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L'ATTIRAIL, c'est un cas suspect, une énigme, un mystère. Avec un nom pareil, on peut évidemment tout imaginer. Bric-à-brac, fourre-tout, fourbi et bazar... Quand on écoute la musique de ce quintette installé à Paris, l'intuition se confirme. Défilent, à visage découvert ou quelque peu déguisé, des couleurs yiddish, des sonorités orientales, des airs de Bulgarie, d'Arménie, et de Nino Rota peut-être aussi. On ne sait plus très bien : les repères s'emmêlent. Quoi qu'il en soit, cette mixture instrumentale à l'éclectisme bariolé possède une saveur plutôt sympathique, euphorisante même. Et tant pis pour ceux qui veulent absolument trouver une logique à toute chose.
Les histoires sans paroles de l'Attirail - Le Monde
Tri-pot-logie...
Ciné-concert...
Et l'Amour !
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Après samedi, c'est dimanche (si si) et sa musique zique-zique…
Cybermen make Close Encounter of the Three Guys