malaria et industrie pharmaceutique , grande ou petite .
https://www.facebook.com/127266357966145/videos/273909644004140/
france 24 semble til (complotisme ? )
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https://www.telerama.fr/television/coronavirus-le-gouvernement-a-peche-par-exces-de-prevoyance,n6620051.php
https://www.francebleu.fr/amp/infos/sante-sciences/coronavirus-des-millions-de-masques-sont-disponibles-en-chine-mais-la-france-ne-les-achetent-pas-1585034248
https://www.lefigaro.fr/politique/sondage-la-confiance-des-francais-envers-l-executif-en-chute-libre-20200325?fbclid=IwAR0bNgsrxr7rAAU9XBZ9VWSN4C7Mia5xGIfTcpGmFf8b79MCHsyi5tncUJk
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https://www.lindependant.fr/2020/03/28/coronavirus-le-professeur-didier-raoult-devoile-les-resultats-pertinents-dune-nouvelle-etude,8822520.php?
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LA FABULEUSE LETTRE OUVERTE DU DR GIRAL, PRESIDENT CTPS PAYS D’ARLES !
« Cinq médecins morts en trois jours mais combien d’infirmiers, d’aides soignants, de membres des services à la personne ? Avant de tomber à mon tour, je voulais tant qu’il est encore temps vous rappeler, Mesdames et Messieurs les hâbleurs des 20h radio télévisé, qu’en temps de guerre comme en temps de paix : on ne se moque pas des soldats, on ne se moque pas des morts !
On vient au soir d’un nouveau décompte de victimes du jour nous annoncer avec un aplomb qui défie l’entendement qu’un essai de Chloroquine sur les malades graves hospitalisés va démarrer et que l’on attendra pour conclure !
Pourquoi pas saupoudrer les tombes des victimes avec du Plaquenil pour en tester le pouvoir ressuscitant ?
...Et dans la foulée en interdire l’usage pendant 10 jours chez les futurs candidats à la réanimation au motif de leur éviter les effets secondaires d’un médicament que nos patients atteints de lupus absorbent quotidiennement depuis des décennies...
Si la médecine est un art, cette décision est un chef d’œuvre !
Un chef d’œuvre qui nous contraint à prescrire malgré nous la mort sur ordonnance car la prescription est dépourvue de l’essentiel requis pour espérer sans regret donner tous les chances possibles à nos patients atteints, conformément à nos engagements dans le serment d’Hippocrate.
On ne se moque pas des soldats ! De nombreux grands pays se dotent de la Chloroquine. Nombre de nos élus se traitent au Plaquenil et ne s’en cachent pas. Nous devons expliquer aux nouveaux et aux gens de la misère qu’eux n’ont que le devoir d’avoir faim et d’avoir froid et le devoir de se taire.
On ne se moque pas des morts ! Mais viendra le jour de la libération. Viendra l’heure du jugement et des règlements de comptes.
Verra-t-on les peuples méprisés et endeuillés « monter sur Paris » vêtus de gilets noirs, noirs de leurs morts sur la sépulture desquels figurera une inscription commune « malades ayant échappé aux méfaits de la Chloroquine ».
Parmi les chants de la révolte, entendra-t-on le cliquetis métallique des crochets de bouchers ?... »
l n'a pas pour habitude de mâcher ses mots. Et hier, il en a fait toute la démonstration. Dans une lettre ouverte adressée à La Provence, le docteur Bernard Giral, médecin généraliste à Fontvieille et président de la CTPS (Communauté territoriale professionnelle de santé) du Pays d'Arles a exprimé la révolte des professionnels de santé à l'encontre des décideurs et de ce qu'il n'hésite pas à nommer "le scandale de la chloroquine". Ce médicament prôné par le professeur marseillais Didier Raoult pour combattre le Covid 19 mais dont les autorités en refusent toujours la prescription aux patients, "alors que ça ne coûte rien et que cela pourrait freiner l'aggravation de l'état des patients".
