https://www.humanite.fr/social-eco/inspection-du-travail/revelations-le-ministere-du-travail-forme-des-employeurs-dejouer-ses-controles-796535
https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-fake-climat-la-france-est-elle-en-avance-sur-ses-objectifs-de-reduction-de-gaz-a-effet-de-serre-comme-l-assure-le-gouvernement_5842787.html ben non
https://www.facebook.com/david.guiraud.50/videos/206997712213200 Ce gouvernement répète tous les jours qu’on est « à l’Euro près » pour compter les dépenses publiques… Je note que curieusement sur les centaines de milliards € d’aides directes et indirectes aux entreprises, on ne compte plus rien. Qui en profite ? Certainement pas les PME. Les grands groupes, par contre, peuvent s’enrichir tranquillement et détourner l’argent public.
https://www.mercipourlinfo.fr/actualites/vie-pratique/quest-ce-que-la-priorite-nationale-voulue-par-marine-le-pen-916668
https://linsoumission.fr/2022/03/24/le-pen-programme-classes-populaires/
https://linsoumission.fr/2022/11/16/le-pen-contre-retraite-60-ans/
https://linsoumission.fr/2023/03/09/france-inter-le-pen-arnaque-sociale/
https://www.acrimed.org/La-peur-de-Melenchon-est-plus-grande-que-la-peur? « La peur de Mélenchon est plus grande que la peur de Le Pen » : analyse ou confession ?
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=220216310781984
https://twitter.com/francoisedegois/status/1662822743392256000 Oh la vilaine petite manip des députés #Macron. Parler de 166.000 euros brut en salaire comme si c’était à l’année . #JustineTriet travaille depuis 3 ans sur ce film . Ça fait donc en gros 125.000 euros divisés par 3 et divisés par 2 ( avec son mari ) . Égale combien , les aigles ? 3500 euros à 2 par mois . Et avez vous calculé combien rapporte une Palme d’or à un pays ? Des millions d’euros à minima. Et les “aides publiques” représentent à peine 25% du budget . Et, pour terminer , votre raisonnement qui consiste à considérer l’argent public comme le vôtre , interdisant donc toute critique de votre majorité , est hideux . Il correspond parfaitement aux critères d’une derive illiberale
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=827682279100297 « L’AG Total n’aura pas lieu. » Depuis des semaines, les associations écologistes affichaient ouvertement sur les réseaux sociaux leur intention de faire avorter la réunion des actionnaires de l’entreprise pétrolière française à Paris, prévue ce vendredi 26 mai. Si l’événement a finalement pu avoir lieu, des centaines d’activistes ont perturbé le rendez-vous annuel présidé par le PDG Patrick Pouyanné.
https://www.facebook.com/100034911370182/videos/784508383244412 gerard miller sur j , Toulouse : un fichage des enfants musulmans "Qu'est-ce qu'on aurait dit si on s'était mis à ficher les enfants juifs ?"
https://lepoing.net/le-prefet-de-lherault-tolere-les-antisemites-et-reprime-les-pro-palestiniens/
https://www.facebook.com/watch?v=990819892352243 ... 23 mai 2020.. vidéo retrouvé mais pas partager.. voilà la police politique en action. ACABLANT. rejoignez la résistance pendant qu'il est encore temps
https://www.facebook.com/watch?v=714846082404584 70% des navires marchands du monde naviguent sous pavillon de complaisance et ne respectent pas toutes les normes en vigueur. 63% des accidents et pertes maritimes ont lieu sous pavillon de complaisance, selon le principal syndicat du domaine. Beyrouth et l'Ile Maurice en payent aujourd'hui les conséquences. Pensées et soutien total à nos amis Libanais et Mauriciens et à tous ceux qui subissent les dégâts de ce scandale. quand est-ce que ça change ? ERRATUM : Quand j’ai tourné, on parlait d’un propriétaire ukrainien, il s’agit en fait d’un propriétaire russe. Je n'ai pas pu retourner toutes les séquences, et ça ne changeait rien au problème. Mais la précision méritait d'être faite. Autre détail : le pavillon Kerguelen a changé de nom et s’appelle désormais le RIF. Il est toujours listé comme pavillon de complaisance selon l’ITF, qui rassemble 20 millions de travailleurs du transport maritime, et permet bien les conditions d’embauche décrites dans la vidéo. Ça n’en fait pas des navires-poubelles pour autant, mais ça participe à la course au prix le plus bas, qui est quand même le cœur du problème.
