Trop souvent, je prends conscience que certains de mes amis me considèrent comme leur psychanalyste attitré. En effet, dès qu’ils sont confrontés à un problème, dès qu’une angoisse les étreint, ils s’empressent de me confier leurs préoccupations et leurs souffrances physiques ou psychologiques, leurs tourments et leurs peines.
Je réalise qu'ils le font, d’une part parce que je ne manque pas de les écouter attentivement, d’autre part parce qu’ils savent bien, qu’au terme de nos entretiens, ils auront entendu les mots appropriés, retenu les pensées exprimées à même de les soulager…
Je prends alors conscience que ce sont mes proches, mes intimes et qu’en s’adressant à moi, en se tournant vers moi et en sollicitant mon aide, ils reconnaissent le travail que j’ai effectué sur ma propre personne, tout au long des années (l’écriture est sa dimension cathartique puissante, le yoga dont la pratique, assidue, m’accompagne depuis bientôt trente ans, ma longue psychanalyse et son prolongement didactique infini, mon intérêt toujours plus grand pour la philosophie, et en particulier ma prédilection pour l’un de ses objets d’étude : le bonheur) ; ils reconnaissent donc, et me confirment ainsi, l’efficacité de ce travail…
Le bonheur n’est pas inné. Il est différent pour chacun parce chacun est unique. On pourrait alors en déduire qu’il faudrait un apprentissage individualisé du bonheur, un bonheur sur-mesure en somme. C’est presque cela, dans la mesure où être heureux est le terme d’un développement qui consiste à devenir soi.
Loin de constituer « un idéal de l’imagination » comme le croyait Kant, le bonheur s’enseigne : oui, être heureux, le devenir, s’apprend donc.
Tout commence par le lucide constat que l’on n’est pas heureux : quelque chose nous manque, quelque chose d’indéfinissable mais d’essentiel à notre existence. Cependant, pleurer sur ce manque est vain. Accepter provisoirement cet état de fait apporte un soulagement immédiat car l’on sait que l’on est entré dans un processus de remédiation, de guérison du malheur et que l’on a déjà commencé à cheminer vers le bonheur.
Quand j’ai commencé à écrire le roman « L’Enigme du bonheur », j’en étais à ce stade de la compréhension nécessaire au changement souhaité : le passage de cette vie qui ne nous satisfait pas à une existence choisie, désirée et aimée.
Alors, j’ai entrepris de relire les philosophes antiques et modernes afin d’y recueillir le matériel intellectuel indispensable à une réflexion inévitable lorsqu’on est en quête de bonheur.
Cette quête je l’ai menée par écrit, par la médiation d’une fiction romanesque, mais elle est sincère et authentique : il s’agit d’une véritable interrogation sur le corps, l’esprit, la place de l’homme parmi tous les autres vivants avec lesquels nous partageons notre planète et le sens susceptible d’être accordé au fait que nous soyons conscients de notre condition mortelle, du caractère provisoire et relativement fugace de notre séjour sur terre.
Aux vertus de l’écriture dont les ateliers d’écritures, thérapeutiques ou non, sont une illustration présente dans le livre, s’est adjointe la pratique du yoga et l’apprentissage de la relaxation qui mène à la méditation de pleine conscience de l’être au monde. Le personnage principal du roman, Annie, s’y intéresse également et s’y applique du mieux qu’elle peut, afin de jouir pleinement des effets bénéfiques de ces diverses approches psychosomatiques (c’est-à-dire à destination du corps aussi bien que de l’esprit).
Cultiver les rapports sociaux à travers l’amitié ou l’amour, relation beaucoup plus intime, qui privilégie l’un ou l’une de tous ceux qui représentent autrui : nos alter ego, est également un moyen d’accès au bonheur que le roman développe.
Désormais, vous avez le pouvoir d’agir pour transformer votre existence : « L’Enigme du bonheur, publié par Evidence Editions est disponible dans toutes les librairies !
Le bonheur n’est pas inné. Il est différent pour chacun parce chacun est unique. On pourrait alors en déduire qu’il faudrait un apprentissage individualisé du bonheur, un bonheur sur-mesure en somme. C’est presque cela, dans la mesure où être heureux est le terme d’un développement qui consiste à devenir soi.
Loin de constituer « un idéal de l’imagination » comme le croyait Kant, le bonheur s’enseigne : oui, être heureux, le devenir, s’apprend donc.
Tout commence par le lucide constat que l’on n’est pas heureux : quelque chose nous manque, quelque chose d’indéfinissable mais d’essentiel à notre existence. Cependant, pleurer sur ce manque est vain. Accepter provisoirement cet état de fait apporte un soulagement immédiat car l’on sait que l’on est entré dans un processus de remédiation, de guérison du malheur et que l’on a déjà commencé à cheminer vers le bonheur.
Quand j’ai commencé à écrire le roman « L’Enigme du bonheur », j’en étais à ce stade de la compréhension nécessaire au changement souhaité : le passage de cette vie qui ne nous satisfait pas à une existence choisie, désirée et aimée.
Alors, j’ai entrepris de relire les philosophes antiques et modernes afin d’y recueillir le matériel intellectuel indispensable à une réflexion inévitable lorsqu’on est en quête de bonheur.
Cette quête je l’ai menée par écrit, par la médiation d’une fiction romanesque, mais elle est sincère et authentique : il s’agit d’une véritable interrogation sur le corps, l’esprit, la place de l’homme parmi tous les autres vivants avec lesquels nous partageons notre planète et le sens susceptible d’être accordé au fait que nous soyons conscients de notre condition mortelle, du caractère provisoire et relativement fugace de notre séjour sur terre.
Aux vertus de l’écriture dont les ateliers d’écritures, thérapeutiques ou non, sont une illustration présente dans le livre, s’est adjointe la pratique du yoga et l’apprentissage de la relaxation qui mène à la méditation de pleine conscience de l’être au monde. Le personnage principal du roman, Annie, s’y intéresse également et s’y applique du mieux qu’elle peut, afin de jouir pleinement des effets bénéfiques de ces diverses approches psychosomatiques (c’est-à-dire à destination du corps aussi bien que de l’esprit).
Cultiver les rapports sociaux à travers l’amitié ou l’amour, relation beaucoup plus intime, qui privilégie l’un ou l’une de tous ceux qui représentent autrui : nos alter ego, est également un moyen d’accès au bonheur que le roman développe.
Désormais, vous avez le pouvoir d’agir pour transformer votre existence : « L’Enigme du bonheur, publié par Evidence Editions est disponible dans toutes les librairies !