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Billet de blog 26 décembre 2021

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Covid19: contre l'épidémie, les vaccins transgéniques, ça ne marche pas!

La Haute Autorité de Santé recommande de réduire à trois mois le délai pour la dose de rappel.

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La Haute autorité de santé vient de franchir un pas de plus dans l'absurde en recommandant de réduire à trois mois le délai pour la dose de rappel. De six mois, on est passé à 5 mois, puis dés le début janvier officiellement ce sera 4 mois, mais la Haute Autorité réclame plus. Une piqure tous les trois mois. Aucun des journalistes qui a rapporté l'information n'a remarqué l'absurdité de cette recommandation. 

Imaginons que l'on puisse vacciner 100 000 personnes par jour, tous les jours. En trois mois, cet exploit donnerait un peu plus de 9 millions de vaccinés. Pour vacciner toute la population, il faudrait atteindre 700 000 vaccinations par jour et tous les jours. Ce qui est manifestement impossible. Lorsqu'on pense que de faux naïfs réclament la vaccination de toute la planète avec les mêmes produits! En venir à une recommandation totalement inapplicable signe l'échec de la stratégie gouvernementale. Qu'une telle recommandation soit proposée par la Haute autorité de santé, signe la déliquescence des instances de la médecine officielle. Qu'aucun journaliste ne signale le problème, signe la docilité de la presse.  

Il est maintenant évident pour tous que la vaccination massive avec les produits transgéniques n'empêche pas le virus de circuler et l'épidémie de reprendre par vagues successives. Le nombre croissant de vaccinés hospitalisés et en soin intensifs prouve simplement que les soit disants vaccins protègent mal. En particulier, ils protègent mal les personnes à risque. On pourra toujours dire qu'ils présentent un bénéfice pour ces personnes, ils n'en présentent aucun pour la majorité de la population. Et je ne parlerai pas ici de la question, combien douloureuse, des décès officiellement recensés suite à la vaccination. 

Simplement parce que les décisions gouvernementales qui se bousculent et les déclarations officielles suffisent à montrer l'échec de leur politique sanitaire. Que cette politique soit un succès sur le plan financier, sur le plan de l'aggravation des inégalités, comme sur le plan de la destruction des services publics et de la mise en danger de la sécurité sociale, c'est une autre question que j'ai soulevée depuis le début et qui permet de comprendre quels sont les véritables objectifs poursuivis par ce gouvernement, comme par les instance européennes. 

Mais pour lutter contre la covid19, les vaccins à ARN messager ou à adénovirus ne tiennent pas leur promesse. 

On peut comprendre pourquoi. Ces techniques sophistiquées visent une seule molécule du virus, la molécule Spike qui permet au virus de se fixer sur les cellules humaines. Or c'est celle qui est la plus touchée par les mutations successives. Il n'est pas étonnant que les vaccins fabriqués pour contrer le premier variant sorti de Wuhan soit de moins en moins efficaces face aux mutations successives. Même problème d'ailleurs pour les anticorps monoclonaux proposés par les mêmes laboratoires. Pour un résultat aussi aléatoire et en tout cas très bref, on n'hésite pas à faire produire par les cellules humaines la fameuse molécule Spike qui est toxique pour des tissus essentiels de notre organisme. D'où les myocardites, les thromboses...

Est ce qu'un produit, dangereux, qui n'empêche pas le virus de circuler et donc de muter, pour une protection limitée et de brève durée, peut être qualifié de vaccin? Je ne crois pas. C'est tout simplement un abus de langage. Refuser ces injections, ce n'est pas être antivax, c'est simplement refusé un traitement préventif, en cours d'expérimentation, dont l'efficacité est de courte durée et qui peut s'avérer dangereux.  

Face à un tel échec, il serait rationnel de changer de stratégie. D'autant que des alternatives nombreuses existent. 

En terme de vaccin, il existe actuellement 4 vaccins reconnus par l'OMS qui utilisent la vielle technique pasteurienne des pathogènes désactivés et qui ciblent donc le virus tout entier. D'autres sont sur le point d'être validés, comme celui de Valneva une start up française dont le travail est ignorée du gouvernement français. Tout comme il ignore le Xav19, sérum d'anticorps polyclonaux, un traitement mis au point par un autre labo français Xénothera qui a l'avantage de cibler l'entièreté du virus.

Et là nous pénétrons sur le domaine des traitements. Autre tabou de l'information française. Mais puisque la vaccination n'arrête manifestement pas l'épidémie, il y a toujours des malades à soigner. La pire des choses c'est bien de les confiner chez eux avec du doliprane. Mais c'est ce qui continue à se faire en France, prescrit par les médecins qui suivent à la lettre les recommandations officielles. Je ne reprendrai pas les billets fort bien argumentés d'Enzo Lolo qui démonte tous les efforts qui sont faits pour nier l'existence de traitements efficaces contre la covid19, quand ils sont pris au début de la maladie. Voir ici: https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/261221/covid-19-effacer-la-piste-des-traitements-precoces-coute-que-coute. Hydroxychloroquine, Ivermectine, Azithromycine, ciclésonide... la liste s'allonge des molécules qui peuvent jouer un rôle dans l'élimination du virus et la guérison rapide des patients. Quant à l'Institut Pasteur de Lille, elle a du renoncer à ses essais cliniques sur le clofoctol, faute de moyens financiers. Le tort des ces molécules c'est d'être tombées dans le domaine public. Elles n'intéressent pas les grands laboratoires qui misent sur de nouvelles molécules protégées par des brevets et qu'ils peuvent vendre à des prix faramineux. Force est de constater qu'ils ont un soutien indéfectible de notre gouvernement dans cette voie. Cette politique a un prix. Un prix financier, rappelons nous le jackpot du remdésivir, mais surtout un prix en nombre de décès qui auraient pu être évités si on avait soigné les malades à temps.

Et bien non. On ne change pas une équipe qui perd. Au contraire. On multiplie les injections des mêmes produits douteux. Après les adultes ce sont les enfants qui deviennent les cobayes d'une expérimentation hautement aléatoire, sans que ses promoteurs n'aient beaucoup réfléchi au dosage. Pour obtenir l'acceptation d'une politique aussi risquée, on multiplie les annonces anxiogènes, les récits angoissants, les photos chocs. Et bien sûr, on désigne le bouc émissaire idéal. Les antivax. Accusés de tous les maux, de propager l'épidémie, d'encombrer les hôpitaux, on peut les mettre au ban de la société, les faire taire, les priver de soins, en un mot décréter leur mort sociale, sans que cela n'émeuve grand monde. Merci quand même pour la réaction du Syndicat de la Médecine Générale qui s'oppose au passe vaccinal et aux médecins, aux soignants qui persistent avec courage à respecter le serment d'Hippocrate.

Par contre, carton rouge aux journalistes qui se font les complices de ce totalitarisme sanitaire.

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