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Ce conseil entend militer pour promouvoir ces “bénéfices” et pour éliminer les “barrières” qui s’opposent à l’importation aux États-Unis de trophées de chasse.
Il ne compte aucun représentant d’organisations de protection de la nature mais une proportion écrasante de chasseurs particulièrement attirés par le gros gibier et les armes à feu selon une enquête de l’agence Associated Press, ayant des liens étroits avec le Safari Club International, une organisation de chasseurs, et le lobby des armes à feu, la National Rifle Association.
Par exemple, Steven Chancellor, un important donateur du Parti républicain, dont le tableau de chasse, obtenu par l’organisation Humane Society, compte près de cinq cents animaux sauvages, dont dix-huit lions, treize léopards, six éléphants et deux rhinocéros ou encore Olivia Opre, ancienne reine de beauté du Nebraska, qui revendique la chasse de 90 espèces différentes sur six continents et aurait rapporté aux États-Unis 150 trophées. Ils assurent que la chasse qu’ils défendent pour le profit de clients fortunés constitue la meilleure réponse au braconnage.
Ça fait un peu penser à Laurent Wauquiez confiant la préservation de la nature aux chasseurs en Rhône-Alpes.
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