Sous le nom des "Citrons pressés" se rassemblent des profs de Lettres de 14 lycées publics et privés de Vendée.
Depuis des mois nous alertons, manifestons, écrivons sans relâche aux chefs d'établissements,
aux IPR, au ministre et tout récemment, au sénat. Tout cela parce que nous aimons notre métier.
Tout cela parce que la réforme est d'une brutalité qui va rendre les cours de français intenables à la rentrée.
Peine perdue, nous nous heurtons au mur du silence, de l'indifférence et du mépris.
Pour autant, aucune envie de baisser les bras, aucune envie de nous laisser écraser.

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