"On nous parle d'étude clinique de grande ampleur pour tester la chloroquine. Sauf qu'ils l'administrent à des personnes qui sont déjà dans un état très critique, forcément les conclusions de cette étude diront que la chloroquine ne marche pas contre le Covid 19 !", lâche le docteur Giral. Et le médecin de dénoncer : "comment expliquer que des élus des hautes assemblées, tels que Christian Estrosi, Valérie Boyer ou bien encore Martine Vassal se prévalent d'en avoir bénéficié et que leurs électeurs n'y ont pas droit ? Comment expliquer que Christian Estrosi a fait rentré de la chloroquine au CHU de Nice ? Il y a donc deux poids deux mesures !".
"Un soulèvement des professionnels de santé"
Alors que le pic de l'épidémie n'est toujours pas atteint, que cinq médecins sont déjà morts, que Martin Hirsh a lancé un appel pour dire que bientôt il n'y aurait plus assez de lits ni assez de soignants en Ile-de-France, le docteur Giral apporte tout son soutien au professeur Didier Raoult et espère "un soulèvement des professionnels de santé".
"Déjà, ici et là, la colère de médecins gronde. A Mulhouse notamment". Pas uniquement pour le traitement à la chloroquine mais aussi pour dénoncer la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement, à l'image de Jean-Paul Hamon, médecin généraliste et président de la Fédération des Médecins de France. "Il y a un manque total de logique et de cohérence dans les décisions prises par les pouvoirs publics", ajoute le docteur Giral. Qui interroge : "Pourquoi un tel barrage à la chloroquine ?
La lettre ouverte
"On ne se moque pas des soldats, on ne se moque pas des morts !"
"Ave Cesar morituri te salutant
Cinq médecins morts en trois jours mais combien d'infirmières, d'aides-soignantes, de membres des services à la personne ? Combien tombés au champ d'honneur ? Avant de tomber à mon tour, je voulais tant qu'il est temps, vous rappeler mesdames messieurs les Hâbleurs du 20 heures radio télévisé, qu'en temps de guerre comme en temps de paix : on ne se moque pas des soldats, on ne se moque pas des morts !
On vient au soir d'un nouveau décompte des victimes du jour, nous annoncer avec un aplomb qui défie l'entendement qu'un essai de chloroquine sur des malades graves hospitalisés va démarrer et que l'on attendra les résultats pour conclure. Pourquoi pas, saupoudrer les tombes des victimes avec du Plaquenil en poudre pour en tester le pouvoir ressuscitant ?
...Et dans la foulée en interdire l'usage pendant 10 jours chez les futurs candidats à la réanimation au motif de leur éviter les effets secondaires d'un médicament que nos patients atteints de Lupus absorbent quotidiennement depuis des décennies!
Si la médecine est un art, cette décision est un chef-d'oeuvre!
Un chef-d'oeuvre qui nous contraint à prescrire malgré nous la mort sur ordonnance, car la prescription est dépourvue de l'essentiel requis pour espérer sans regret donner toutes les chances possibles à nos patients atteints, conformément à nos engagements dans le serment d'Hippocrate.
On ne se moque pas des soldats.
De nombreux et grands pays sur la planète se dotent de chloroquine et la distribuent larga manu. Nombre de nos élus des hautes assemblées se traitent au Plaquenil et ne s'en cachent pas. Nous devons expliquer aux nouveaux pauvres et aux gens de la misère, qu'eux n'ont que le droit que d'avoir faim et d'avoir froid et le droit de se taire.
En dernière heure, Martin Hirch lance un appel désespéré, mais toujours pas de chloroquine pour espérer baisser le flux des hospitalisés.
La colère monte chez les médecins du Grand Est.
L'heure est venue du décompte des suicides des désespérés et du décompte des morts illégitimes, disparus sans traitement maximal.
On ne se moque pas des morts !
Mais viendra le jour de la libération, de ses joies, de ses peines, Viendra l'heure du jugement et des règlements de compte.
Verra-t-on les peuples méprisés et endeuillés "monter sur Paris" vêtus de gilets noirs, noirs de leurs morts sur la sépulture desquels figurera une inscription commune : "malade ayant échappé aux méfaits de la chloroquine" ?
