistrats ; ce qui est une façon aussi, quelque part, de ne pas parler du fond du dossier. Le fond du dossier, c’est quand même rien moins qu’un dossier de corruption, corruption au plus haut niveau de l’Etat, avec un des pires dictateurs de l’époque, qui avait du sang de citoyen sur les mains», dit M. Ludovic FRIAT, de l’Union syndicale des magistrats. Le président Emmanuel MACRON a réagi contre ces attaques «L’Etat de droit est le socle de notre démocratie. L’indépendance de l’autorité judiciaire, son impartialité, comme la protection des magistrats qui le rendent, en sont les piliers essentiels», écrit, le 28 septembre 2025, le chef de l’Etat, gardien de la Constitution.
Une partie de la droite lepénisée, conservatrice, animée d’un esprit royaliste d’inégalité devant les Lois, mêlant racisme et démagogie, estime que les hommes politiques seraient au-dessus des lois ; ils bénéficieraient, s’ils ont la bonne couleur, d’un talisman d’immunité absolue. Dans leur conception d’une justice aristocratique, à deux vitesses, seuls les petits, les faibles, en particulier les racisés, par principe des «racailles», devraient, même pour les courtes peines, remplir les prisons, qu’il faudrait agrandir, en transformant les EPHAD fermés en lieux d’incarcération des racisés, avec une contribution financière forfaitaire, comme le forfait hospitalier ; ce serait «un choc carcéral» contre la récidive. Pour les fachos, et à la suite du de la victoire du PSG et le saccage, en juin 2025, des Champs-Élysées, il faut sanctionner sévèrement et ne plus chercher à comprendre, car ce serait excuser. Cette condamnation de Nicolas SARKOZY serait «un coup d’Etat judiciaire contre la séparation des pouvoirs», dit Henri GUAINO. C’est «une démonstration de force déguisée en justice», dit Mathieu BOCK-COTé. Cette chute spectaculaire de SARKOZY est le fait de «juges gauchistes», dit Philippe BERRY. Réagissant à ce jugement, l’ancien président estime que c’est «un complot de Médiapart», et a ajouté «toutes les limites de l’État de droit ont été violées. Aucun élément ne justifiait l’exécution provisoire. Il y a juste la volonté d’humiliation», dit-il à J.D.D. C’est la gauche, sous François MITTERRAND et son ministre, Robert BADINTER, qui avait supprimé, en 1983, le délit d’association de malfaiteurs, mais la droite, en 1986, estimant que la gauche serait laxiste avec la racaille, sous Albin CHALANDON, ministre de Jean CHIRAC qui a rétabli cette incrimination.
En fait, Nicolas SARKOZY, celui qui voulait «vitrifier» Laurent GBAGBO, un ancien président de la Côte-d’Ivoire (11 ans de rétention illégale à la CPI, puis acquitté, mais éliminé de la présidentielle du 25 octobre 2025), est un délinquant multirécidiviste, un abonné devant le prétoire pénal, fréquentant des malfaiteurs. En effet, dans son rapport obsessionnel et malsain à l’argent, Paul BISMUTH avait été poursuivi, pour abus de faiblesse, mais vainement, avec un non-lieu, en 2013, concernant la riche héritière de L’Oréal, Mme Liliane BETTENCOURT (1922-2017). L’affaire «Paul Bismuth» est liée à des écoutes téléphoniques illégales. L’ancien a été reconnu coupable d’avoir tenté d’obtenir d’un magistrat à la Cour de cassation, Gilbert AZIBERT, des informations secrètes issues d’une autre affaire le concernant (le dossier Bettencourt). En échange, l’ancien président aurait promis d’intervenir en faveur du magistrat pour qu’il obtienne un poste de prestige à Monaco. Nicolas SARKOZY a été condamné en 2021 à trois ans de prison, dont un an ferme à purger sous bracelet électronique, ainsi qu’à une interdiction des droits civiques de trois ans. En 2024, la Cour de cassation a confirmé cette peine. Dans l’affaire dite Bygmalion, concernant les comptes de sa campagne électorale de la présidentielle de 2012, il a masqué les dépassements de ses comptes, et pour cela, en première instance, il a été condamné le 30 septembre 2021, à un an ferme, en appel le 14 février 2024, à un an, dont six mois ferme. Le 8 octobre 2025, son pourvoi sera examiné par la Cour de cassation. Par ailleurs, il a été mis en examen, en octobre 2023, pour «recel de subornation de témoin» et «participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’escroqueries au jugement en bande organisée», à la suite de la rétractation dans son témoignage, du financement libyen, de la part du franco-libanais Ziad TAKIEDDINE. D’autres affaires de corruption sont en cours d’instruction (Attribution de la coupe monde au Qatar en 2022, avec une implication de Michel PLATINI, Précontrat de 2 millions d’euros pour son ex-ami François de La BROSSE ; 500 000 € un contrat de conseil u groupe russe d’assurances Reso-Garantia).
