Ce procès n'est pas un procès. Tout semble décidé à l'avance.
La seule qui doit payer c'est la conductrice.
Il n'y a pas eu de dysfonctionnement dans les systèmes informatisés de la SNCF.
Aucune enquête n'est faite.
La conductrice affirme avec force, jusqu'à en mourir, que la barrière était levée et personne ne la soutient.
Même son avocat semble perdu et parle de "syndrome du cœur brisé"...
C'est l'omerta total sur les dysfonctionnements informatiques...
Même les parents des victimes s'acharnent sur elle :
https://fr.news.yahoo.com/drame-millas-procès-continue-laccusée-061416089.html
extrait :
Stéphane Mathieu qui a perdu sa fille dans ce drame. "C'est très décevant parce que quelque part, on aurait voulu qu'elle soit présente et qu'elle entende ce qu'on a à lui dire, on a des témoignages très forts, c'est dommage (...)"
C'est effrayant plutôt.
Combien de personnes, dans cette affaire, ont-elles été payées pour mentir ?
Aucun média, aucun magistrat n'évoquent la possibilité d'une erreur dans le système informatisé de la SNCF qui aurait empêché que la barrière s'abaisse au moment du passage du bus. La conductrice n'était ni aveugle, ni sous l'empire de l'alcool, elle connaissait son métier, elle transportait des enfants et elle était consciente de sa responsabilité. La barrière était levée et je la crois.
On a détruit une femme pour préserver la réputation d'une grosse société française. C'est la seule conclusion qui s'impose face à ce procès digne du Moyen-Age.
 
                 
             
            