Marcuse[i] qualifie la mondialisation de système capable de réprimé soit par les forces de l’ordre soit par « un appareil d’endoctrinement technique et idéologique en constant perfectionnement » comme les médias, l’école, etc que le néo-libéralisme, annonce–t-il en 1976, intensifiera. Contrôle social formel et informel animant la vie économique, politique et sociale, d’un totalitarisme de plus en plus prégnant étaient déjà des caractéristiques du nazisme soulignées par Marcuse.[ii]
Crise et renforcement du contrôle social
Au nom de la cohésion sociale, le contrôle social dont l’objet est d’être un vecteur d’intégration sociale se révèle le plus souvent comme un facteur de domination, de différenciation, de stigmatisation et d’oppression des plus précaires au final, devient l’outil de légitimation des hiérarchies inversées et des marginalisations sociales.
La notion de contrôle social, portée par l’Ecole de Chicago à partir de 1920 tendait à identifier les processus de transmission des normes sociales, et de maintien des individus dans la conformité aux normes à des fins de cohésion sociale et /ou de domination.
Deux niveaux de contrôle social sont généralement mis en évidence :
- Le contrôle formel par les corps constitués via l’expression d’un jugement et d’une sanction (police, tribunaux ...) ; Toutefois si le contrôle formel vise la conformation à la norme, ce processus peut aussi en réaction, s’avérer être un moteur de déviance (voir la théorie de l’étiquetage) [iii]. La stigmatisation peut en effet conduire les individus concernes à se percevoir comme déviants, les engager dans une spirale d’opposition voire les entrainer dans une culture de délinquance. Sortir de la stigmatisation pour se soumettre à la norme suppose la mise en place de stratégies de gestion du stigmate (voir les travaux de E Goffman).
Mais aussi renforçant le contrôle formel, les religions et systèmes de croyance qui exercent un contrôle plus prégnant que les lois édictées par l’Etat parce qu’ils reposent sur l’intériorisation par les individus des valeurs qu’ils prônent, donc d’un auto-contrôle (maitrise de soi, contrôle des émotions, refoulement des pulsions,..). L’autocontrôle est induit et rejoint les processus d’apprentissage et de socialisation, et les hiérarchies, catégories, rôles sociaux, et les systèmes de distinction qui les caractérisent ;
- Le contrôle informel exercé par chacun par tous sur chacun, par les groupes sociaux face à tout écart à la norme ou de mise en danger de la cohésion sociale : entreprise, association, écoles, amis, famille .... Il s’exerce via des manifestations d’encouragement (paroles d’encouragement) ou de désapprobation (rires et commentaires), de promotion ou de marginalisation voire d’exclusion social.
La rupture du lien social constaté dans les banlieues depuis les années 70-80, renforcée par la montée en puissance du chômage rendent inefficient le contrôle informel exercé par l’école, l’entreprise, les associations ... renforçant a contrario la ghettoïsation et la communautarisation des banlieues et des quartiers dits difficiles, les pouvoirs, les hiérarchies et les économies parallèles.
La contrôle des normes s’applique différemment d’une catégorie sociale à l’autre et a un retentissement différent selon les catégories sociales. La relative décontraction des catégories supérieures à l’égard du fisc peut témoigner d’un ressenti différencié à l’égard de la loi selon l’appartenance à l’une ou l’autre catégorie sociale. Le contrôle social est ressenti comme particulièrement ténu, illégitime, prégnant ... par les catégories les plus précaires : (pauvres, immigrées) ...là où les catégories supérieures, gardiens du temple, se sentent parfois autorisés à des déviances, d’autant plus aisément que leur statut social est perçu comme assurance d’impunité.
Depuis les années 70 et en période de crise économique, politique et sociale, les contrôles de proximité se multiplient et se sophistiquent via les technologies de l’information, et la puissance assurée par la concentration des groupes industriels et financiers de l’informatique et de la communication et à leur coopération avec les Pouvoirs Publics (voir Ignacio Ramonet Le Monde Diplomatique [iv]) dans tous les domaines de la vie privée, professionnelle ... Les systèmes du contrôle social s’étendent à tous les domaines de la vie professionnelle et privée .