https://www.facebook.com/100074285838734/videos/2642614765904219 Monsieur Béchu présente la France à + 4° : 5 fois plus de vagues de chaleur + 5° en été Plus de pluies extrêmes. Objectif affiché : sortir du « déni climatique ». Mais ce n’est pas la France qui est dans le déni, c’est vous ! Et ça fait 6 ans que ça dure ! »
https://www.facebook.com/watch?v=1934879870205805 Vous le savez sans doute, Reflets, Streetpress et Blast se sont associés pour analyser les documents issus du piratage d’une partie des données comptables du groupe Altice ; le groupe de Patrick Drahi. Nous poursuivons nos investigations, mais en attendant une troisième journée de révélations, nous avons demandé à deux spécialistes de commenter nos articles. Eric Vernier, maître de conférence en finances et Vincent Drezet, ancien secrétaire général du syndicat Solidaires Finances Publiques et membre d’Attac apportent leur éclairage sur la « méthode Drahi ».
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https://www.facebook.com/CGTPoleEmploiNational/videos/620221773396754 « Blâmer la "décivilisation de la société", c'est une manière, pour Emmanuel Macron, de faire oublier qu’il a peut-être une responsabilité dans ce qui se passe en France depuis six années... » Clément Viktorovitch Entre Les Lignes - France Info - 28/05/2023
https://www.facebook.com/photo/?fbid=647580120745814&set=a.476410344529460
MACRON REPREND LE LEXIQUE DE L’EXTRÊME DROITE : APRÈS "L'ENSAUVAGEMENT", LA "DÉCIVILISATION"
Les mots ont un sens, et Macron le sait parfaitement. Il a repris mercredi 24 mai, en conseil des Ministres, le terme de «décivilisation» pour qualifier la prétendue «montée de la violence» dans la société. Historiquement, le «civilisé», c'est celui qui s'oppose au «barbare», au «sauvage». Les colonialistes du 19ème siècle prétendaient d'ailleurs «civiliser» les peuples dits primitifs. «Décivilisation», c'est aussi un terme qui renvoie au «choc des civilisations», théorie forgée par la droite des USA pour justifier les conflits contre les sociétés non-occidentales.
Le mot utilisé par Macron est directement emprunté à l'extrême droite. C'est d'ailleurs le titre d'un ouvrage de l'idéologue raciste Renaud Camus : «Décivilisation», publié aux éditions Fayard en 2011. La même année, l'auteur avait publié l'ouvrage «Le Grand Remplacement», dans lequel il développait une thèse raciste et complotiste. Les écrits de Renaud Camus ont inspiré plusieurs attentats fascistes à travers le monde ces dernières années.
Cette expression n'est ni un hasard, ni un choix isolé. Macron reprend à son compte depuis des années les mots, les idées et les pratiques de l'extrême droite. Nous avons aussi vu Gérald Darmanin trouver Le Pen «trop molle» à propos des musulmans. Entendu les élus macronistes parler «d’ensauvagement», autre concept créé par l'extrême droite radicale. Nous avons vu le président rendre hommage au Maréchal Pétain et à Charles Maurras. Ou téléphoner pendant une heure au chroniqueur fasciste Zemmour condamné pour «provocation à la haine raciale» afin de lui «apporter son soutien». Nous avons vu ce président organiser une interview «exclusive» au journal d’extrême droite Valeurs Actuelles, et ses conseillers déjeuner avec des responsables néofascistes.
Nous avons vu des ministres organiser une chasse aux sorcières dans le monde des idées, contre les antiracistes, en matraquant le concept forgé par l’extrême droite d’«islamogauchisme», en dénonçant des recherches universitaires sur le colonialisme. Nous avons vu les ministres de Macron parler de «wokisme», anglicisme destiné à dénigrer les idées de gauche. Nous avons vu la loi sur le «séparatisme», dictée par l’extrême droite, utilisée immédiatement pour dissoudre des associations musulmanes et anti-racistes. Et bien d'autres choses abjectes.
Macron adore pervertir le sens des mots. Ethnologiquement, le mot «civilisation» renvoie à la citoyenneté, à la politesse, au mode de vie urbain et à ses codes. Autrement dit, à une vie en société non-violente. Par ses politique néolibérale, par son mépris, par sa répression brutale, par la destructions des liens sociaux, par ses provocation, Macron incarne à lui tout seul un régime «décivilisé». Les «barbares» seraient-ils au pouvoir
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https://www.facebook.com/reel/945902053198905 dminik moll face à pap ndiyae
https://www.facebook.com/watch?v=270505642220213 Le réalisateur Robin Campillo défend le discours de sa consœur Justine Triet après avoir reçu la Palme d’or et pose la question du financement du cinéma.
