Et si le Vésuve n'y était pour rien ?
C'est la question que tout le monde se pose depuis cette découverte extraordinaire. Et l'insistance de l'archéologie officielle à nier, au nom d'un absurde complotisme gauliste, les découvertes publiées dès 1959 dans Pilote, cette revue internationalement reconnue, en est encore plus lamentable.
Désormais, les faits sont établis et l'hypothèse d'une expédition¹ gauloise sur les côtes de Campanie qui aurait dégénéré suite à une malheureuse remarque sur l'embonpoint de certain touriste ne fait plus de doute.
Le mal était fait et ne pouvait être réparé que par une bonne correction. C'est ce que s'appliquèrent à administrer ces Gaulois dopés à la potion magique en lançant tout ce qu'ils trouvèrent sur la ville et ses alentours et collant des baffes à tout ceux qui évitèrent les projectiles.
Une erreur de pointage
Dans l'excitation du combat, une malheureuse erreur de pointage² de la batterie de 480 basse de poitrine dont le tir a pulvérisé le bouchon du pas encore si célèbre volcan et libéré Vulcain³. Et de Pierre en Bernard, avec émotion, les ennuis plurent sur les pauvres Campaniens. Ayant épuisé les munitions, les Gaulois avaient déjà rembarqué et regardaient le spectacle depuis le large.
Voilà
La vérité historique ayant été rétablie, c'est l'ensemble de l'hégémonie romaine sur le monde connu qui est à réétudier. Alors évidement, les Italiens ne voudront pas le reconnaître, mais cent-vingt ans après Jules, les Gaulois emm.rdaient encore Rome et continuent à le faire aujourd'hui.
¹. probablement à but touristique, cette tribu est connue pour être bagarreuse et ripailleuse mais pas guerrière.
². ou un concours idiot genre “je parie que tu n’atteins pas le haut de cette montagne là-bas”...
³. première apparition d'un procédé encore utilisé, la vulcanisation.
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