Avec les processus de désindustrialisation et de déconstruction de la société, la montée en puissance du chômage, de la crise sociale et politique ... Entreprise, agence pour l’emploi, Banque, Poste, prestataires de services, gardiennage, associations sportives et sociales, simple voisinage, les acteurs de proximité sont sollicités à des degrés divers, et plus ou moins consciemment, depuis les années 2000 pour devenir autant de lieux et d’occasions de normalisation sociale des individus.
Nouvelles modes managériaux fondés sur la manipulation et le conditionnement des esprits (PNL, Lean industriel et du Lean administratif ....), peur du chômage, peur de l’exclusion participent au conditionnement et à l’endoctrinement plus ou moins conscient des individus qui ont massivement recours aux tranquillisants en tout genre. En 2010, en France, 18 % des adultes de 18 à 75 ans déclaraient avoir pris au moins un médicament psychotrope au cours des 12 derniers mois. En 2011, 19 % de jeunes scolarisés de 16 ans déclaraient avoir déjà pris des tranquillisants ou des somnifères.
Ainsi les médecins en France comme dans le monde occidental sont devenus des acteurs du climat social.
Dictature du consensus, transformation des individus en zombies, extension des contrôles et de la surveillance à tous les domaines de la vie entame et ronge au quotidien la démocratie.
Comme le disait Herbert Marcuse lui-même : « Contre le spectre du fascisme à l’américaine, la gauche, rongée par ses divisions, sans organisation efficace, livre un combat inégal. Son arme principale reste l’éducation politique - la contre-éducation - dans la théorie et dans la pratique : longue et pénible opération qui consiste à faire prendre conscience aux gens que les répressions qu’exige le maintien de la société établie ne sont plus nécessaires, et qu’il est possible de les abolir sans toutefois les remplacer par un autre système de domination. »II
Mixité sociale : leurre ou moyen d’un contrôle social de l’espace ?
Entre gentrification au service du clientélisme politique
et relégation, ghettoïsation des populations précaires
Depuis la révolution industrielle on parle des quartiers dits « difficiles », comme autant de lieux de non droit, comme autant de lieux de manifestation de la crise et de rupture du lien social. Les quartiers dits difficiles sont réapparus, ironie du sort, comme lieux de tensions extrême avec dans les années 70 - 80 le processus de désindustrialisation, conduisant à une paupérisation et à une ségrégation urbaine consacrant la panne de l’ascenseur social et la montée en puissance du chômage.
Aujourd’hui, le plus souvent, ces quartiers se situent à la périphérie de la ville, à la proximité des autoroutes et/ou des chemins de fer, ... cadre urbain et pari architecturalement sont pauvres, linéaires, massifs (chemin de grue brisant l’organisation sociale). Ils sont les lieux de relégation de plusieurs générations de populations à fort taux de chômage, d’origines étrangères ... de jeunes, confrontés aux échecs scolaires, au chômage, à la disparition des cadres de régulation sociale de la société industrielle du 20ème siècle, à l’effacement du mode d’intégration populaire traditionnel, à la recomposition du mouvement représentation et de revendications populaires... et à l’émergence et à l’imposition des règles d’une économie parallèle.