Parmi les chants de la révolte, entendra-t-on le cliquetis métallique des crochets de boucher, naguère utilisé par vos prédécesseurs en délicatesse réciproque ? On ne se moque ni des morts, ni des soldats."
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-il-faut-produire-tres-massivement-de-la-chloroquine-affirme-le-chef-des-urgences-de-l-hopital-pompidou_3880801.html
https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/coronavirus-nantais-jean-luc-harousseau-ancien-patron-haute-autorite-sante-prescrit-chloroquine-1805378.html
https://www.facebook.com/quoi2newstv/videos/2928993840521844/ ( hopital de garche )
les urgentistes aussi : https://www.caducee.net/actualite-medicale/14813/covid19-l-amuf-encourage-les-medecins-a-proposer-le-traitement-a-base-de-chloroquine-du-pr-raoult.html
"Le fameux conseil scientifique est composé de onze spécialistes, parmi eux, Yazdan Yazdanpanah ...
Le Pr Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Bichat, a refusé de tester la chloroquine dans un large essai clinique officiel. Pour se justifier, il avait invoqué des «problèmes d’interactions médicamenteuses avec d’autres traitements chez des patients en réanimation, et l’existence d’effets secondaires de la chloroquine». Certes il y a des effets secondaires graves si on ne respecte pas la posologie, mais c’est un médicament que l’on connaît. En fait le Pr Yazdanpanah voulait privilégier deux autres médicaments: Le remdesivir, un anti-viral qui n’est pas encore commercialisé, du laboratoire Gilead ; le Kaletra (seul ou avec de l’interferon bêta), un anti-VIH du laboratoire AbbVie. Pourquoi ? Le Pr Yazdanpanah est rémunéré par Gilead et AbbVie… ainsi que par 7 autres compagnies pharmaceutiques, dont il est membre du CA...." Didier Chevillon
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https://www.franceinter.fr/societe/depistage-du-coronavirus-le-coup-de-gueule-d-un-geneticien
Philippe Froguel est diabétologue et généticien à la tête d'un gros laboratoire de recherche du CHRU de Lille. Le 10 mars, alors que les cas de coronavirus ne cessent d’augmenter et que la France manque de tests de dépistages, il propose par courrier à sa direction générale d’en produire. Il est diabétologue et pratique ces tests PCR depuis une trentaine d’années : "Beaucoup de labos de recherche font ça avec des ingrédients, des amorces et des enzymes. Ça ne nous pose aucun problème ici à Lille."
Son enthousiasme est vite douché : "On m’a répondu qu’il fallait respecter les procédures, et que je n’avais pas le droit de le faire." La procédure veut en effet que seul un biologiste médical soit habilité à lire les résultats de ces tests. Le généticien affirme lui que son laboratoire sait les lire. Il estime que les autorités pourraient assouplir ces règles compte-tenu de l’urgence de la situation.
Un avis partagé par Christine Rouzioux, une biologiste de l’hôpital Necker à la retraite, à condition de s’organiser : "Il faut se donner les moyens de faire plus de tests. Il faut que le gouvernement entende que d’autres laboratoires pourraient travailler au sein de communauté de biologie médicale, avec des procédures communes et en s’organisant. C’est possible."
De son côté, le généticien ne décolère pas, même s’il a bon espoir que sa demande aboutisse. "On a perdu peut-être quinze jours. On aurait pu commander des réactifs et ça nous aurait permis de faire environ 600 tests par jour, quand la France en fait entre 2000 et 4000 par jour."
Le problème, c’est qu’aujourd’hui, le CHRU de Lille et celui de Mulhouse sont, selon Philippe Froguel, en rupture de stocks d’enzymes, et ne peuvent donc plus fabriquer ces tests. "Si on nous avait autorisés, nous les gens de la recherche, j’aurais mon congélateur plein d’enzymes, on aurait fait le protocole et on travaillerait à fond pour le CHU aujourd’hui", regrette-t-il.
Selon Philippe Froguel, le cas de son laboratoire n’est pas isolé : "C’est comme ça dans toute la France." Contactée, la direction générale du CHRU de Lille n’a pas répondu à nos sollicitations. De son côté, le CNRS a demandé à ses laboratoires de recherche de lui faire remonter un état précis des personnels disponibles et des stocks de produits nécessaires à la fabrication des tests de dépistage.