Pour lui, «l’homme africain n’est pas entré dans l’histoire», à travers sa condamnation, il a posé un fait sans précédent en France : il est entré dans l’histoire par la petite porte, un ancien président sera un taulard. C’est donc, pour Nicolas SARKOZY, une condamnation infamante, après le maréchal PETAIN, après la Libération, condamné à mort le 15 août 1945, une peine communiée en détention à perpétuité, incarcéré, mort le 23 juillet 1951, à Port-Joinville sur l'île d'Yeu, où il sera inhumé. Finalement, dans ce procès, il a été dénoncé des mensonges, le mépris envers le tribunal, dans une stratégie de défense clanique. En particulier, le parquet financier a gravement fustigé «un pacte de corruption inconcevable, inouï ; un pacte conclu avec un régime sanguinaire, avec pour objectif de soutenir le financement de la campagne de celui qui deviendra le 6e président de la République». Le parquet a relevé des mensonges, des interférences et des manipulations. Nicolas SARKOZY a été décrit comme un homme «porté par une ambition personnelle dévorante».
Au moment où une bonne partie de la presse est rachetée par la haute finance, c'est une enquête d'association de malfaiteurs de Mediapart qui est à la base de la chute de Nicolas SARKOZY qui se croyait intouchable, tout puissant. En effet, si la vérité a éclaté au grand jour, c’est que le journal Médiapart d'Edwy PLENEL, est y pour grand-chose «Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter», telle est la devise de ce fameux et indomptable journal en ligne d’Edwy PLENEL. Finalement, ce tapage médiatique des groupes de presse des forces du Chaos, de la société du mensonge, de la dissimulation, de l’instrumentalisation, avait fini par tout brouiller dans notre esprit. En fin de compte, les gens honnêtes vont même jusqu’à par se culpabiliser ou s’autoflageller. C’est ça l’avancée considérable du fascisme, du totalitarisme décomplexé, dans les démocraties occidentales, un savant lavage de cerveau. Mais nous résisterons aux mauvais vents de notre temps, contre ce vrai archipel du Goulag qui se met en place. «Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux, au moins, faire en sorte que de ne pas être un point de passage», écrit, Alexandre SOLJENITSYNE (1918-2008).
I – Les puissants, les riches et les délinquants en col blanc, seraient-ils au-dessus des Lois ?
A – Qui est la racaille ?
En octobre 2005, deux jours avant la mort de Zyed BENNA et Bouna TRAORé, électrocutés après avoir tenté d'échapper à un contrôle de police, Nicolas SARKOZY s’exprimait, sur la dalle d'Argenteuil, et proposait de tout nettoyer au karcher «la racaille». Théoricien de l’identité nationale, il pensait, aux racisés, par principe, tous des délinquants. Mais, en ce 20e anniversaire de la mort injuste de Bouna et Zied, ayant provoqué de graves troubles, une colère sans nom, dans les banlieues, entre bracelet électronique et mandat de dépôt, qui est vraiment la racaille ?