Les politiques de la ville qui se sont succédées ont tenté de réduire les facteurs de crise; 4 axes de solutions ont été retenus en près de 50 ans :
- actions sur l’environnement physique : en réponse aux facteurs de risques sociaux des architectures d’après-guerre (barres et tours), il s’agissait dans les années 1970, d’améliorer le cadre de vie pour favoriser la paix et l’intégration
- actions sur l’environnement humain : en réponse à ce qui apparait comme une ghettoïsation, c’est dans les années 80, l’idée de mixité sociale censée assurer l’équilibre social. La mixité sociale a souvent servi la gentrification de l’espace urbain et nous fait remarquer Matthieu Giroud[v] « il nous a toutefois paru important de rappeler que la mixité sociale, comme référentiel d’action ou principe militant et humaniste, conduit souvent au contrôle des classes populaires et de leurs modes d’appropriation du quartier ; contrôle que ces dernières peuvent être amenées à contester vigoureusement. »A titre d’exemple, la moyenne nationale de locataires non éligibles aux aides au logement, mais bénéficiant quand même d’un HLM s’établit à 50%. Mais les dérives sont fortes, 80% des habitants en HLM de Puteaux ne sont pas éligibles aux aides au logement, donc sont considérés, selon les critères étatiques, comme pouvant accéder et vivre dans du logement privé... or, en Ile de France, plus de 500 000 foyers sont en attente d’un logement social pour environ 80 000 attributions par an.[vi]
- responsabilisation des habitants : dans les années 90 mettent en avant le concept de nouvelle citoyenneté, s’efforcent d’enrayer la détérioration de l’environnement, de « responsabiliser » des habitants en les impliquant dans les opérations d’urbanisme
- gestion de proximité et médiation sociale : plus récemment à partir des années 2000, après les crises des banlieues, les politiques de la ville se proposent officiellement de retisser du lien social. Pour ce faire, ils prônent une médiation de proximité exercée par des professionnels de la ville comme les policiers, les facteurs, les gardiens d’immeubles se transformant peu à peu en auxiliaires de police.
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« La Médiation sociale » présentée comme remède à tous les maux devient, également une aubaine ! le moyen de conversion des métiers, eux-mêmes en crise ! liquidation des services publics au profit du privé, transfert au privé de fonctions régaliennes : école, police, santé, courrier, transport .... le libéralisme fait feu de tout bois pour assurer la rentabilisation de la sphère financière au prix d’une mise en conformité de la population (voir Naomi Klein : la stratégie du choc (https://vimeo.com/39037720).[vii]
Rien ne se perd ... tout se transforme : la police qui est frappée par les risques psycho sociaux, les suicides ... transport, Poste sont entrés dans un processus de liquidation par appartements Services publics en voie de démembrement dont on prétend reconvertir le personnel déclaré en surnombre et en souffrance, en acteurs de médiation sociale ! Cynisme radical ou aveu d’impuissance de l’Etat ? La logique politique qui préside à ces changements, n’est autre que l’expression du libéralisme, source de la crise ou des crises économiques, sociales, politiques (chômage, précarité, exclusion sociale, rupture des équilibres et des consensus, processus de radicalisation, ..., exacerbation des conflits sociaux).
Le libéralisme qui a conduit, les prestataires financiers à délaisser les facteurs des charges qui faisaient du secteur un secteur structurellement voué à la faillite, en un secteur fortement juteux grâce aux opérateurs de services adossés à la bulle financière dont l’activité est par construction rentable. Laissant à la sphère politique le choix ingrat entre une politique de gentrification et une politique de relégation des populations précaires et/ou dissidentes...
Le Libéralisme persévère dans sa double logique de pompe à finances des zones de rentabilité et de structuration de l’environnement politique grâce à l’imposition d’un processus d’unification de la pensée et des comportements des individus ... néanmoins citoyens ! les opérateurs, sous couvert de rationalité mettent en œuvre des processus de dépossession de la sphère politique de ses prérogatives : par les modalités de gestion et de management c’est un projet politique, un projet de société et un ordre social qui se mettent en place, de facto, à l’insu de tous !!!! Comment ? via une succession de transferts au nom de la rentabilité et de l’efficacité financière : transfert de missions publiques voire régalienne vers la sphère privée (associations et entreprise), mutation des acteurs de l’organisation et de la gestion politique et sociale de l’espace urbain (carrières et formations non plus assurées par l’Etat selon les valeurs de services publics mais assurées selon les normes et valeurs du management efficace et rentable de la sphère privée), autant de transferts et de mutations régis par le transfert de fonds publics vers la sphère financière privée.
L’exemple des gardiens d’immeubles, entre techniciens d’entretien, agents de sécurité, médiateurs et intermédiaires de police est particulièrement intéressant à ce titre.
Les gardiens-concierges[viii] : moyen du contrôle social ou piège ?