À noter que, pour l'instant, le gouvernement français a choisi de ne pas tester en grand nombre comme c'est parfois le cas comme en Corée ou dans une moindre mesure en Allemagne.
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https://blogs.mediapart.fr/canis-insanus/blog/050420/guerre-contre-le-covid-19-les-marseillais-sont-ils-mieux-armes-que-les-parigots-0
https://www.youtube.com/watch?v=sHeT-6zEMuo un scientifique de l'équipe
https://planetes360.fr/didier-raoult-il-y-aura-une-enquete-parlementaire-apres-et-elle-sera-sanglante/ (le 28 mars)
http://www.leparisien.fr/…/didier-raoult-pour-traiter-le-co…
Le texte de l'interview :
Didier Raoult met les points sur les "i" dans une interview au Parisien ce dimanche 22 mars...
A lire intégralement pour comprendre la situation actuelle.
Le Parisien - Aujourd'hui en France a joint le Pr Raoult, qui juge « immoral » de ne pas administrer la chloroquine aux malades du Covid-19 dès maintenant.
Le gouvernement a autorisé un essai clinique de grande ampleur pour tester l'effet de la chloroquine sur le coronavirus. C'est important pour vous d'avoir obtenu cela ?
DIDIER RAOULT. Non, je m'en fiche. Je pense qu'il y a des gens qui vivent sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie infectieuse émergente. Moi, comme n'importe quel docteur, à partir du moment où l'on a montré qu'un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas l'administrer. C'est aussi simple que ça.
Que répondez-vous aux médecins qui appellent à la prudence et sont réservés sur vos essais et l'effet de la chloroquine, notamment en l'absence d'études plus poussées ?
Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J'ai produit plus de données en maladies infectieuses que n'importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J'ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m'est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.
Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?
Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d'une ignorance crasse. J'ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d'autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n'est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l'état de la science, c'est suffocant. L'efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c'était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d'ajouter un traitement d'azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu'on a ajouté l'azithromycine à l'hydroxychloroquine.
Qu'attendez-vous des essais menés à plus grande échelle autour de la chloroquine ?
Rien du tout. Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l'éthique médicale, j'estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu'ici fait ses preuves. Je suis convaincu qu'à la fin tout le monde utilisera ce traitement. C'est juste une question de temps avant que les gens acceptent de manger leur chapeau et de dire, c'est ça qu'il faut faire.
Sous quelle forme et pendant combien de temps administrez-vous la chloroquine à vos patients ?
On donne de l'hydroxychloroquine à raison de 600 mg par jour pendant dix jours (sous forme de Plaquenil, le nom du médicament, NDLR) sous la forme de comprimés administrés trois fois par jour. Et de l'azithromycine à 250 mg à raison de deux fois le premier jour puis une fois par jour pendant cinq jours.
Est-ce un traitement qui peut être pris en prévention de la maladie ?
Nous ne le savons pas.
Lorsque vous l'administrez, au bout de combien de temps un patient atteint du Covid-19 peut-il guérir ?
Ce qu'on sait pour l'instant, c'est que le virus disparaît au bout de six jours.
Comprenez-vous néanmoins que certains de vos confrères appellent à la prudence sur ce traitement ?
Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l'équipe de France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays s'apparente aujourd'hui à de la conversation de bistrot.
Mais n'y a-t-il pas des règles de prudence à respecter avant l'administration d'un nouveau traitement ?
A ceux qui disent qu'il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l'on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l'intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l'autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c'est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c'est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n'a pas à obéir aux injonctions de l'Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l'état de ses connaissances et dans l'état de la science.
Quid des risques d'effets indésirables graves liés à la prise de chloroquine, notamment à haute dose ?
Contrairement à ce que disent certains à la télévision, la Nivaquine (le nom d'un des médicaments conçus à base de chloroquine, NDLR) est plutôt moins toxique que le Doliprane ou l'aspirine prise à forte dose. En tout état de cause, un médicament ne doit pas être pris à la légère et toujours prescrit par un médecin généraliste.
