À ce jour, aucun pays n’a pourtant déclaré à l’AIEA être à l’origine de ce rejet. Et, dès le début, la Russie a rejeté toute responsabilité, son agence atomique Rosatom déclarant que « la situation radioactive autour des installations nucléaires russes se situe dans la norme ». Le Kazakhstan a, lui aussi, écarté toute implication.

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Il reste la piste d'un pays terroriste qui aurait loué des installations dans cette région, un peu comme un Guantanamo européo-levantin, afin d'y fabriquer des bombes sales¹. Ce qui expliquerait que ni la Russie, ni le Kazakhstan ne se sentent concernés. Pourtant, on n'a pas dit polonium, curium ou americium, mais bien ruthenium qui vient du nom latin de la Russie : Ruthenia.
Le Sealand, petite principauté en bisbille avec le Royaume-Uni depuis l'embargo sur la peinture antirouille, est soupçonné de tenter de s'équiper de l'arme nucléaire depuis sa déclaration d'indépendance unilatérale en 1975.

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¹. Seules les bombes à eau sont réputées propres bien que souvent traitées à la carbamide.
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