À la suite de ses casseroles judiciaires, de toutes condamnations de Paul BISMUTH, celui qui prétendait lutter contre la «racaille», est bien devenu un délinquant multirécidiviste. En effet, Nicolas SARKOZY, poursuivi dans une dizaine d'affaires, témoigne de la confiance que l'on peut placer dans cette justice républicaine de la France. Ces procès de Paul BISMUTH attestent l'espoir que la Justice passera, non seulement pour crimes du passé, mais aussi pour le suffrage universel trahi lors des dernières législatives de 2024, une forfaiture.
Dans ses calomnies et son mépris souverain de l'autre, le théoricien de l'identité nationale, celui qui a légitimité les idées racistes et xénophobes en France, Nicolas SARKOZY avait non seulement associé, en septembre 2020, les «Nègres» aux «Singes», l’émission "Quotidien sur TMC", et à Grenoble, le 30 juillet 2010, s’alignant sur la rhétorique du Front national, une possible déchéance de la nationalité, aux Français issus de l’immigration, qui porterait à la vie d’un policier ou d’un représentant de l’autorité publique. Pour Paul BISMUTH et son camp, ces «Français de papiers» ou d'étrangers ne seraient que des délinquants, des tricheurs et des indolents voulant uniquement profiter des avantages sociaux. Il avait introduit, insidieusement et habilement, le poison de la haine en vantant ou glorifiant cette «France qui se lève tôt». Cette rhétorique de la calomnie systématique, confusionniste et foncièrement malhonnête, ne tient pas du fait que depuis les années 1960, les emplois les plus pénibles, précaires et souvent mal rémunérés, sont occupés, majoritairement, par des racisés, cette «France qui se lève tôt». Il suffira de prendre le métro ou le RER, à Paris, à 6 heures du matin, pour se convaincre de cette «submersion migratoire», mais par la valeur travail. S'ils faisaient tous, un jour, la grève, on verrait mieux l'utilité de leur présence dans ce pays.
«Qui aurait imaginé le général de Gaulle mis en examen» avait ironisé François FILLON, dans sa compétition contre Nicolas SARKOZY ? François FILLON a, lui-même, pris «une veste» au sens figuré, comme au sens propre, puisqu’il a été désormais pour l'emploi fictif de son épouse et ses costumes. En effet, le 17 juin 2025, François FILLON est définitivement condamné à quatre ans de prison avec sursis, 375 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Il a intenté un pourvoi en cassation.
On sait maintenant que Paul BISMUTH a été condamné définitivement dans l'affaire des écoutes téléphoniques et porte un bracelet électronique. L'ancien président est mis en examen dans le financement de sa campagne présidentielle de 2007 et dans le cadre de la rétractation de Ziad TAKIEDDINE. D'autres affaires pénales attendent le récidiviste Paul BISMUTH, notamment l'affaire Bygmalion, avec un système de fausses factures de 20 millions d'euros, pour masquer le dépassement des comptes de sa campagne électorale.
De nos jours, les amis de Nicolas SARKOZY, Moussa DARMANIN, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, et Bruno RETAILLEAU, ministre de l’Intérieur, veulent saper l'autorité des juges, en étendant les pouvoirs de la police, en criminalisant le délit de séjour irrégulier, ainsi qu’une extension des délais de rétention des étrangers illégaux, mais aussi des mandats de dépôt, pour les peines de courtes durées, concernant les délits commis par les racisés. Chaque jour, dans cette mise en place du Code de l’indigénat, les deux ministres sarkozystes, ont une proposition nouvelle d’attentat contre les libertés et la dignité du racisé, qui perd progressivement, tous les droits en qualité d’être humain, comme au temps de l’esclavage. «L’homme africain n’est pas entré dans l’histoire», avait dit Nicolas SARKOZY, alias Paul BISMUTH.
B – Les «Républicains», parti serait des «gens honnêtes» ?
Bruno RETAILLEAU, Ministre de l’intérieur, devenu président du parti "Les Républicains" et candidat probable aux présidentielles de 2027, prétend, dans une affiche, que son organisation politique serait le «Parti des gens honnêtes». Les délinquants en col blanc seraient-ils estimables et honorables ?