Avez-vous conscience de susciter un immense espoir de guérison pour les patients atteints ?
Je vois surtout qu'il y a des médecins qui m'écrivent du monde entier tous les jours pour savoir comment on traite des maladies avec l'hydroxychloroquine. J'ai reçu des appels du Massachusetts General Hospital et de la Mayo Clinic de Londres. Les deux plus grands spécialistes mondiaux, l'un des maladies infectieuses, l'autre des traitements antibiotiques, m'ont contacté pour me demander des détails sur la manière de mettre en place ce traitement. Et même Donald Trump a tweeté sur les résultats de nos essais. Il n'y a que dans ce pays qu'on ne sait pas très bien qui je suis ! Ce n'est pas parce que l'on n'habite pas à l'intérieur du périphérique parisien qu'on ne fait pas de science. Ce pays est devenu Versailles au XVIIIe siècle !
Qu'entendez-vous par là ?
On se pose des questions franco-françaises et même parisiano-parisiennes. Mais Paris est complètement décalé du reste du monde. Prenez l'exemple de la Corée du Sud et la Chine, où il n'y a plus de cas. Dans ces deux pays, ils ont décidé depuis longtemps de faire des tests à grande échelle pour pouvoir diagnostiquer plus tôt les patients infectés. C'est le principe de base de la gestion des maladies infectieuses. Mais on est arrivé à un degré de folie tel que des médecins sur les plateaux télé ne conseillent plus de faire le diagnostic de la maladie, mais disent aux gens de rester confinés chez eux. Ce n'est pas de la médecine ça.
Vous pensez que le confinement de la population ne sera pas efficace ?
Jamais on n'a pratiqué ainsi à l'époque moderne. On faisait ça au XIXe siècle pour le choléra à Marseille. L'idée du cantonnement des gens pour bloquer les maladies infectieuses n'a jamais fait ses preuves. On ne sait même pas si ça fonctionne. C'est de l'improvisation sociale et on n'en mesure pas du tout les effets collatéraux. Que se passera-t-il quand les gens vont rester enfermés chez eux, à huis clos, pendant 30 ou 40 jours ? En Chine, on a rapporté des cas de suicides par peur du coronavirus. Certains vont se battre entre eux.
Faut-il, comme le réclame l'Organisation mondiale de la Santé, généraliser les tests en France ?
Ayons le courage de le dire : la tambouille à la française, ça ne marche pas. La France n'en est qu'à 5000 tests par jour quand l'Allemagne en effectue 160 000 par semaine ! Il y a une espèce de discordance. Dans les maladies infectieuses, on effectue le diagnostic des gens et, une fois qu'on a obtenu le résultat, on les traite. D'autant que l'on commence à voir des personnes porteuses du virus, apparemment sans signes cliniques, mais qui, dans un nombre non négligeable de cas, ont des lésions pulmonaires visibles au scanner montrant qu'ils sont malades. Si ces gens ne sont pas traités à temps, il y a un risque raisonnable qu'on les retrouve en réanimation où on ne les rattrapera pas. Ne tester les gens que lorsqu'ils sont déjà gravement malades est donc une manière extrêmement artificielle d'augmenter la mortalité.
Et faut-il généraliser le port des masques ?
C'est difficile à évaluer. On sait qu'ils sont importants pour les personnels de soin, car ce sont les rares personnes qui ont vraiment des rapports très, très proches avec les malades lorsqu'ils les auscultent, parfois à 20 cm de leur visage. On ne sait pas très bien jusqu'où volent les virus. Mais certainement pas à plus d'un mètre. Donc, au-delà de cette distance, ça n'a peut-être pas beaucoup de sens de porter un masque. En tout cas, c'est vers les hôpitaux qu'il faut envoyer en priorité ces masques pour mettre les soignants à l'abri. En Italie et en Chine, une partie extrêmement importante de malades s'est révélée au final être des personnels de soins.