https://www.slate.fr/story/246995/pourquoi-discours-justine-triet-legitime-festival-cannes-2023-palme-or-politique-reforme-retraites-cinema-culture
Chacune et chacun peut avoir sa propre opinion à propos de celles exprimées par Justine Triet au moment de recevoir la Palme d'or pour Anatomie d'une chute, samedi 27 mai, lors de la cérémonie de clôture du 76e Festival de Cannes. Mais personne ne devrait lui contester le droit de dire ce qu'elle a dit. Parce qu'elle l'a dit depuis sa place de cinéaste, ce qui est évidemment légitime sur la scène d'un grand festival de cinéma. Ce discours, qui fait à présent débat, comportait trois éléments. Et tous les trois relèvent de ce pour quoi elle se trouvait à ce moment sur scène, devant les micros et les caméras. Avec concision, la réalisatrice a en effet abordé deux thèmes, apparemment distincts. D'une part, elle a parlé du mouvement contre la réforme des retraites. Mais contrairement à ce qui été beaucoup répété, elle n'a rien dit de la réforme en tant que tel. La cinéaste française a condamné le fait qu'une «contestation historique, extrêmement puissante, unanime, de la réforme des retraites» a «été niée, réprimée de façon choquante». Nul doute qu'elle soit contre cette réforme –comme une large majorité des Français– mais son sujet ici, c'est la tentative d'invisibilisation de ce rejet, la négation, le «passage à autre chose» voulu et orchestré par le président de la République.
Le discours de Justine Triet, c'est l'adresse d'une metteuse en scène à un metteur en scène qui s'appelle Emmanuel Macron. Il est légitime que des personnes dont le travail est d'organiser des éléments de récit et de représentation, en particulier une personne qui vient d'être récompensée pour avoir fait cela, commentent la manière dont une autre personne fait la même chose, et d'une manière qu'elle considère inappropriée. Le sens de ce passage est simplement: les cent jours sont un mauvais film, qui ne marche pas. Ensuite, Justine Triet a critiqué ce qui est en train de se passer dans l'organisation du cinéma en France. Contrairement à ce que Rima Abdul-Malak, ministre de la Culture, a feint d'avoir entendu, elle n'a pas attaqué le système de soutien public, mais au contraire sa mise en danger par des réformes et des projets en cours.
Et contrairement à ce que la plupart des réactions hostiles à son discours affirment, elle ne s'est pas comportée en «enfant gâtée» ou en «ingrate», mais a au contraire proclamé sa reconnaissance pour l'ensemble des dispositifs qu'on résume, de manière plus ou moins appropriée par la formule d'exception culturelle, «sans laquelle je ne serai pas là devant vous». Et qui peut dire qu'une personne qui travaille dans un secteur, le cinéma en l'occurrence, n'est pas légitime pour s'exprimer sur l'organisation de ce secteur et ses évolutions? Et enfin, Justine Triet a lié les deux sujets, la tentative du pouvoir de balayer sous la moquette les oppositions à la réforme des retraites et les modifications en cours du système public accompagnant le cinéma. C'est-à-dire qu'elle a, exactement comme dans son film, opéré une composition, qui montre comment fonctionnent ensemble des processus apparemment disjoints, ou relevant de différents enjeux. Soit, précisément, ce que fait, ce qu'a à faire la mise en scène et ce pour quoi elle venait de recevoir la Palme d'or.
Les critiques cinéma de Jean-Michel Frodon sont à retrouver dans l'émission «Affinités culturelles» de Tewfik Hakem, le dimanche de 15h à 16h sur France Culture.
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Et puisque Nicolas Mathieu dit mieux que je ne pourrais les écrire toutes ces choses et d’autres, voici ses mots:
"On est quand même accablé de voir des ministres s'offusquer qu'une artiste critique un pouvoir, une politique, un gouvernement. Alors on va rappeler deux trois fondamentaux.
-Vous n'êtes pas l'Etat. L'Etat c'est NOUS, peuple de citoyennes et citoyens libres qui se gouverne par votre truchement. Vous critiquer ne remet nullement en cause les institutions.
-Vous ne financez pas le cinéma et la culture. NOUS finançons le ciné et la culture via des dispositifs de solidarité collective dont vous n'êtes que les organisateurs temporaires. La main qui nourrit les artistes n'est pas la vôtre. C'est celle de la communauté nationale.
-Vous n'êtes pas nos patrons mais les serviteurs du bien public et vous n'avez rien à dire des libertés qui nous appartiennent, que nous avons conquises et que nous exerçons exactement selon notre bon vouloir, parmi lesquelles la liberté de nous exprimer et de vous critiquer.
-Votre pouvoir NOUS appartient. Nous vous le déléguons de manière temporaire. Il vous oblige et vous rend responsables devant nous. Vous n'êtes pas l'encadrement d'une entreprise qui n'aurait à répondre que devant le Comité exécutif qui le nomme."