Avec la Révolution Industrielle, s’imposent de manière permanente et centrale les questions de l’habitat social et du contrôle social des masses populaires. Les concierges d’immeubles bourgeois garant de la « bonne tenue » des immeubles, puis des cités ouvrières, jusqu’aux gardiens d’Immeubles sociaux au 21 ème se sont professionnalisés au fil du temps. De tout temps, ils veillent à l’homogénéité des populations et à la conformité des comportements, ils participent à la mission de contrôle des populations pauvres et précaires, potentiellement déviantes, potentiellement revendicatives. Souvent dans l’inconscient populaire, perçus informateurs des bailleurs, dans les temps de luttes sociales et de guerre comme auxiliaires de police. au 19 siècle, se développe de façon massive dans les grandes villes et dans les cités ouvrières, le métier de concierge qui ne nécessite aucune compétence particulière. Les fonctions exercées par les concierges étaient multiples : entretien et maintenance, contrôle et régulation, encaissement des loyers. Le développement de la fonction résulte
- d’un souci d’efficacité dans le recouvrement des loyers
- d'une volonté de moralisation, de normalisation et de contrôle des classes populaires
après la guerre, le métier tombe en désuétude dans les immeubles bourgeois où digicodes, systèmes de protection, vidéo-surveillance, ... recours à la technique et parallèlement aux sociétés de services d’entretien semble plus efficace mais connait un redéploiement en périphérie des villes au rythme du développement de l’habitat social : dans les années 50 puis 60, avec les ZUP (zone d’urbanisation prioritaire), via les HBM (habitations à bon marché) puis les HLM (habitations à loyers modérés). L’habitat social conçu au départ comme le moyen d’une ascension sociale se transforme en zone de relégation d’une population au final confinée à la désespérance : stigmatisation des populations, cadre bâti de mauvaise qualité, environnement urbain entravant toute dynamique de vie sociale.
Dans les années 90, le libéralisme s’instille dans l’habitat social comme dans les autres sphères économiques. Dans un premier temps il s’agit de rentabiliser l’activité de gestion locative, en développant l’action commerciale, en réduisant les effectifs administratifs grâce à un transfert de tâches sur les concierges ; peu à peu le métier de concierge se transforme en gardiennage : idéologie managériale, logique de marché et rentabilité économique. Le métier devient le vecteur de rentabilisation des bailleurs sociaux. Les gardiens, sont impliqués dans la politique sécuritaire et la gestion des conflits ; un rôle de gestion de proximité, de médiation sociale leur est confié, voire de la « paix sociale » pour ne pas dire de la « sécurité publique » ; Le bailleur leur demande de plus d’impliquer les locataires dans la politique de contrôle et de sécurité;
Le décret du 18 décembre 2001 impose une fonction de gardiennage ou de surveillance dans les immeubles ou groupes d'immeubles « de plus de 100 logements situées dans des zones urbaines sensibles ou dans des communes dépassant 25 000 habitants.
On est passé depuis les années 90 d’un poste majoritairement défini par des tâches d’entretien, de maintenance technique à un poste où les tâches de gestion de proximité et de gestion sociale sont les tâches du poste à forte valeur ajoutée.