Jean-Marie LE PEN disait de son parti, une entreprise familiale, «la tête haute», mais la condamnation récente de Marine LE PEN rime avec «Mains sales, tête basse», suivant un titre du journal L’Humanité. Le 31 mars 2025, Marine Le PEN a été condamnée pour détournement de fonds publics à quatre ans de prison, dont deux ferme, et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire. Le procès en appel se tiendra finalement du 13 janvier au 12 février 2026.
Chez «les Républicains», les casseroles judiciaires se multiplient. En effet, Claude GUÉANT, un homme arrogant et imbuvable, quand il était ministre de l’Intérieur, est devenu un délinquant récidiviste. En plus de la sanction pénale du 25 septembre 2025, à 6 ans de prison, Claude GUÉANT, un homme dur et injuste à l’encontre des racisés, avait été déjà condamné, en 2022, par la Cour d'appel de Paris dans l'affaire dite des «primes en liquide». En effet, de juillet 2002 à mars 2004, Claude GUÉANT a perçu 210 000 euros en liquide prélevés sur les «frais d'enquête et de surveillance». Pour ces faits en appel, Claude GUÉANT a été condamné à 2 ans de prison ferme et une mise à l'épreuve, cinq ans d'interdiction d'exercer toute fonction publique, une amende de 75000 euros et le remboursement de 105 000 euros au titre des dommages et intérêts.
Claude GUÉANT, un homme cultivé et intelligent, qui a donc désormais un lourd casier judiciaire, un porte-flingue de Paul BISMUTH, s'était illustré dans ses déclarations racistes, avec une grande bassesse stigmatisante. «Toutes les civilisations ne se valent pas», avait-il dit. L'accroissement des «musulmans en France, avec un certain comportement, pose problème» avait-il. «Il faut que la France reste la France» précise-t-il. Pour lutter contre la délinquance commise par une frange de la population «qui a fait de la violation de la loi pénale un mode vie », il faut les expulser, massivement, réclamait l'UMP.
En définitive, le Parti les Républicains, anciennement le R.P.R., a-t-il vraiment les mains propres, serait-il le «parti des gens honnêtes» ? Celui qui est pris la main dans le sac, des faits de corruption, serait-il plus respectable qu’un sans-papiers placé en centre de rétention pendant 90 jours, que certains veulent allonger à 7 mois ?
Rachida DATI, l’ancienne garde des Sceaux, maire du 7e arrondissement et maintenant ministre de la Justice, a devant elle un agenda judiciaire. En effet, Rachida DATI, soupçonnée par la justice, d'avoir perçu 900.000 euros d'une filiale de Renault-Nissan, sans contrepartie réelle, alors qu'elle était eurodéputée, a été renvoyée en correctionnelle, corruption et trafic d'influence dans le cadre de l'affaire Renaud-Carlos GHOSN, en fuite au Liban.
En sa qualité de PDG Renault-Nissan, le 19 novembre 2018, Carlos GHOSN avait été arrêté à Tokyo sur fond d'accusations de malversations financières, pour dissimulation de revenus et abus de confiance aggravé notamment. Après 129 jours de détention, il était libéré sous caution, mais placé en résidence surveillée, en attente de procès. Finalement et de manière totalement rocambolesque, Carlos GHOSN s'était évadé de France, le 29 décembre 2019, dissimulé dans une malle d'instruments de musique, fuyant vers le Liban. Carlos GHOSN est soupçonné au Japon, aux États-Unis ou en France, d'avoir détourné à son profit plus de 40 millions d'euros de l'Alliance Renault-Nissan (RNBV) par un réseau de sociétés-écrans et de montages financiers au Liban, au Brésil, aux Pays-Bas ou dans les îles Vierges britanniques. Par ailleurs, Carlos GHOSN avait organisé une fastueuse soirée dans l'enceinte du Château de Versailles, officiellement, pour fêter le quinzième anniversaire de l'alliance de Renault et Nissan, mais cela correspondait à son 60e anniversaire, une 634 000 euros, réglée par la filiale néerlandaise Renault-Nissan BV.