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Via Olivier Balle
Je viens d’entendre sur LCI, dans l’émission 24h Pujadas, madame Karine Lacombe, chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital saint Antoine , prise en flagrant délit de fake news.elle nous dit très sereinement de faire attention car un couple d’américains aurait prit de l’hydroxychloroquine, le Mr serait mort et la dame dans un état grave, peut être auraient ils mal dosé le traitement ..... c’est hallucinant, c’est une soit disant spécialiste, elle est invitée sur les plateaux, on est censé les croires!!!! Dommage madame, ces gens ont prit du PHOSPHATE de chloroquine, soit du détergent pour piscine!!!!!
https://www.20minutes.fr/monde/2746755-20200324-coronavirus-homme-meurt-apres-avoir-ingere-phosphate-chloroquine-don-ciel-vante-trump
https://www.lci.fr/replay/video-24h-pujadas-du-mardi-24-mars-2020-2149007.html
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C’est en italien: ce docteur va maison par maison à chercher les personnes avec symptômes et il commence à leur traiter avec la cloroquine.La ville est Piacenza , il a commencé toute seul et après une semaine il a traité 60 personnes et que 5 ont besoin d’aller à l’hôpital.Maintenant la regione à décidée de commencé un task force avec 30 docteur pour tester toute la régionC’était un initiative individuelle et après ce bonne résultat est devenu protocole régional
Coronavirus, l'oncologo che va porta a porta a fermare il virus - VanityFair.it
In provincia di Piacenza il primario di oncologia Luigi Cavanna ha cominciato a girare casa per casa per trattare i sintomi della malattia prima che la situazione degeneri. E i risultati sono così promettenti che da oggi parte un task force di 30 medici
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Salut à tous,
Je vais vous raconter une petite histoire.
J'ai passé 11 jours allongé entre 38.5 et 39.5 avec la majorité des symptômes COVID19 et sans aucune amélioration.
J'ai été dépisté samedi dernier à l'IHU confirmé positif le dimanche. Une petite anecdote, nos chères "forces" de police sont arrivées tout muscle dehors pendant que je faisais la queue devant l'IHU pour disperser la foule qui n'avait rien à faire ici car il n'y avait soit disant pas de test. Bien sûr il était important d'être agressif devant des gens qui étaient une menace pour l'ordre public (quelques dizaines de covid+). Après avoir aboyé, ils sont, après que nombre d'entre nous leur ayons suggéré, ensuite allés se renseigner et ont créé la queue en zig zag que l'on voit à la télé avec les gens les uns sur les autres pour que la queue soit moins longue... riche idée en temps de confinement.
Quand j'entends monsieur Alain Duhamel, notre critique indéboulonnable qui a toujours un avis sur tout, montrer sur BFM comment les gens de l'IHU ne sont même pas capable de gérer la queue et la promiscuité devant le bâtiment, il connaît maintenant la réponse (chez moi on dit "quand on ne sait pas on ferme sa gueule").
Cela fait 72h que j'ai eu la chance d'avoir récupéré le traitement du professeur Raoult à l'IHU de la Timone. L'amélioration est saisissante. La fièvre est de moins en moins présente (elle a même disparu cette dernière nuit). Je me lève, commence à remanger avec appétit (j'ai perdu 5kgs), je me sens lucide, la pression sur la poitrine décroît, je ne suis plus essoufflé.
Au fait, sur la dangerosité cardiaque du traitement: je ne suis pas tout jeune (47), certes sportif mais ai été opéré d'une communication inter auriculaire à l'âge de 11 mois avec des complications et opéré il y a 5 ans pour l'ablation d'un flutter (trouble du rythme cardiaque).
Je n'ai aucun effet secondaire lié au traitement jusqu'àlors (certes ça ne veut pas dire que d'autres ne pourraient pas en avoir) je respire complètement normalement. Pourtant, je vous garantie que mon ECG est symptomatique.
Messieurs Macron, Philippe et consorts, vous attendez quoi? Réveillez vous. Ce n'est pas la République en Marche avec vous mais l'immobilisme, la magouille, le copinage et la non décision.
Un grand merci au personnel de l'IHU toujours très agréable, qui garde le sens de l'humour malgré la situation.