Etrangement lorsqu’on analyse la fiches de poste des gardiens, on constate d’importants écarts entre le prescrit et le réel ;
Le recrutement de gardien suppose selon la fiche du CIDJ qu’il ait un CAP de gardien d’immeuble en poche ou d’agent de propreté et hygiène, de maintenance de bâtiments de collectivités, d’agent de prévention et de sécurité (APS). Les compétences en technique d’entretien, de maintenance et de sécurité sont donc privilégiées ; de façon cohérente, les tâches recensées dans la fiche sont les suivantes :
- accueil, information et orientation des résidents et visiteurs,
- nettoyage des parties communes, entrée et couloirs, sortie des poubelles et petite maintenance (changer des ampoules...),
- réception, enregistrement des réclamations pour les communiquer au syndic ou aux copropriétaires,
- surveillance générale des bâtiments et des espaces communs, avec constat et signalement de désordres si nécessaire,
- surveillance des équipements et application des règles de sécurité
On est loin des fonctions de médiations sociales pour lesquelles les gardiens sont sollicités. Toutefois la fiche Rome K2501 fait allusion à la mission de médiation sociale en précisant que le gardien est le premier interlocuteur des locataires. « Il entretient au quotidien un climat positif par sa disponibilité ... Il a un rôle de proximité des locataires (arrosage des fleurs, courrier ...) lui permettant de se positionner comme recours et médiateur entre les locataires et entre locataires et bailleur. Chargé d’éteindre à la source toutes tensions et conflits (loyers, maintenance, courrier ...) il est continuellement confronté à un stress important et quasiment 24 H sur 24 et 7 jours sur 7. La fiche Rome qui reconnait ce caractère de métier à risques précise : « Le gardien, dans sa carrière, doit être attentif à l’usure physique ou psychologique et réfléchir à des évolutions internes ou externes. Ces évolutions sont plus difficiles lorsque le gardien est employé par un particulier ou une société immobilière privée. »
Si la charge des tâches techniques est lourde, la charge de la fonction de médiation sociale l’est tout autant sinon plus forte (vecteur de RPS) en raison stress induit par une situation de quasi impuissance dans les habitats réputés les plus difficiles. Le gardien qui n’a ni la formation requise pour assurer une mission de médiation, ni l’autorité, ni l’extériorité qui permet de n’être pas personnellement concerné par la situation, d’avoir la distance nécessaire pour dénouer les conflits ; dans un environnement structuré de façon clanique en raison des origines, culturelles, religieuses, professionnelles, le gardien est par construction conduit à passer des alliances avec les potentats locaux ... et donc à renoncer à la mission impossible de médiation qui est la sienne ... La fonction du gardien se caractérise donc par une tension entre le bailleur et les locataires, et au niveau des locataires entre les clans qui veulent régir l’espace social dont il doit pour survivre devenir de facto l’allié.
Or les immeubles des zones de relégation sont décrits par Lapeyronnie (2008) comme un « contre monde » qu ’il « définit comme un « ordre social » régi par la culture de rue, la violence endémique, l’économie souterraine et une forme radicale de domination masculine ». D’autres études sociologiques des années 2000 ont montré le caractère destructeur de ces zones de relégation sur l’intégration sociale, la santé, la réussite scolaire et professionnelle.
Faire reposer la mise en œuvre d’une politique de mixité sociale par une gestion de proximité des gardiens est donc non seulement un leurre mais un piège pour les gardiens et les populations résidentes.
Sans l’installation de services de proximité, de lieux d’échange, de culture, de commerces qui font se côtoyer des salariés de toutes catégories sociales, de toutes cultures, de toute religion mais aussi en l’absence d’agora, de lieux de débats politiques, en l’absence de représentation sociale et syndicale, le concept de mixité sociale demeurera un piège et un cache misère au service du libéralisme et des projets de sociétés assagies, uniformisées, aseptisées qu’il véhicule
[i] Herbert Marcuse, « Un nouvel ordre », Le Monde diplomatique, juillet 1976 (ce texte fera l’objet d’une republication dans une prochaine livraison de Manière de voir consacrée aux « Sociétés sous surveillance », à paraître le 10 mars 2001).
[ii] Au cœur du débat sur le totalitarisme Raffaele Laudani Le Monde Diplomatique
[iv] Sociétés sous contrôle « Manière de voir », mars-avril 2001 Tous fliqués ! (inédit)
Ignacio Ramonet
Citoyens sous surveillance, par Ignacio Ramonet (Le Monde ...
https://www.monde-diplomatique.fr/1994/05/RAMONET/7298
L’empire de la surveillance - Ignacio Ramonet [lecture] -
maisouvaleweb.fr/lempire-de-la-surveillance-ignacio-ramonet-lecture/ 12 févr. 2016 -
[v] Mixité, contrôle social et gentrification par Matthieu Giroud , le 3 novembre 2015 in La vie des idées
[vi]Une enquête de Sylvain Tronchet
[vii] Naomi Klein : La stratégie du choc
[viii] Histoire de la souffrance sociale XVII é – XX eme siècle : « l’évolution de la fonction des gardiens d’immeubles : du contrôle des classes dangereuses au traitement de la souffrance sociale » Laurence Ellena