Le 30 janvier 2004, le tribunal correctionnel de Nanterre, a condamné Alain JUPPé, le «meilleur d’entre nous» disait Jacques CHIRAC, à 18 mois de prison avec sursis, assortis d'une peine d'inéligibilité d'un an, «abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêts». En effet, Alain JUPPé, un homme de confiance de Jacques CHIRAC, un élément clé d’un système de financement occulte d’emplois au sein du RPR, l’ancêtre du parti «Les Républicains», financé par la mairie de Paris et des entreprises désireuses de passer des contrats publics. Jacques CHIRAC a été condamné le 15 décembre 2011, par le tribunal correctionnel de Paris, après la fin de ses mandats de président de la République, à deux ans de prison avec sursis pour détournement de fonds et d'abus de confiance.
S’agissant de Patrick BALKANY, maire de Levallois-Perret, le 30 juin 2021, Cour de cassation a confirmé, définitivement, sa culpabilité des Balkany pour blanchiment de fraude fiscale aggravé, mais a ordonné un nouveau procès concernant le quantum des peines, estimant que l'on ne peut leur confisquer le moulin de Cossy, à Giverny, dans l’Eure, dans la mesure où il appartient aux enfants. Cette affaire délictueuse, de fraude fiscale, trouve son origine dans des sommes d'argent non déclarées détenues en Suisse dans les années 1980-1990.
Alain CARIGNON, maire RPR de Grenoble et ministre, a été, le 3 octobre 1995, condamné, par la 6e chambre du tribunal correctionnel de Lyon, dans le cadre le financement de sa campagne aux élections municipales, à 5 ans de prison, dont 1 an avec sursis, 400.000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité, pour corruption, recel d'abus de biens sociaux et subornation de témoins tribunal. Pour le tribunal correctionnel, Alain CARIGNON, «a commis l'acte le plus grave pour un élu. Investi d'un mandat public, il a sollicité et reçu directement ou indirectement des dons en vue d'accorder la concession du service public des eaux de Grenoble à la SDEI et à la Lyonnaise des Eaux. Sa responsabilité est bien plus grande que celle des corrupteurs actifs. Il n'avait pas le droit de trahir la confiance des électeurs».
Finalement, quand Paul BISMUTH, ayant sollicité le financement de sa campagne, de la part d’un chef d’Etat étranger, KADHAFI, suspecté de terrorisme, parle de «racaille», il faut se méfier des mots. La délinquance en col blanc, c’est aussi, et surtout de la racaille. Une presse, complaisante et complice, concentrée aux mains de la haute finance, disculpe et justifie les agissements délictueux d’une mafia politique, cupide et voyou. «La défaite du journalisme annonce toujours le recul de la liberté», écrit, en 2018, dans «La valeur de l’information», Edwy PLENEL. Les riches et les puissants se protègent et les petits doivent trinquer, à la moindre infraction.
II – Pour une Justice diligente, égale et équitable pour tous, Petits, comme Grands
A – Contre la complaisance envers les politiques véreux
Marine LE PEN, jadis, réclamait, à propos de l’affaire Jérôme CAHUZAC, une «inéligibilité à vie, pour les élus condamnés de détournement de deniers publics. Et moi, ma veste est immaculée, voilà. Ils auront beau s’agiter, ils n’arriveront pas à me salir, parce que j’ai une éthique, j’ai une morale, que je m’y tiens. Et moi, quand je réclame éthique et morale, je me l’applique à moi-même» disait-elle, le 5 avril 2013, à «la Matinale de Public Sénat», diffusée avec Radio Classique. Dès qu’un élu véreux est pris la main dans le sac, c’est une justice politique, et on s’en prend aux juges, pour les menacer. La Justice, comme une presse libre et indépendante, doit être défendue, très vigoureusement ; elle est le socle fondamental de l’Etat de droit, de la démocratie.
