Sarkozy est un ennemi de classe comme rarement il s'en est déclaré. Nous ne reviendrons pas aujourd'hui, dans ce blog au titre explicite, sur les raisons qui ont facilité l'accès au pouvoir à ce personnage, inféodé au patronat et à l'aristocratie bourgeoise au sens large du terme et, par ailleurs, d'une médiocrité intellectuelle et morale difficilement égalable. Non, aujourd'hui nous allons laisser le président nous amuser. C'est dans Le Monde et cela se passe de commentaires. Jeunes, chômeurs, précaires, peuple subissant les outrages du sarkozysme, profitez-en : c'est gratuit et cela peut redonner du courage pour préparer le "dégagement" du bonhomme et de la politique qu'il charrie...On revient à la politique sérieuse dès que possible.
Sollers sur la faute de prononciation de Sarkozy: « Le Roland ‘Barthesse’ a claqué comme une fausse note à Pleyel » (blog "L'Elysée côté jardin" du Monde)
Nicolas Sarkozy pensait-il à Yann Barthès, le journaliste du petit journal sur Canal Plus ou à Fabien Barthez, l’ancien gardien de but de l’équipe de France de Football ? Toujours est-il que mercredi 28 septembre, le président de la République prononça Roland « Barthesse » lorsqu’il évoqua le sémiologue Roland Barthes, auteur de Mythologies. Devant un parterre d’intellectuels français, il remettait les insignes de commandeur dans l’ordre du mérite à l’intellectuelle d’origine bulgare Julia Kristeva et évoquait ses rencontres lorsqu’elle débarqua à Paris. Son époux, l’écrivain Philippe Sollers, en rit encore : « le Roland ‘Barthesse’ a claqué comme une fausse note à Pleyel », déclare-t-il.
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