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Billet de blog 18 mars 2014

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La galère du logement étudiant

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

La crise faisant toujours raisonner ses effets néfastes, les budgets sont de plus en plus serrés, les ménages moyens peinent à finir les fins de mois, mais c'est bel et bien la population étudiante qui est le plus touchée par cette augmentation des charges.

En première ligne, les études supérieures sont de plus en plus coûteuses, particulièrement dans le privé où une année d'étude peux facilement atteindre les 10 000€ ...

De plus, certains étudiants doivent quitter le foyer familial pour poursuivre leurs études, se pose donc la question du logement. Où se loger? A combien se loger? Quel est le plus avantageux? Seul ou en colocation? Plusieurs questions qui propulsent les étudiants, en général modestes, dans une multitudede problèmes. 

En effet, le logement représente un important problème pour une large partie des étudiants. En considérant que les étudiants représentent les individus les plus modestes, se loger s'apparente à un poste de dépenses dont ils préféreraient se passer.

En France en 2013, le loyer moyen mensuel par étudiant avoisinait les quelques 388€, et des fois sans les charges comprises.

Sans oublier les garanties qui sont demandées qui peuvent s'élever à deux loyers d'avance. Les étudiants n'ayant pas tous l'avantage d'avoir un soutien financier familial conséquent, ils n'ont d'autre choix que de trouver une solution pour pallier à cette dépense vitale. Même si certains bénéficient des bourses, en général elles servent à payer l'école où ils étudient. 

Alors beaucoup optent pour le logement en cité universitaire. Néanmoins, là aussi des problèmes se posent. Les universités sont, en général, âgées et le chambres universitaires le ressentent. Souvent mal agencées et vraiment petites. Certes, le loyer est plus attractif qu'un appartement, mais les cités U sont bien trop peu afin d'accueillir toute la population étudiante. Les effectifs étudiant en constante hausse, les chambres des cités universitaires ne suivent pas le rythme.

En attendant  quelques entreprise privées y voit une opportunitée de pallier au manque de logement et l'on a vu apparaître des résidences étudiantes à Toulouse, Bordeaux et même Montpellier à des tarifs plus adaptés ... mais cela reste encore trop cher pour de nombreux étudiants.

Malheureusement ce n'est pas l'Etat avec son nouveau projet 500 000 logements neufs trop mal engagé qui pourra inverser la tendance des hausses deloyers en France.

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