Dans ces procès, contre la voyoucratie des politiques, les forces du Chaos entendent la saper l’autorité de la justice, dès que l’un de la caste supérieure est personnellement concerné, en distinguant la bonne graine de l’ivraie. En effet, Moussa DARMANIN, garde des sceaux, ministre de la justice, et François BAYROU, théoricien de la submersion migratoire, ont négocié, de façon publique, en pleine séance de l’Assemblée nationale, pour éviter la censure, que Marine LE PEN, une voleuse, soit jugée rapidement, avant les présidentielles de 2027. La rhétorique des forces du Chaos, est constamment de discréditer l’Etat de droit, les juges, au motif prétendu que la justice serait laxiste à l’égard des racisés, par principe, tous des délinquants potentiels. Mais quand un délinquant en col blanc est pris la main dans le sac, tous crient au gouvernement des juges, et parfois même menacent ou insultent les juges, comme dans cette affaire Marine LE PEN. En effet, Marine LE PEN, coupable de détournements, condamnée à 4 ans de prison avec deux fermes, ainsi qu'à 5 ans d’inéligibilité assortis d’une exécution provisoire, sera jugée en appel, du 13 janvier au 12 février 2026. Bien que le racisme soit un délit en France, celle qui en a fait son fonds de commerce, et qui fustige constamment les étrangers, est bien une voleuse, une délinquante ; elle a arrosé une bonne partie de sa famille, l’argent de l’Union européenne, mais veut se placer au-dessus des Lois de la République. Il faut agrandir et construire de nouvelles prisons, ce n’est pas pour elle, mais pour les autres, les racisés.
Dans ces instructions du Garde des Sceaux pour une cette justice à deux vitesses, il veut enfermer les enfants mineurs des racisés, même pour les courtes peines, sévir sur les petits dealers de drogue, et, naturellement, épargner les gros bonnets de tous les trafics, planqués dans les beaux quartiers et devenus respectables. Je rappelle que 2026, c’est le 20e anniversaire de Bouna et Zied qui ont cramé dans un transformateur électrique, les familles de 130 jeunes, étouffés à mort, par les forces de l’ordre, dont Adama TRAORé, attendent depuis plus de 20 ans. À Paris, dans de nombreux squats, dans les années 80, des étrangers, sans-papiers. Un bidon d’essence, une centaine de victimes et les propriétaires de ces immeubles, avec des méthodes d’expulsion criminelles, n’ont jamais été inquiétés. La vie de chaque individu est sacrée. Si le Garde des Sceaux est dans de bonnes dispositions, que la justice soit, enfin, faite. En raison de ces traitements différenciés, on s’achemine en Europe vers un système de ségrégation raciale, comme aux États-Unis après la Guerre de Sécession, par un système d’Apartheid, organisant «un privilège de l’homme blanc», pour reprendre une expression de Jean-Paul SARTRE, et dépouillant le racisé de ses droits fondamentaux, le droit à une Justice diligente et équitable, qui n’est pas liée à sa nationalité, mais à sa qualité d’Homme. «Justice delayed, Justice Denied», ou «Justice différée, Justice déniée», disait le juge afro-américain, Thurgood MARSHALL (1908-1993).
Dans cette conception des forces du Chaos d’une Justice féroce à l’égard des faibles et laxistes, pour les puissants, dans «ce privilège de l’homme blanc», sont devenus des gens respectables, cherchez l’erreur. Ainsi, Roman POLANSKI, réalisateur, qui a violé Samantha GEIMER aux Etats-Unis, qui n'avait que 13 ans, s'est enfui des États-Unis pour se réfugier en Suisse. S’il retournait aux États-Unis, c’est direct à la prison. Mais Roman POLANSKI a été applaudi et primé en France d'un César, le 28 février 2020, à la salle Pleyel, à Paris. L’affaire du grand prédateur sexuel, qui s’attaquait à des filles mineures, Jeffrey EPSTEIN (1953-2019) et qui s’est suicidé maintenant, concerne des personnalités en France, et qui n’ont jamais été inquiétées. De grands prédateurs sexuels, de l’Église, même d’associations caritatives, ou des artistes du Showbiz, n’ont pas encore été déférés devant la justice, dès l’instant qu’ils ont la bonne couleur. Ainsi, Johnny HALLYDAY (1943-2017), accusé de viol et qui doit 10 millions d'euros au fisc, a eu droit à un hommage national, aux frais des contribuables. Donald TRUMP, un grand prédateur sexuel, raciste, homophobe, complotiste, est réélu président des États-Unis.
B – La voyoucratie de certains capitaines d’industrie
Des capitaines d’industrie, qui ont souvent tapé dans la caisse, ont souvent bénéficié d’une grande complaisance de la part de la classe politique. C’est le cas de Carlos GOHN, avec son anniversaire royal au Château de Versailles. Il a fallu que la justice japonaise s’en mêle, pour que subitement on se rappelle que Carlos GOHN, qui avait tendance à confondre les deniers des entreprises et les siens, s’enfuie au Liban. Cette affaire va éclabousser Rachida DATI, ancienne Garde des Sceaux, maire du 7e et toujours ministre de la Culture. Les pratiques mafieuses de Vincent BOLLORÉ en Afrique sont connues et trainent toujours devant la justice française. C’est bien Vincent BOLLORÉ, en 2010, qui avait aidé Alpha CONDE, devenue depuis lors un dictateur sanguinaire en Guinée, de transformer ses 17% au 1er tour, en victoire éclatante au 2e tour. C’est surtout Vincent BOLLORÉ qui se construit un empire de presse pour les forces du Chaos, une grande menace pour le pluralisme démocratique, que cette force concentration de l’information aux mains des puissants.
François BAYROU, théoricien de la submersion migratoire, a été censuré sur la question de la grande contrainte budgétaire. Or, on ne le dit pas assez, l’immigration illégale est une grande aubaine pour les entreprises, au lieu de se délocaliser, utiliser massivement des sans-papiers, dans payer les charges sociales. Par conséquent, ces nombreux chefs d’entreprises voyous, qui fraudent massivement et ne paient pas leurs cotisations, sont des délinquants. Une circulaire du 23 janvier 2025, du ministre de l’Intérieur Bruno RETAILLEAU, et un arrêté du 21 mai 2025, fixant la liste des métiers en tension et les zones géographiques, ont été publiés. Par conséquent, l’administration partait, théoriquement, d’un bon sentiment, que ceux qui vivent de leur travail, sont honnêtes et utiles à la France, devraient être régularisés et les employeurs vont payer les cotisations et charges sociales. Or, dans la pratique, ces régularisations sont un piège pour les étrangers qui veulent se faire régulariser. Certains Préfets de la République, au lieu d’appliquer le droit, sont au cœur d’un vaste système d’Apartheid, d’un Code de l’indigénat, visant à enfoncer les étrangers, même ceux participent au bien-être et au développement de la France, à travers leur force de travail. En effet, dans les préfectures, au lieu de donner une chance à l’étranger, c’est souvent un piège du ministre de l’Intérieur et président de «Les Républicains», vont fouiller dans les poubelles, depuis leur entrée sur le territoire, et trouver des arguments fallacieux pour leur délivrer une obligation de quitter le territoire, et surtout une interdiction du territoire français. «Messieurs, vous n’avez plus votre place en France, et vous n’êtes pas les bienvenus. Vous pouvez partir dans la dignité ou par la force. Ce serait gagnant pour vous, et pour nous, si vous choisissez la première solution», dit Alexandre BRUGERE, Préfet des Hauts-de-Seine. La Préfecture de l’Essonne, tristement célèbre, refuse d’instruire les demandes de régularisations, et celle de Bobigny, a annulé toutes les demandes de régularisation, au motif prétendu qu’elle a elle-même changé le protocole, la procédure dépendant de la fantaisie de chaque Préfet. Les délais d’instruction sont si longs. On demande aux sans-papiers de produire les 12 derniers mois de bulletins de paie, alors qu’ils sont encore en situation irrégulière, non déclarés ; ces procédures représentent bien un grave déni de Justice pour les racisés. Or, une règle de droit ne devrait pas soumise aux caprices de l’Administration, selon l’origine nationale ou ethnique ; gare aux Algériens, mieux vaut être Ukrainiens ou Britanniques. La règle de droit, n’étant pas à géométrie variable, doit être claire, prévisible, intelligible et la même pour tous. Dans ce régime d’Apartheid et de ségrégation raciale, la dématérialisation du système des titres de séjour, concernant justement des personnes en situation régulière, est la plus grande escroquerie de notre temps. Au lieu de fluidifier et faciliter le renouvellement des titres de séjour, des personnes en situation régulière, basculent très souvent dans une situation irrégulière, certaines préfectures refusant de leur donner un rendez-vous. C’est de simples circulaires que de nombreux droits de personnes racisées sont remis en cause. C’est ainsi que la circulaire du 2 mai 2025, sur la naturalisation, de Bruno RETAILLEAU, ministre de l’Intérieur et président de «Républicains», censée entrer au 1er janvier 2026, est appliquée par l’Administration. Si le demandeur, même régularisé de longue date et bien intégré, avait été pendant un court temps, sa naturalisation est refusée.
En définitive, cette condamnation de Paul BISMUTH est un très fort signal de la Justice. En effet, personne, y compris les Préfets ou les Politiques, ne devrait être au-dessus de la loi, qui nous protège tous. Encore un Grand Bravo à Médiapart et aux Juges, garants de l’Etat de droit, qui méritent notre grande considération !
Au gnouf, les cols blancs corrompus ! Racaille !
Références bibliographiques
ARFI (Fabrice) LASKE (Karl), «Procès des financements libyens : le jour où Nicolas SARKOZY a appris qu’il ira en prison», Médiapart, 25 septembre 2025 ;
ARFI (Fabrice) LASKE (Karl), «SARKOZY-Kadhafi, la preuve du financement», Médiapart, 28 avril 2012 ;
ARFI (Fabrice) LASKE (Karl), Avec les compliments du guide. Sarkozy-Kadhafi, l’histoire secrète, Paris, Fayard/Pluriel, 2021, 608 pages ;
ARFI (Fabrice), L’affaire Bettencourt, un scandale d’État, Paris, Don Quichotte, 2010, 400 pages ;
ARFI (Fabrice), Le contrat de Karachi, l’affaire que Sarkozy voudrait oublier, Paris, Stock, 2010, 364 pages ;
ARFI (Fabrice), Sarkozy-Kadhafi : Dix ans d’enquête. Un procès historique, Paris, Delcourt, BA (Amadou, Bal), «Johnny HALLYDAY, idoles des Français», Médiapart, 8 septembre 2018 ;
BA (Amadou, Bal), «Adama TRAORé : Vérité et justice, 4 ans après», Médiapart, 19 juillet 2020 ;
PLENEL (Edwy), Finissons-en ! Faits et gestes du président Sarkozy, Paris, Seuil, 2018, vol 2, 256 pages ;
PLENEL (Edwy), La valeur de l’information, Paris, Don Quichotte, 2018, 226 pages ;
SOLJENITSYNE (Alexandre), L’archipel du goulag, Paris, Points, 2014, 912 pages ;
BA (Amadou, Bal), «Marine LE PEN, coupable de détournement de deniers publics», Médiapart, 31 mars 2025 ;
BA (Amadou, Bal), «Rokia TRAORE, artiste malienne, en galère, enfin libre, après 4 années de galère», Médiapart, 23 janvier 2025 ;
BA (Amadou, Bal), «Johnny HALLYDAY, idole des Français», Médiapart, 8 septembre 2018 ;
BA (Amadou, Bal), «Adama TRAORé : Vérité et justice, 4 ans après», Médiapart, 19 juillet 2020 ;
BA (Amadou, Bal), «Jean-Paul SARTRE, un philosophe anticolonialiste», Médiapart, 14 février 2023.
Paris, le 25 septembre 2025, par Amadou Bal BA